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Doctor Who 240 | Le Jour du Docteur | The Day of the Doctor | 2013

Episode spécial pour le 50Úme anniversaire de la série Doctor Who

30/11/2013
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Synopsis

En 2013, quelque chose de terrible se réveille dans le London's National Gallery, en 1562, un complot meurtrier est en mouvement dans l'Angleterre Elizabethenne, et quelque part dans l'espace, une ancienne bataille atteint sa conclusion dévastatrice. Toute la réalité est jalonnée par le dangereux passé du Docteur revenu pour le hanter...

Distribution

  • Matt Smith : Le OnziĂšme Docteur
  • David Tennant : Le DixiĂšme Docteur
  • John Hurt : The War Doctor
  • Jenna Coleman : Clara Oswald
  • Tom Baker: Le QuatriĂšme Docteur / le Conservateur de la National Gallery
  • Billie Piper : Le Moment (sous l'apparence de Rose Tyler)
  • Joanna Page : Elizabeth I
  • Jemma Redgrave : Kate Stewart

Avec la participation de

  • Christopher Eccleston : Le NeuviĂšme Docteur
  • Peter Capaldi: Le DouziĂšme Docteur
  • William Hartnell : Le Premier Docteur
  • Patrick Troughton : Le DeuxiĂšme Docteur
  • Jon Pertwee : Le TroisiĂšme Docteur
  • Peter Davison : Le CinquiĂšme Docteur
  • Colin Baker : Le SixiĂšme Docteur
  • Sylvester McCoy : Le SeptiĂšme Docteur
  • Paul McGann : Le HuitiĂšme Docteur

Présentation

DiffusĂ© dans 94 pays en mĂȘme temps, via les chaĂźnes de la BBC et d’autres Ă©metteurs associĂ©s pour l’occasion, ainsi que des dizaines de salles de cinĂ©ma, il constitue un record, avec la plus grande diffusion simultanĂ©e de l’histoire.

Rien qu’au Royaume-Uni, plus de 10 millions de tĂ©lĂ©spectateurs ont suivi l’épisode en direct. A cela s’ajoutent les spectateurs dans les salles de cinĂ©ma, oĂč « The Day of the Doctor », termina troisiĂšme au box office du week-end, derriĂšre « Hunger Games – catching fire » et « Gravity ». Les chiffres dans le reste du monde sont tout aussi impressionnants.

Les fans en rĂȘvaient. Steven Moffat l’a fait. « The Day of the Doctor » est tout bonnement gĂ©nial. A coup sĂ»r, il faut le revoir plusieurs fois pour repĂ©rer et apprĂ©cier les clins d’Ɠil, rĂ©fĂ©rences et autres points de repĂšre qui jalonnent l’épisode. La complicitĂ© des trois acteurs (avec le paradoxe oĂč le personnage le plus ĂągĂ© en apparence est pourtant le plus jeune des 3 !) contribuent aussi Ă  la rĂ©ussite de ce « spĂ©cial demi-siĂšcle », qui est peut-ĂȘtre bien le meilleur Ă©pisode d’anniversaire de toute la sĂ©rie. Quant au dialogue entre le 11e Docteur et le conservateur de la National Gallery (jouĂ© par Tom Baker – le 4e Docteur !), il est tout Ă  la fois savoureux et Ă©mouvant !

En résumé, un épisode absolument excellent et un magnifique cadeau pour les fans.

Synopsis complet

Nous retrouvons Clara Oswald, dĂ©sormais institutrice. Alors que la classe vient de se terminer, un collĂšgue l’informe que son Docteur lui a laissĂ© un message. « Un Docteur ? Serait-elle malade ? » s’inquiĂšte ledit collĂšgue. La question fait sourire Clara, qui n’attend pas un instant de plus pour enfourcher sa moto (eh oui, elle y a pris goĂ»t depuis « The Bells of St-John » !) et se rend au lieu de rendez-vous que lui a transmis le Docteur.

