QuatriĂšme de couverture
Dans la mĂ©gapole hypersĂ©curisĂ©e de Bruxelles, sous le contrĂŽle oppressant des camĂ©ras de surveillance, Max Samoa dĂ©place ses 120 kilos de quadragĂ©naire noir bedonnant sans Ă©veiller lâattention. Câest quâil a ses petites combines Ă faire tourner, le Max, avec ses deux potes : Pirlouit et Juju. Le genre dâaffaire oĂč lâon Ă©vite la publicitĂ©. Que Pirlouit soit paranoĂŻaque, et que Juju tapine illĂ©galement en taxi nây change rien, on ne choisit pas ses amis. Et puis, Max est un camĂ©lĂ©on, le gars que votre mĂ©moire a effacĂ© avant mĂȘme quâil ait quittĂ© votre champ de vision.
La pire chose qui pouvait arriver Ă Max Ă©tait de se retrouver assis sur une chaise en fer, dans une cave aux murs de bĂ©ton, encadrĂ© par deux barbouzes pas commodes, en face de la SorciĂšre, une fonctionnaire en chignon de la SĂ»retĂ© de lâĂtat. D'autant quâelle lui balançait sous les yeux une photo susceptible de lâenvoyer quelques annĂ©es en prison, Ă moins quâil ne lui rende un petit serviceâŠ
BrĂšve de lecture
Une Ă©ternitĂ© que je nâavais pas lu un bon polar et lâĂ©ternitĂ© câest long, surtout vers la fin. Depuis Schram et Guigou, Justicier Rmistes de Monsieur François Thomazeau que jâavais eu la chance de rencontrer au pied de la Bonne MĂšre. Ceci Ă©tant dit, je me suis rĂ©galĂ© Ă la lecture de cette Seconde Loi du CamĂ©lĂ©on.
LâĂ©criture est enlevĂ©e, fluide, pas de fioritures, on est dans lâaction et les pages dĂ©filent. Les personnages sont attachants, humains, trop parfois. Max, Pirlouit et Juju, je les ai rencontrĂ©s lorsque jâĂ©tais jeune, Ă Marseille pas Ă Bruxelles, mais le cadre monochrome importe peu.
Quant Ă lâhistoire, dystopie ? Je me gausse, exceptĂ© les abominables Ă©cureuils, lâavenir proposĂ©, on y court Ă toutes jambes.
Une excellente lecture donc, qui mâa donnĂ© envie de me remettre au polar. Dâailleurs que viens-je de rajouter dans ma pile Ă lire ? Tentacules.
Monsieur De Vos, Jean-Marc, bravo et merci !
LâĂ©criture est enlevĂ©e, fluide, pas de fioritures, on est dans lâaction et les pages dĂ©filent. Les personnages sont attachants, humains, trop parfois. Max, Pirlouit et Juju, je les ai rencontrĂ©s lorsque jâĂ©tais jeune, Ă Marseille pas Ă Bruxelles, mais le cadre monochrome importe peu.
Quant Ă lâhistoire, dystopie ? Je me gausse, exceptĂ© les abominables Ă©cureuils, lâavenir proposĂ©, on y court Ă toutes jambes.
Une excellente lecture donc, qui mâa donnĂ© envie de me remettre au polar. Dâailleurs que viens-je de rajouter dans ma pile Ă lire ? Tentacules.
Monsieur De Vos, Jean-Marc, bravo et merci !




