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Saison 8

        




Doctor Who | Episode 08.01 : En Apnée | Deep Breath | 2014

Par | 21/12/2014 | Lu 567 fois




Introduction

- Voilà donc ce que le public attendait depuis longtemps : la nouvelle saison de…
- « Sur la trace des dinosaures » !
- Euh … pardon … pourquoi  dites-vous cela ?
- Ben, à cause de la grosse bête !
- Dites donc, vous, un peu de respect : je suis tout de même le narrateur de ce résumé !
- Je parlais du T.rex.
- Ah… Oui ! Eh bien, si vous aviez mieux regardé, vous auriez remarqué qu’il est au milieu de la Tamise, en pleine époque vict… - Et puis d’ailleurs, qui est vous ? Qu’est-ce que vous faites là ?
- Ah oui… Je suis aspirant-narrateur, et je viens faire mon stage…
- Mais ils auraient pu me prévenir tout de même ! Je ne peux pas tout faire : narrer l’histoire et m’occuper des apprentis !
- « Aspirant » - pas « apprenti »…
- Ne jouons pas sur les mots. D’ailleurs, le public s’impatiente !
- Oui, pardon, je vous en prie, continuez. Et d’ailleurs, je vois maintenant que Big Ben se dresse derrière le T.rex. C’est vrai que cela ne peut donc pas être « Sur la trace des … ».
- …
- Mais je vous en prie, poursuivez, Monsieur le Narrateur…
- Merci ! Et maintenant, installez-vous confortablement, et profitez de l’histoire…

Voilà donc ce que le public attendait depuis longtemps : la nouvelle saison de « Doctor Who » et les véritables débuts de Peter Capaldi…

Présentation

Nous voici donc, une nouvelle fois, dans le Londres de la fin du 19e siècle. La foule, à la fois fascinée et effrayée, s’est pressée au bord de la Tamise pour découvrir ce spectacle incroyable : un tyrannosaure Rex se ballade au milieu du fleuve !
 
Mais voilà qu’arrive le  « Paternoster Gang ». Tandis que madame Vastra s’amuse d’un spectacle qu’elle n’avait plus vu depuis qu’elle était une petite fille (enfin : un petit lézard !), Jenny, sa compagne, s’est déjà mise à analyser la situation à l’aide un appareil des plus « steampunk » fixé à son poignet. Alors qu’elle observe l’animal, elle remarque que quelque chose lui obstrue la gorge… juste avant que le T.rex crache la fameuse « cabine bleue » du Docteur ! Après avoir fourni un appareil à la police pour confiner le dinosaure à l’endroit où il se trouve, les trois compères descendent sur la berge du fleuve jusqu’au Tardis, tombé près d’eux.
 
Quand Strax frappe à la porte, c’est un visage inconnu qui lui ouvre, se contentant de faire « Chut ! » avant de refermer aussitôt. A la deuxième tentative, il ouvre à nouveau brièvement en ajoutant : « J’ai été chassé par un dinosaure, mais je crois avoir réussi à lui échapper ! ». La troisième est la bonne : cette fois l’inconnu sort, avant d’être suivi par une Clara Oswald visiblement de mauvaise humeur. L’inconnu tient des propos incohérents, s’embrouillant avec les noms des gens qui l’entourent et ceux d’anciens compagnons. Il s’adresse aussi au T.rex (!) tout en étant incapable de reconnaître ses amis, allant même jusqu’à confondre Clara avec Strax ! Apparemment, le voyage n’a pas été de tout repos ! Épuisé,  il finit d’ailleurs par perdre connaissance.
 
Quand Jenny demande qui est cet homme, Clara lui apprend qu’il s’agit bien du Docteur. A cette nouvelle, Vastra s’exclame : « Nous voilà donc repartis. » (« Here we go again. »)
 
Place au nouveau générique… 

Ramené à Paternoster Row (la rue où habite Madame Vastra et ses accolytes), le Seigneur du Temps a manifestement besoin de prendre du repos. Mais, vivant sur ses nerfs, il ne veut rien entendre et refuse de se coucher. « Si cette pièce est une chambre, que faites-vous quand vous ne dormez pas ? », fait-il quand on lui explique pourquoi il y a un lit dans la pièce. A l’évidence, tout n’en pas encore en place dans son esprit ! Plus subtile que les autres, Mme Vastra utilise un subterfuge pour le plonger dans le profond sommeil dont il a le plus grand besoin.
 