Alors que les deux amis viennent Ă  peine de se retrouver, l’alerte retentit ! En effet, un hĂ©licoptĂšre emporte le Tardis et ses occupants jusqu’à Londres ! Le Docteur a vite compris qu’il s’agit de U.N.I.T., et il appelle donc Kate Stewart, la directrice de l’organisation (et fille du Brigadier Lethbridge-Stewart, un des fondateurs de U.N.I.T.), pour en savoir plus, via le tĂ©lĂ©phone extĂ©rieur du Tardis. Mal lui en prend : les chocs du voyage lui font perdre l’équilibre, et il manque de tomber dans le vide. C’est finalement accrochĂ© au bas du Tardis qu’il arrive Ă  Trafalgar Square, oĂč l’attendent dĂ©jĂ  Kate ainsi que l’un de ses assistantes, Osgood.

Il apprend alors que U.N.I.T. a agi Ă  la demande de la Couronne : la Reine Elizabeth en personne a laissĂ© des instructions Ă  son intention. Devront-ils se rendre Ă  Buckingham ? Non, car il s’agit, en fait, d’Elizabeth I, et les instructions datent du 16e siĂšcle. La souveraine semble d’ailleurs fort bien connaĂźtre le Seigneur du Temps. Alors que Kate les invite Ă  la suivre Ă  la National Gallery, le Docteur explique Ă  Clara ses relations avec U.N.I.T., pour laquelle il a travaillĂ© il y a bien longtemps, lors de sa 3e incarnation.

Une fois arrivĂ© Ă  la National Gallery, le Docteur n’en croit pas ses yeux : un tableau reprĂ©sentant Arcadia, la deuxiĂšme citĂ© de Gallifrey. Une reprĂ©sentation 3D, qui ne pourrait jamais se retrouver sur Terre en 2013. L’Ɠuvre montre la chute d’Arcadia au dernier jour de la Guerre du Temps. Kate Stewart indique qu’il y a quelques controverses concernant le nom du tableau : « No more » (plus jamais) ou « Gallifrey falls » (Gallifrey tombe) ? Quoi qu’il en soit, plus que d’une simple peinture, il s’agit d’un moment figĂ© dans le temps, un type d’art propre aux Seigneurs du Temps.

Le Docteur est visiblement perturbĂ©, et il se confie Ă  Clara Ă  propos de vieux souvenirs qu’il aurait voulu enterrer Ă  jamais, concernant une de ses prĂ©cĂ©dentes incarnations. Celle qui avait renoncĂ© aux valeurs qu’il avait toujours dĂ©fendues pour combattre durant la Guerre du Temps. Celle qui avait finalement dĂ©cidĂ© qu’il ne restait qu’une seule solution pour sauver l’univers et mettre fin Ă  la guerre : rayer Ă  la fois Gallifrey et les Daleks. Une dĂ©cision terrible, que le Docteur porte encore toujours comme une croix sur ses Ă©paules


Par l’intermĂ©diaire du tableau, nous plongeons alors en plein dans la Guerre du Temps. Dans Arcadia ravagĂ©e, les habitants paniquĂ©s tentent de fuir les Daleks, tandis que les derniers soldats n’arrivent plus Ă  enrayer l’avancĂ©e de leurs ennemis. Le Haut Conseil de Gallifrey reçoit un message : la citĂ© vient de tomber. Le soldat qui vient d’envoyer cette information entend alors la voix d’un homme ĂągĂ© derriĂšre lui : le « War Doctor ». Celui-ci lui demande son arme pour littĂ©ralement tailler un message sur un des murs de la ville : « No more », avant de partir Ă  bord de son Tardis, balayant au passage plusieurs Daleks.

