
Fauchage tardif © 2025 Jean-Marc De Vos
Et si la Mort, la vraie, celle qui tue, devenait la cible d’un tueur impitoyable ?
« Je suis la Mort. Enfin, pas à moi tout seul. Un peu comme le flic qui frappe à votre porte en criant "Police, ouvrez !" Qui va croire que ce gars est la police à lui tout seul ? Moi, c’est pareil. Pourtant, bien souvent, mon interlocuteur me regarde avec un air ahuri assorti d’un "Ah oui ?", d’un "Je ne vous imaginais pas ainsi" ou d’un "Vous avez une carte ?" À la longue, ça lasse. »
Ainsi commence le récit de Richard Granville, un faucheur lambda de la Guilde des Augures et Faucheurs, une administration secrète chargée d’assister la Faucheuse, la vraie, la Mort qui tue, qui ne pouvait plus assumer son rôle seule et s’était résignée à déléguer sa tâche à de simples mortels. Boulot pépère, bien payé et, comme le dit Richard : « Pour un fonctionnaire, la Mort, c’est le rêve ! ». Enfin, c’était. Lorsque les faucheurs sont devenus la cible d’un tueur impitoyable, coupeur de têtes, l’ambiance a rapidement changé…
C’est ainsi que Richard a été prié d’abandonner son train-train quotidien pour assister Lise Marcuse, capitaine à la brigade Criminelle, dans son enquête au sein de la Guilde.
L’occasion pour le lecteur de découvrir un duo atypique dans une affaire qui ne l’est pas moins…
Ce qu'en disent les lecteurs
Avec Fauchage tardif, Jean-Marc De Vos s’égare hors des chemins de la science-fiction qui ont fait son succès pour nous présenter un polar fantastique savoureux et décalé. Et si Jean-Marc De Vos vous a séduit par le passé avec ses anti-héros typés, vous ne serez pas déçus par la présente cuvée. Ajoutez-y le concept de la Mort confiée à des fonctionnaires pas très zélés, une intrigue originale et une enquête à rebondissements, l’auteur n’a oublié aucun ingrédient pour que la félicité dessine sur votre visage un sourire béat au terme de l’histoire… Les moments de plaisir se font rares ces temps-ci, ce serait dommage de passer à côté de celui-là.