Tandis que leur ami dort enfin, Clara supplie ses hôtes de voir comment ramener le Docteur. Entendez par là, le 11e Docteur. Laissée seule avec cet ami qu’elle ne reconnaît plus, Clara réalise que, dans son sommeil, il est relié mentalement au T.rex (!), dont il traduit les « paroles ». Mais voilà que Strax invite Clara à rejoindre Mme Vastra au salon. (Au passage, le Sontaran démontre une nouvelle fois son côté « décalé » : il propose à Clara de prendre son manteau, et quand celle-ci lui répond qu’elle n’en a pas, il lui propose de prendre ses vêtements !)
 
Pendant ce temps, au bord de la Tamise, un promeneur venu assister à ce « spectacle » inhabituel, se fait aborder par un homme étrange. D’autant plus étrange que l’on remarque soudain qui lui manque une partie du visage ! Le promeneur (qui n’a d’abord rien remarqué d’anormal) déclare que le T.rex n’est qu’une mise en scène. Cela lui paraît évident, lui qui se targue d’avoir des yeux en parfait état. Mais il regrette très vite de s’être vanté ainsi de sa vue excellente : l’inconnu déclare les accepter en cadeau – avant de se jeter sur le malheureux !
 
A Paternoster Row, quand Clara rejoint enfin la maîtresse des lieux et sa compagne, elle leur explique comment le Tardis a été avalé par le T.rex avant qu’ils ne rejoignent l’époque victorienne. Elle ne se souvient pas de tous les détails, surtout que « Le Docteur avait disparu … ». La Silurienne lui reproche son attitude : le Docteur n’a pas disparu ; il a changé, s’est régénéré. Manifestement, la compagne a toutes les peines du monde à se faire à ce changement. Elle ne reconnaît plus son ami dans cet individu si différent, au visage inconnu, marqué par les années, cet homme au comportement incohérent et irascible. « Parce que vous pensiez qu’il était jeune (avant sa régénération) ? », fait-il Vastra. « Il n’était jeune qu’en apparence ! »
 
Pendant ce temps, seul dans la chambre, le Docteur se réveille soudain. Fouillant la pièce, il trouve un bout de craie et se met à griffonner.

Retour dans le salon, où Vastra explique à Clara qu’elle et Jenny sont mariées, mais que pour sauver les apparences, elle fait passer Jenny pour sa domestique. « Ce qui n’explique pas pourquoi c’est moi qui dois servir le thé ! », ajoute la jeune humaine ! Vastra poursuit en expliquant qu’elle porte un voile pour se protéger des jugements de ses contemporains qui prennent son apparence de Silurienne pour une déformation du visage. Ce qu’elle veut expliquer ainsi, c’est que si le Docteur a changé, Clara n’a pas le droit de le juger sur son apparence. La compagne prend fort mal la chose : « Comment osez-vous … ? », fait-elle, avant de répliquer d’une tirade exprimant toute sa colère (une réaction fortement appréciée par Jenny).
 
Vastra apprécie aussi la réaction de la jeune femme : au moins, elle s’est « lâchée » ! « Le Docteur a besoin de nous – et de vous avant tout ! »
 
Dans la chambre, le Docteur continue à griffonner avec le bout de craie, recouvrant le parquet de toutes sortes de formules. Entendant la complainte du dinosaure, il quitte la maison à l’insu de ces amis. Sur le toit de l’immeuble, il promet à l’animal de trouver un moyen de le ramener à son époque. Mais il n’aura pas l’occasion de le faire : la créature s’enflamme soudain dans un processus d’auto-combustion !
 