Dans la salle de crise de la capitale, le GĂ©nĂ©ral, chef des armĂ©es gallifreyennes, apprend que quelqu’un a rĂ©ussi Ă  franchir les barriĂšres de sĂ©curitĂ© dans les sous-sols de la ville, qui abritent l’arsenal des Seigneurs du Temps. « Mais l’arsenal est vide : nous avons tout utilisĂ© contre les Daleks », s’étonne un officier. Non, il reste le « Moment », une arme si puissante que l’on en a interdit l’utilisation. Ou plutĂŽt elle s’y trouvait : le « War Doctor » vient de s’en emparer. Et il a bien l’intention de s’en servir.

La seule solution pour arrĂȘter le conflit 
 Mais Ă  quel prix ? 


Le War Doctor pose le Tardis sur une planĂšte dĂ©sertique, oĂč il rejoint une vieille cabane afin d’accomplir sa sinistre besogne
 De son sac, il sort une boĂźte Ă©trange. Il s’agit du Moment. Mais il a beau en regarder toutes les faces, impossible de voir comment l’activer. Entendant alors un frĂ©missement Ă  l’extĂ©rieur, il ouvre la porte, mais ne voit personne. « Ce n’est rien – juste un loup », fait soudain une voix derriĂšre lui. Face Ă  lui se tient Rose Tyler ! Il ne connaĂźt, bien sĂ»r, pas celle qui sera sa compagne durant ses 9e et 10e incarnations. En fait, il ne s’agit pas de Rose, mais de l’interface du Moment lui-mĂȘme, qui a pris l’apparence de la jeune femme. Ou plus exactement de « Bad Wolf », quand Rose avait assimilĂ© l’énergie au cƓur du Tardis, lui donnant briĂšvement un pouvoir Ă©norme (1.13 The Parting of the ways). L’arme, trĂšs sophistiquĂ©e malgrĂ© son apparence anodine, existe apparemment en dehors de l’espace-temps (au point de confondre passĂ© et prĂ©sent) et a choisi un personnage familier et essentiel du Docteur afin de faciliter le contact avec celui-ci. Le Moment a une sorte de conscience, qui veut que le War Doctor prenne le temps nĂ©cessaire pour se dĂ©cider Ă  l’activer. Incroyable, non ? Une arme qui fait tout pour qu’on ne l’utilise pas !

Alors qu’il insiste pour que le « Moment » cesse de l’appeler le Docteur (considĂ©rant qu’il a perdu le droit de porter ce nom), « Rose » tente de remettre en question sa dĂ©cision : s’il sauve l’univers et dĂ©truit les Daleks en activant le moment, ce sera au prix de l’éradication de son propre peuple. Combien d’enfants mourront sur Gallifrey ? Il l’ignore. Sans doute prĂ©fĂšre-t-il ne pas le savoir
 Elle ouvre alors une porte temporelle pour lui montrer ses futures incarnations, pour prouver qu’il redeviendra un Docteur. C’est alors qu’un fez traverse le vortex et tombe Ă  ses pieds !

Retour en 2013, oĂč le 11e Docteur apprend que la peinture d’Arcadia n’était pas la raison pour laquelle U.N.I.T. vient de le contacter. Elle n’avait d’autre but que de prouver l’authenticitĂ© du message de la Reine Elizabeth. Il y a autre chose Ă  que Kate Stewart veut lui montrer. Le Docteur lit alors la lettre de la Reine : « Mon cher amour, j’espĂšre que la peinture connue sous le nom de Gallifrey Tombe te prouvera que c’est bien ton Elizabeth qui t’écrit. Tu te rappelleras que tu as offert ton aide pour la sauvegarde de mon royaume. C’est pourquoi je t’ai nommĂ© conservateur de la Sous-Galerie, oĂč est enfermĂ© un danger mortel pour l’Angleterre. S’il devait se produire quoi que ce soit dans cette salle, je dĂ©sire qu’il soit fait appel Ă  toi. Bonne chance, tendre Ă©poux. »

