
Un auteur de bandes dessinées devient le super-héros qu'il a créé et se trouve mêlé à une affaire d'espionnage dans un pays de l'Est...
Présentation
Woody Wilkins ne manque pas d’imagination, qu’il met au service de son travail d’auteur de bandes dessinées. Mais il est également très à cheval sur la véracité de ses créations. Du coup, ne voilà-t-il pas qu’il a décidé de tester le costume volant de son personnage fétiche, Condorman, en se jetant du haut de la Tour Eiffel ! Manque de pot : au bout de quelques instants, son aile volante se brise et il finit au milieu de la Seine ! Bon dessinateur et plein d’imagination, l’homme n’est visiblement pas bon bricoleur. Après tout, James Bond ne l’est pas non plus (Merci, Q !).
À peine remis de cette mésaventure, il reçoit la visite de son ami Harry, agent à la CIA (logique, non ? Tous les auteurs de bandes dessinées ont des amis espions !). Celui-ci lui demande un petit service : participer à un échange de documents avec une Soviétique… à Istanbul ! Ni une ni deux, voilà notre brave Woody, pris au jeu, qui rencontre la belle Natalia dans la métropole turque.
Mais la rencontre est un piège… pour Natalia, que son propre supérieur tente d’éliminer à cette occasion. N’écoutant que son courage – et avec beaucoup plus de chance que de talent – Woody parvient à mettre les tueurs hors d’état de nuire. Avant de fuir, Natalia demande le nom de son sauveur. Ce dernier lui répond que son nom de code est… Condorman !
Peu de temps après, Harry apprend à Woody que Natalia a décidé de passer à l’Ouest, sachant qu’elle est désormais en sursis si elle reste en URSS. Mais la belle espionne a posé une condition : pour passer en Occident, elle ne fera confiance qu’à une seule personne : le super-agent qui lui a sauvé la vie à Istanbul.
Woody finit par accepter. Mais lui aussi a une condition : que la CIA lui fournisse des équipements et gadgets dignes de Condorman !
***
Production Disney, alors dans le creux de la vague, le film fut descendu en flammes par les critiques. Le budget modeste et les effets spéciaux archaïques contribuèrent à son échec. Cela dit, le film se laisse regarder – sans trop d’effort – et offre quelques belles images de Paris, Monaco et des paysages de montagnes suisses, lieux du tournage.
Entretemps, Condorman a tout de même gagné ses gallons de film culte auprès des fans.
Quand on pense au succès de la franchise Marvel, on peut se dire que Disney n’avait pas tout à fait tort avec Condorman…
À peine remis de cette mésaventure, il reçoit la visite de son ami Harry, agent à la CIA (logique, non ? Tous les auteurs de bandes dessinées ont des amis espions !). Celui-ci lui demande un petit service : participer à un échange de documents avec une Soviétique… à Istanbul ! Ni une ni deux, voilà notre brave Woody, pris au jeu, qui rencontre la belle Natalia dans la métropole turque.
Mais la rencontre est un piège… pour Natalia, que son propre supérieur tente d’éliminer à cette occasion. N’écoutant que son courage – et avec beaucoup plus de chance que de talent – Woody parvient à mettre les tueurs hors d’état de nuire. Avant de fuir, Natalia demande le nom de son sauveur. Ce dernier lui répond que son nom de code est… Condorman !
Peu de temps après, Harry apprend à Woody que Natalia a décidé de passer à l’Ouest, sachant qu’elle est désormais en sursis si elle reste en URSS. Mais la belle espionne a posé une condition : pour passer en Occident, elle ne fera confiance qu’à une seule personne : le super-agent qui lui a sauvé la vie à Istanbul.
Woody finit par accepter. Mais lui aussi a une condition : que la CIA lui fournisse des équipements et gadgets dignes de Condorman !
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Production Disney, alors dans le creux de la vague, le film fut descendu en flammes par les critiques. Le budget modeste et les effets spéciaux archaïques contribuèrent à son échec. Cela dit, le film se laisse regarder – sans trop d’effort – et offre quelques belles images de Paris, Monaco et des paysages de montagnes suisses, lieux du tournage.
Entretemps, Condorman a tout de même gagné ses gallons de film culte auprès des fans.
Quand on pense au succès de la franchise Marvel, on peut se dire que Disney n’avait pas tout à fait tort avec Condorman…