Empruntant (?) un cheval, il fonce vers la Tamise, où le rejoignent Vastra et Cie (qui se demandent comment il a fait pour se retrouver là, en chemise de nuit par-dessus le marché !). Le Docteur s’en veut : c’est à cause de lui que le T.rex est arrivé jusqu’ici pour trouver la mort. Interrogeant Mme Vastra, il apprend que plusieurs cas de combustion spontanée se sont produits ces derniers temps. C’est alors qu’il remarque, de l’autre côté de la Tamise, l’étrange individu qui s’était emparé, plus tôt, des yeux du promeneur. Il n’hésite pas un instant et plonge dans le fleuve pour en savoir plus. Ce « nouveau » Docteur est décidément difficile à suivre ! Clara doit se résoudre à retourner seule à Paternoster Row…
 
Au petit matin, Clara remarque que Strax a fait ramener le Tardis dans la cour de la demeure de Mme Vastra. Le Sontaran doit toujours lutter contre ses tendances agressives : dans un premier temps, il prévoit de le plonger dans l’acide ! Reprenant un semblant de bon sens, il propose à la jeune femme le « Times » qu’il vient de ramener. Quand celle-ci accepte, il lui envoie le journal de toutes ses forces, l’assommant au passage !

Après avoir récupéré, Clara rejoint le rez-de-chaussée et découvre un peu plus encore le côté « bizarre » de Strax. Quand elle lui demande un peu d’eau, le Sontaran lui propose de boire celle du seau qu’il utilise pour laver le sol. Ensuite, elle doit abréger « l’examen médical obligatoire » qu’il veut lui faire passer.
 
Au même moment, nous retrouvons le Docteur, toujours en robe de nuit, au fond d’une rue, retournant les déchets et les vieux papiers, visiblement à la recherche d’indices et de réponses. Problème : les réponses à quelles questions ? Toujours aussi confus, il inquiète un pauvre bougre qui passait par-là en se regardant dans un vieux miroir : il a déjà vu ce visage quelque part… avant de réaliser que c’est le sien ! Et puis, d’ailleurs, comment son corps fait-il pour lui choisir le visage lors de la régénération ? Et comment se fait-il qu’il a désormais un accent écossais ? Au passage, il se souvient aussi qu’il avait, autrefois, une écharpe (4e Docteur), mais n’y voit aucun intérêt aujourd’hui. Par contre, le manteau de l’homme à qui il déblatère ses paroles, l’intéresse bien plus.
 
Pendant ce temps, Jenny pose en tenue légère (rassurez-vous : la morale est sauve !) pour sa compagne. A sa grande déception, la Silurienne  n’était pas en train de peindre son portrait, mais de compiler les données sur les récents événements ! Pas moins de 9 cas de combustion spontanée se sont produits récemment. Cela n’a donc plus rien d’un hasard. Mais pourquoi quelqu’un détruirait-il ainsi entièrement ces corps ?
 
Clara entre alors en trombe dans la pièce : dans le journal, elle vient de trouver un message adressé  à la « fille impossible » - Clara elle-même ! Le Docteur lui a donc laissé une piste ! Malheureusement, rien d’autre sur la page du Times ne permet d’en savoir plus. N’ayant pas d’autre indice, elle regarde par transparence ce qui se trouve à l’arrière de l’annonce : la publicité pour un restaurant londonien – le Mancini’s.
 
Puisqu’il n’y rien d’autre à se mettre sous la dent, Clara décide de se rendre à cet endroit. Elle y retrouve effectivement le Docteur, qui porte les guenilles qu’il a pris manifestement prises de force au clochard (oui, on est bien loin du 11e Docteur !). Autant dire que, vu la fraîcheur toute relative de ces vêtements, Clara a repéré sa présence d’abord par l’odeur dégagée….
 
Les retrouvailles sont un peu tendues. Clara se demande ce qui a pris le Docteur d’utiliser cette façon « tirée par les cheveux » pour la retrouver. Il y a des méthodes tout de même plus simples pour inviter quelqu’un à dîner que de publier une telle annonce dans le Times ! Mais, petit problème : le message ne vient pas du Docteur. Il avait également découvert le message dans le journal, mais il pensait que c’était la « fille impossible » qui l’avait publié. Mais alors, de qui s’agit-il ? Et dans quel but ? Et pourquoi fixer rendez-vous dans ce restaurant ?

A la dernière question, le Docteur a un début de réponse : malgré le grand nombre de clients présents, il n’y a pas un souffle de vent. Comme si personne, à part Clara et lui, ne respirait ici. A y regarder de plus près, ils remarquent que les convives ne font que semblant de manger. Leurs mouvements répétitifs font penser à des automates. Le Docteur et Clara se décident à quitter les lieux, mais dès qu’ils se lèvent, les « automates » – ou plutôt des robots – en font de même et marchent vers eux quand les deux comparses tentent de partir. C’était un piège !
 