Pour dĂ©couvrir cette Sous-Galerie, ils doivent se rendre dans une section de la National Gallery abritant des Ɠuvres considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses. Alors qu’ils s’éloignent, McGilop, un autre assistant de Kate Stewart, reçoit un mystĂ©rieux coup de tĂ©lĂ©phone. Regardant le tableau d’Arcadia, il demande Ă  son interlocuteur pourquoi il devrait dĂ©placer celui-ci


L’accĂšs Ă  la Sous-Galerie est cachĂ© derriĂšre une peinture plus classique, reprĂ©sentant Elizabeth I, ainsi que son Ă©poux – le Docteur. Mais pas le 11e


Autre Ă©poque, autre Docteur. En 1562, en Angleterre, le 10e Docteur emmĂšne la Reine Elizabeth pour une promenade Ă  cheval, sortant du Tardis aprĂšs lui avoir ainsi prouvĂ© ce que nous savons tous : c’est plus grand Ă  l’intĂ©rieur qu’à l’extĂ©rieur ! Tous deux partagent un agrĂ©able pique-nique avant que le Docteur demande la Reine en mariage. Une demande qu’elle s’empresse d’accepter. « C’était un piĂšge ! La vraie Reine n’aurait jamais acceptĂ©. Vous ĂȘtes un Zygon ! ». Un quoi ? Un Zygon, soit un alien mĂ©tamorphe. Mais en utilisant un dĂ©tecteur de Zygon (un appareil qui fait « ding », indique-t-il), le 10e Docteur rĂ©alise qu’il a bel et bien la vraie Reine en face de lui ! En fait, le Zygon avait pris la forme de leur cheval !

Alors qu’ils se sont sĂ©parĂ©s pour Ă©chapper au Zygon, le Docteur croit l’avoir retrouvĂ©, mais il se trouve, en fait, face Ă  un (vrai) lapin
 Pendant ce temps, la Reine vient d’ĂȘtre rattrapĂ©e par leur agresseur
 Quand le Docteur la retrouve, il a la dĂ©sagrĂ©able surprise de dĂ©couvrir deux Reines Elizabeth. Comment distinguer la vraie et le mĂ©tamorphe ? Pas le temps d’en savoir plus : une porte temporelle s’ouvre devant lui, et un fez tombe au sol (encore ?).

Nous revenons en 2013, dans la Sous-Galerie. Le sol y est couvert de poussiĂšre de roche, que le 11e Docteur demande Ă  Osgood d’analyser. Tandis qu’ils continuent leur chemin dans les couloirs, le Docteur voit un fez et ne peut s’empĂȘcher de s’en emparer. « Est-ce que vous arriverez un jour Ă  rĂ©sister Ă  la tentation ? », fait sa compagne. Ils arrivent enfin dans une nouvelle salle, oĂč sont exposĂ©s d’autres tableaux 3D, du mĂȘme type que « Gallifrey Tombe ». Ici, il s’agit de paysages divers. Le sol devant les Ɠuvres est jonchĂ© de verre : les vitrines des tableaux ont Ă©tĂ© brisĂ©es et projetĂ©es vers l’avant – comme si elles avaient Ă©tĂ© cassĂ©es de l’intĂ©rieur ! De plus, Kate leur montre des photos de ces tableaux : les personnages qui s’y trouvaient ont disparu ! Mais une nouvelle porte temporelle s’ouvre dans la piĂšce ! Le Docteur se souvient d’avoir dĂ©jĂ  vu cela par le passĂ© – et, cette fois, comprend pourquoi il porte le fez. Il jette le couvre-chef Ă  travers le passage temporel, avant d’y sauter Ă  son tour !

