Ballade pour presque un homme @ 1974 Fleuve Noir | Illustration de couverture @ René Brantonne
Illustration et quatrième de couverture
Et sur Terre vint le temps du Voyage, comme le voulait la Loi des anciens, pour ceux qui étaient presque des hommes. Pour Niels-le-long, pour d'autres aussi. Vint ce temps-là, et le Voyage, qui devait mener les presque-hommes vers d'autres clans, vers d'autres femmes.
C'est ainsi que Niels-le-long s'en alla, laissant derrière lui la famille, laissant Irilia. Comme le voulait la loi.
Et sur Vataïr vint ce jour où l'on convoqua Joll Matom dans un des bureaux de la Compagnie pour la Diffusion des Plaisirs, afin de lui fournir les coordonnées d'un nouveau safari sur la planète D'om.
Pour Joll, ce n'était rien de mieux qu'un safari comme tant d'autres, qu'une chasse aux Sierks à organiser pour la satisfaction des clients. Mais bien vite, cela se transforma en quelque affreux piège aux multiples mâchoires. Un piège dans lequel il risquait non seulement de laisser sa réputation, mais aussi sa vie. Par la faute de ce sacré Lohert qui faisait partie des clients...
Brève de lecture
Sur la planète Vataïr vivent les Matoms, les Luxifs, les Nissios, les Ni Huins et d’autres encore. Une longue lignée de Vatayéens, qui a poussé sa civilisation à la perfection génétique. Les derniers sont les Loherts, l’ultime réussite de cette race qui en a oublié ses origines et qui essaye par tous les moyens de sortir du lot commun, car chaque race chasse l’autre, un modèle chasse l’autre, une famille génétique chasse l’autre.
Joll est un Matom Y.X. qui organise pour la C.D.P des safaris sur la planète D’om où vivent ce qu’ils appellent des Sierks. Et il aime ça. Sauf que, pour ce qui risque d’être sa dernière battue, il doit emmener un Lohert et lui prouver, contrairement à ce que pense cette dernière lignée, que cette pratique est bénéfique pour la société Vatayéen. Mais les Sierks de la planète D’om sont-ils vraiment ce que l’on pense, du gibier ?
Encore une réussite de Pierre Suragne avec des récits parallèles, toujours sans aucune pitié pour ses personnages dans une intrigue bien construite. Je conseille ce roman !
C'est ainsi que Niels-le-long s'en alla, laissant derrière lui la famille, laissant Irilia. Comme le voulait la loi.
Et sur Vataïr vint ce jour où l'on convoqua Joll Matom dans un des bureaux de la Compagnie pour la Diffusion des Plaisirs, afin de lui fournir les coordonnées d'un nouveau safari sur la planète D'om.
Pour Joll, ce n'était rien de mieux qu'un safari comme tant d'autres, qu'une chasse aux Sierks à organiser pour la satisfaction des clients. Mais bien vite, cela se transforma en quelque affreux piège aux multiples mâchoires. Un piège dans lequel il risquait non seulement de laisser sa réputation, mais aussi sa vie. Par la faute de ce sacré Lohert qui faisait partie des clients...
Brève de lecture
Sur la planète Vataïr vivent les Matoms, les Luxifs, les Nissios, les Ni Huins et d’autres encore. Une longue lignée de Vatayéens, qui a poussé sa civilisation à la perfection génétique. Les derniers sont les Loherts, l’ultime réussite de cette race qui en a oublié ses origines et qui essaye par tous les moyens de sortir du lot commun, car chaque race chasse l’autre, un modèle chasse l’autre, une famille génétique chasse l’autre.
Joll est un Matom Y.X. qui organise pour la C.D.P des safaris sur la planète D’om où vivent ce qu’ils appellent des Sierks. Et il aime ça. Sauf que, pour ce qui risque d’être sa dernière battue, il doit emmener un Lohert et lui prouver, contrairement à ce que pense cette dernière lignée, que cette pratique est bénéfique pour la société Vatayéen. Mais les Sierks de la planète D’om sont-ils vraiment ce que l’on pense, du gibier ?
Encore une réussite de Pierre Suragne avec des récits parallèles, toujours sans aucune pitié pour ses personnages dans une intrigue bien construite. Je conseille ce roman !