En attendant de trouver une solution, ils préfèrent tous deux se rasseoir.
 
- Que sont-ils ? demande Clara.
- Ce n’est pas la question essentielle, répond-il.
- Et c’est quoi, la question essentielle ?
- Qu’est-ce que ce restaurant.
- D’accord, c’est quoi, ce restaurant ?
- Je l’ignore.
 
Les voilà bien avancés !
 
Quand un serveur se présente, le Docteur lui demande s’il n’a pas une autre carte des plats, car les menus n’indiquent rien ! Pour toute réponse, le serveur cite toute une série d’organes. En fait, il n’y a pas de menu : Clara et le Docteur sont le menu !
 
Après avoir constaté qu’il s’agit, là aussi, d’un robot sur la tête duquel on a mis un vrai visage humain (beurk !), ils sont soudain attachés à leurs sièges, avant de s’enfoncer dans le sous-sol via un ascenseur dérobé. Grâce au tournevis sonique (et beaucoup d’efforts), le Docteur parvient à défaire les liens.
 
Arrivés au fond, ils trouvent une pièce au milieu de laquelle est assis l’étrange personnage que le Docteur avait repéré la veille au bord de la Tamise. Il s’agit aussi d’un robot, auquel ont été ajoutées nombre de parties « biologiques » : outre, une partie de visage, l’individu a deux mains venant clairement de « donneurs » différents. Comme une sorte de Cyborg « à l’envers » : au lieu d’un être vivant pourvu de pièces mécaniques, ici, il s’agit d’une machine qui semble vouloir devenir « vivante ». D’autres robots, également complétés d’organes humains, se trouvent dans la pièce. Tous semblent « endormis », en « mode veille ».
 
Voilà que tout ce beau monde commence à reprendre vie. Il est temps de quitter les lieux. Mais les hésitations et allées et venues du Seigneur du Temps (qui se dit qu’il a déjà vu quelque chose de semblable) compliquent les choses, et Clara finit par se retrouver enfermée avec les robots, tandis que le Docteur a pu franchir un sas. « Il est inutile de nous faire prendre tous les deux » : le Docteur laisse Clara aux mains des robots. Désespérée (par sa mauvaise posture et par l’attitude du Docteur), elle prend place dans un coin de la pièce, tandis que les robots se mettent à se réveiller. Seule solution pour elle : se faire passer pour l’un d’entre eux. Cela implique d’adopter une démarche « mécanique », mais aussi de retenir sa respiration : les robots ne consomment pas d’air. 

Clara profite de la réouverture de la porte par laquelle le Docteur avait pu s’échapper pour progresser vers ce qu’elle espère être la sortie. Mais, épuisée par l’apnée, elle ne peut s’empêcher de recommencer à respirer. Aussitôt repérée, elle est amenée de force vers l’étrange personnage du début, qui semble être le chef de cette tout aussi étrange équipe. Celui-ci veut savoir où est son « comparse ». Interrogée, menacée, Clara ne craque pas. « C’est donnant-donnant : vous donnez des informations, et moi, je vous en donnerai à mon tour. » Elle apprend ainsi que le T.rex a été tué parce que son système nerveux était compatible avec leur ordinateur. Tout comme cela avait le cas pour les autres cas de combustion spontanée : on avait prélevé des organes avant de détruire les corps pour ne laisser aucune trace.
 
Mais ce n’est pas cela qui va lui permettre de sortir d’ici. Alors que le « robot en chef » répète sa question (« Où est l’autre ? »), elle tente de se convaincre que son ami ne l’a pas abandonnée. Mais celui-ci a tellement changé, et elle n’est plus sûre de rien. Tendant le bras derrière elle, elle a l’heureuse surprise de sentir la main du Docteur : celui-ci s’était déguisé en récupérant le visage utilisé par un robot !
 
Au passage, Clara et le Docteur apprennent que ce n’est pas non plus le « robot en chef » qui a fait publier le message du Times. Mais alors, de qui s’agit-il ?
 