Il tombe au milieu d’une forĂȘt, pour se retrouver face Ă  sa 10e incarnation, qui finit par comprendre qu’il fait face Ă  lui-mĂȘme. Paire de lunettes et tournevis sonique : il ne peut s’agir que du Docteur ! Ne pouvant rĂ©gler le problĂšme de la Reine et de son double, le 10e Docteur leur ordonne, Ă  toutes deux, de partir dans des directions opposĂ©es. Le 11e, lui, contacte Clara Ă  travers la porte temporelle. Convaincu que celle-ci fonctionne dans les 2 sens, il lui renvoie le fez, mais Clara ne voit rien venir.

En effet, le fez est arrivĂ© aux pieds du War Doctor, qui traverse le vortex Ă  son tour et se retrouve face Ă  ses futures incarnations, alors que celles-ci ont tentĂ© en vain d’en inverser la polaritĂ©. « Je cherche le Docteur. », fait le War Doctor. « Vous ĂȘtes assurĂ©ment au bon endroit. », fait le 10e.

Croyant d’abord qu’il s’agit de compagnons (et notant au passage que ceux-ci sont de plus en plus jeunes), avant de comprendre qu’il se trouve effectivement face Ă  de futures versions de lui-mĂȘme, le « Guerrier » se pose tout de mĂȘme quelques questions sur les personnalitĂ©s qu’il endossera. Traverse-t-il une sorte de « crise de la quarantaine » (ce qui, vu son Ăąge, ne veut rien dire !).

Ils n’ont pas le temps d’approfondir le sujet, que des soldats les encerclent, bientĂŽt rejoints par la Reine, qui ordonnent leur arrestation immĂ©diate – le Zygon mĂ©tamorphe a donc Ă©liminĂ© la vraie Elizabeth
 Le trio ne doit de ne pas ĂȘtre immĂ©diatement exĂ©cutĂ© que grĂące Ă  la voix de Clara, qu’on entend Ă  travers le vortex temporel et que les Docteurs parviennent Ă  faire passer pour la « sorciĂšre du puits ». Ils sont emmenĂ©s Ă  la Tour de Londres, ce qu’ils font tout pour que leurs amis, en 2013, entendent clairement. En effet, de nos jours, la Tour de Londres abrite le siĂšge de U.N.I.T. !

Dans le prĂ©sent, Kate Stewart a compris l’allusion et emmĂšne Clara Ă  la Tour, qui abrite une salle renfermant toute une sĂ©rie d’objets, Ă©quipements et armes de pointe, venant le plus souvent d’autres mondes et d’autres Ă©poques. La salle est « Tardis-proof » : le vaisseau du Docteur ne peut pas s’y matĂ©rialiser. Clara s’étonne de pouvoir y entrer sans autre condition. Kate lui explique qu’elle a dĂ©jĂ  visitĂ© les lieux, mais ne s’en souvient pas. En effet, le contenu de la salle est tellement sensible, que les visiteurs ont la mĂ©moire effacĂ©e aprĂšs chaque visite.

Dans une chambre forte, se trouve l’objet le plus recherchĂ© : le manipulateur de vortex de Jack Harkness ! GrĂące Ă  celui-ci, il est possible de voyager Ă©galement dans le temps. Entretemps, en 1562, les trois Docteurs sont enfermĂ©s dans une geĂŽle de la Tour de Londres, oĂč le War Doctor tente d’analyser la lourde porte en bois qui les empĂȘche de fuir. Le bois, en effet, est un Ă©lĂ©ment qui rĂ©siste au tournevis sonique, et il faudra un temps Ă©norme pour obtenir les rĂ©sultats de cette analyse. Pendant ce temps, le 11e, lui, taille un message dans l’un des murs. GrĂące Ă  celui-ci, en 2013, Kate et Clara sauront oĂč et quand les trois incarnations sont enfermĂ©es.

De nos jours, dans la « Sous-Galerie », Osgood et McGilop, les deux assistants de Kate, dĂ©couvrent les rĂ©sultats de l’analyse de la poussiĂšre de roche trouvĂ©e au sol. Ils rĂ©alisent qu’elle provient des statues, couvertes de draps, qui les entourent. Mais si cette poussiĂšre, ce sont lesdites statues, qu’est-ce qui se trouve sous les draps ? Ils comprennent trop tard qu’ils sont encerclĂ©s par les crĂ©atures sorties des tableaux 3D : d’autres Zygons, qui ont tĂŽt fait de prendre l’apparence des deux chercheurs. Mais Osgood parvient Ă  s’enfuir malgrĂ© tout.

Dans la Tour de Londres, le message laissĂ© par le 11e Docteur en 1562 est, en fait, le code d’activation du manipulateur de vortex. GrĂące Ă  celui-ci, U.N.I.T. pourrait dĂ©sormais voyager dans le temps. U.N.I.T. ou n’importe qui s’approprierait l’appareil. Les Zygons, par exemple. C’est Ă  ce moment-lĂ  que Clara rĂ©alise que c’est l’un d’entre eux qui a pris l’apparence de Kate. Tandis que les doubles d’Osgood et McGilop la rejoignent, Clara garde la tĂȘte froide et s’empare du manipulateur avant de l’activer pour rejoindre le 16e siĂšcle.

Dans le passĂ©, les trois Docteurs se demandent toujours comment forcer la porte de leur cellule. Il faudrait des annĂ©es, des centaines d’annĂ©es pour que le tournevis sonique termine les calculs afin de la dĂ©sintĂ©grer. « Le Moment » fait une nouvelle apparition ; seul le War Doctor peut la voir. Elle le pousse Ă  demander aux deux autres s’ils savent combien d’enfants se trouvaient sur Gallifrey quand la planĂšte a Ă©tĂ© dĂ©truite. Le 11e n’en a aucune idĂ©e – il est « celui qui oublie » ; mais le 10e connaĂźt la rĂ©ponse : 2,47 milliards 
 – il est « celui qui regrette ». Le Moment rappelle alors au War Doctor qu’il a ses futures incarnations devant lui, avec leurs tournevis soniques qui, eux aussi, son le prolongement de son propre appareil. Le War Doctor rĂ©alise que s’il a lancĂ© l’analyse comme une sous-routine dans son exemplaire, cela signifie que ce calcul s’est poursuivi au travers de ses incarnations successives. En vĂ©rifiant son propre tournevis, le 11e Docteur (qui a 400 ans de plus que le War Doctor) dĂ©couvre que le calcul est terminĂ©. Ils vont donc pouvoir s’échapper ! C’est Ă  ce moment que Clara passe le nez par la porte !

« Comment avez-vous fait ça ? », l’interroge le 11e Docteur.
« La porte n’était pas fermĂ©e. », rĂ©pond-elle, ne rĂ©alisant pas qu’il parlait du fait qu’elle ait pu le rejoindre dans le passĂ© !

Elizabeth I apparaĂźt alors : elle avait laissĂ© la porte ouverte, pour tester ses prisonniers. La Reine les emmĂšne jusqu’à la cachette des Zygons. LĂ , on dĂ©couvre que ceux-ci s’enferment volontairement (via des « cubes de stase ») dans les tableaux 3D transportĂ©s en 2013 dans la « Sous-Galerie ». Leur objectif : rĂ©apparaĂźtre dans le prĂ©sent pour conquĂ©rir la Terre et en faire leur propre monde.

Alors que le dernier Zygon vient de se faire volontairement figer dans le tableau, Elizabeth rĂ©vĂšle qu’elle est la vraie Reine. Plus redoutable qu’elle en a l’air, elle avait rĂ©ussi Ă  Ă©liminer son double, avant de se faire passer pour lui, afin de dĂ©jouer le plan des mĂ©tamorphes. La nouvelle met le 10e Docteur dans l’embarras, lui qui Ă©tait convaincu qu’elle n’était pas la vĂ©ritable Elizabeth et qui ne s’était pas gĂȘnĂ© pour relever de supposĂ©es diffĂ©rences physiques disgracieuses
 Mais la Reine lui pardonne : elle l’épouse durant une brĂšve cĂ©rĂ©monie avant de lui demander de sauver l’Angleterre du 21e siĂšcle.