Les adversaires sont hélas bien trop nombreux – à deux, ils n’ont aucune chance. Mais le Paternoster Gang vient à la rescousse ! Espérant encore éviter l’affrontement, le Docteur tente de raisonner le chef : lui et ses semblables ne sont pas des meurtriers ; s’ils tuent, c’est uniquement pour survivre. Mais le but ultime, réplique le « chef », ce n’est pas la survie. Non, ce que ces êtres mécaniques recherchent, c’est la terre promise, le paradis ! Pour le Docteur, c’est une illusion – surtout pour des machines. Mais leur chef réplique qu’ils ont réparé leur vaisseau (avec des organes terriens !) et peuvent désormais y parvenir grâce à la « chaloupe de secours », juste avant de prendre la fuite via l’ascenseur « table de restaurant ».
 
Le trio et Clara affrontent la bande de robots, tandis que le Docteur repart à la surface, à la poursuite de leur chef.
 
Là-haut, la police, qui venait d’arriver, opère un « repli stratégique » en voyant le spectacle dans la salle du restaurant et le lance-flammes dont dispose le « robot en chef ». Après le T.rex, voilà qu’ils doivent faire face à des machines mi-humaines : c’est beaucoup en 24 heures !
 
Seul reste le Docteur, tandis que le « robot en chef » fait décoller la « chaloupe » (en fait, la salle du restaurant, qui est un caisson, accroché à un immense ballon fait de peau humaine !).

Le Docteur découvre alors que le restaurant tout entier a été fait à partir d’un vaisseau spatial du nom de « SS Marie Antoinette », échoué sur Terre depuis bien longtemps. L’appareil vient sans doute du même lieu et de la même époque que le « SS Madame de Pompadour », que le Docteur avait rencontré autrefois (épisode 02.04 « The girl in the fireplace ») – mais ses souvenirs restent encore vagues…
 
Le « robot en chef » est bien décidé à trouver la « terre promise », malgré l’insistance du Seigneur du Temps que ce lieu n’existe pas : ce n’est que de la superstition. Les paroles ne suffisent plus : le « robot en chef » ne peut admettre que son rêve ne mène à rien. Tous deux en viennent aux mains.
 
Au même moment, dans le sous-sol du restaurant, Clara et le Paternoster Gang sont sur le point de perdre la bataille. Ils parviennent à gagner du temps en cessant de respirer, mais ce n’est là qu’un très bref répit. Obligés de reprendre leur souffle, ils voient les robots leur foncer dessus… avant de s’écrouler.
 
Dehors, le robot en chef a fini par accepter son sort et l’impossibilité de trouver la terre promise. Il s’est jeté dans le vide, avant de s’empaler au sommet de la tour du parlement. Sa « mort » a entraîné l’arrêt de tous les autres.
 
Lorsqu’ils rejoignent Pasternoster Row, le quatuor réalise que le Tardis est parti. Clara va-t-elle être coincée à l’ère victorienne ? Non, car le Docteur finit par revenir. En le retrouvant, elle lui avoue qu’il ne sait plus qui il est. Le Docteur décide donc de la ramener chez elle, à bord de son vaisseau quelque peu remanié, en un style plus proche de sa nouvelle personnalité. Le Docteur espère que Clara acceptera de continuer à voyager avec lui, mais la compagne en est moins sûre…
 
C’est à ce moment que sonne le GSM de la jeune femme. A l’autre bout du fil, elle reconnaît la voix du 11e Docteur. Celui-ci l’appelle de Trenzalore, juste après avoir gagné la bataille contre les Daleks (The Time of The Doctor) et avant qu’il ne se change en 12e Docteur. Le « 11e » fait comprendre à sa compagne que, dans sa nouvelle apparence, il a besoin d’elle plus que jamais, car s’il y a quelqu’un de perdu, c’est bien ce nouveau Docteur. « N’ayez pas peur », lui dit-il.
 
Après avoir fait ses adieux au « 11e », elle accepte finalement « l’invitation au voyage » et  serre le « 12e » dans ses bras (même si ce dernier n’est pas trop sûr d’encore aimer ce geste d’affection).
 
Alors qu’elle réalise qu’ils sont revenus dans le présent, mais à… Glasgow (loin de chez elle donc), les deux amis s’avancent ensemble dans les rues de la cité écossaise pour aller prendre un café.
 
Ailleurs, le « robot en chef » se réveille au milieu d’un agréable jardin. Il y est accueilli par une femme mystérieuse du nom de Missy et qui lui annonce qu’il a réussi : le voilà au paradis !

Thierry B.
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