Alors que les deux jeunes mariĂ©s s’embrassent amoureusement, le War Doctor s’interroge : cela se produit souvent dans le futur ? Le Docteur Ă©tait sensiblement plus prude dans ses incarnations antĂ©rieures


Les trois Docteurs et Clara embarquent dans le Tardis du 10e Docteur pour rejoindre 2013. Le vaisseau est quelque peu perturbĂ© : son apparence intĂ©rieure change plusieurs fois, selon le « look » que lui avait donnĂ© chaque incarnation, avant de se figer sous la forme la plus rĂ©cente (un dĂ©cor que n’aime guĂšre le 10e Docteur). Que faire pour stopper le plan des Zygons ? « Simple : se rendre dans la salle sous la Tour de Londres », fait Clara. Surprise pour les trois Docteurs, qui ignoraient jusqu’à l’existence mĂȘme de cette salle. Quant Ă  l’atteindre, cela ne sera pas facile, vu qu’elle est « Tardis-proof » 

Dans ladite salle, les trois Zygons se retrouvent face aux vĂ©ritables Osgood, McGilop et Kate. Cette derniĂšre lance le compte-Ă -rebours qui dĂ©truira la salle – et tout Londres avec elle. Elle n’a pas d’autre choix pour sauver la planĂšte. Mais son double est capable de tromper la reconnaissance vocale et arrĂȘte le compte-Ă -rebours. Les deux Kate se succĂšdent pour redĂ©marrer et re-stopper le dĂ©compte.

A bord du Tardis, le 11e Docteur parvient Ă  appeler Kate, mais il n’arrive pas Ă  la convaincre de renoncer Ă  tout faire sauter. Le vaisseau ne peut toujours pas franchir la barriĂšre de protection de la salle. Mais il reste une solution. Il appelle McGilop quelques heures dans le passĂ©. Rappelez-vous l’étrange coup de fil que ce dernier avait reçu, s’étonnant de devoir dĂ©placer le tableau « Gallifrey tombe » 


En effet, entretemps, l’Ɠuvre 3D se trouve dans la salle « anti-Tardis ». Les trois Docteurs et Clara utilisent alors un « cube de stase », pour entrer dans ce mĂȘme tableau et en ressortir aussitĂŽt
 au milieu de la salle sous la Tour de Londres !

Comme Kate n’est toujours pas dĂ©cidĂ©e Ă  arrĂȘter la destruction de Londres, les Docteurs dĂ©clenchent les appareils effaçant leur mĂ©moire aux humains et aux Zygons (les Docteurs semblant immunisĂ©s). Les deux Kate, ne sachant plus pourquoi le compte-Ă -rebours a Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©, l’arrĂȘtent de concert. Ne sachant mĂȘme plus s’ils sont humains ou Zygons, les deux camps entament des nĂ©gociations de paix. Pendant ce temps-lĂ , le War Doctor a pris sa dĂ©cision. Le Moment le ramĂšne dans la cabane oĂč l’arme attend d’ĂȘtre dĂ©clenchĂ©e.

Cette fois, les choses sont simples : au sommet de l’étrange boĂźte, se trouve un gros bouton rouge, qu’il suffit d’enfoncer pour que Gallifrey et les Daleks soient dĂ©truits. Soudain deux Tardis se matĂ©rialisent derriĂšre lui. Les 10e et 11e Docteurs, accompagnĂ©s de Clara, ont dĂ©cidĂ© d’aider le War Doctor. A l’origine, celui-ci avait pris seul sa dĂ©cision, sans le recul qu’ils ont tous les deux. Cette fois, ils sont prĂȘts Ă  appuyer avec lui sur la mise en route de la « superbombe ». Clara est dĂ©sespĂ©rĂ©e : jamais elle n’aurait cru que son Docteur serait prĂȘt Ă  faire cela.

Le Moment fait une ultime tentative pour empĂȘcher qu’on le dĂ©clenche. Il projette une vision de Gallifrey, avec des enfants en pleurs et des innocents terrorisĂ©s. Clara insiste : l’univers n’a pas besoin d’un Guerrier, mais d’un Docteur. Pendant ce temps, le jour se lĂšve sur Gallifrey. Un jour d’espoir, car le Moment, capable de dĂ©truire une galaxie entiĂšre, n’a toujours pas Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©.

Les Docteurs n’ont-ils vraiment pas d’autre choix ? Peut-ĂȘtre que si


Le Moment a rĂ©ussi Ă  mettre le doute dans l’esprit du War Doctor, en lui montrant le futur. Les trois incarnations trouvent une solution. Une solution qui donnera l’impression de ne pas modifier le fil des Ă©vĂ©nements. Comme l’avait fait le 11e Docteur dans « The Wedding of River Song » 

Ils vont tĂ©lĂ©porter Gallifrey tout entiĂšre dans un micro-univers, figeant la planĂšte dans le temps. Par la mĂȘme occasion, les Daleks, en orbite tout autour de la planĂšte, vont se dĂ©truire les uns les autres par leurs tirs croisĂ©s !

Un plan culottĂ©, qui ne peut rĂ©ussir qu’aprĂšs de longs calculs et qui nĂ©cessitent de l’aide et du temps supplĂ©mentaires. Les trois Docteurs embarquent dans leurs versions du Tardis avant de foncer vers Gallifrey au moment oĂč elle est sur le point d’ĂȘtre dĂ©truite par les Daleks. Ils contactent le Haut-Commandement de leur planĂšte et parviennent Ă  convaincre le chef des armĂ©es d’exĂ©cuter ce plan, qui sauvera leur monde, tout en le figeant dans le temps. Quant Ă  l’aide supplĂ©mentaire, elle arrive : toutes les incarnations passĂ©es du Docteur se joignent Ă  eux, le calcul de leur plan ayant Ă©tĂ© lancĂ© par la premiĂšre incarnation ! Mieux que cela : il y a treize Tardis en approche : le 12e Docteur fait sa premiĂšre apparition !

Les treize incarnations lancent la tĂ©lĂ©portation : Gallifrey disparait – et les Daleks sont tous dĂ©truits !

De retour dans la National Gallery, les trois Docteurs se demandent si leur plan a fonctionnĂ©. Impossible de le vĂ©rifier, mais, comme le dit le War Doctor, il vaut mieux Ă©chouer en choisissant la bonne solution que de rĂ©ussir en optant pour la mauvaise
 Les deux autres incarnations insistent d’ailleurs : il est bien redevenu un Docteur. Tous trois rĂ©alisent aussi qu’hĂ©las, les deux premiers vont oublier ce qu’ils viennent de rĂ©aliser, et ils seront convaincus d’avoir dĂ©truit leur peuple. Mais pour l’instant, autant savourer le rĂ©confort de l’avoir sauvĂ© !

Le War Doctor fait ses adieux et embarque Ă  bord de son Tardis. Peu aprĂšs, la rĂ©gĂ©nĂ©ration commence. A sa grande joie, il s’apprĂȘte Ă  devenir le 9e Docteur.

Le 10e, lui, interroge le 11e sur ce qui l’attend. Ce dernier lui rĂ©vĂšle qu’il a vu Trenzalore, avant que le plus ancien des 2 parte Ă  son tour.

Restant seul avec Clara, le 11e Docteur s’étonne que Clara sache qu’il voudrait rester quelque peu seul. « Comment le saviez-vous ? » « Je sais toujours tout », fait-elle avant de le laisser, indiquant qu’un vieil homme, sans doute le conservateur du musĂ©e, le cherchait. « Conservateur, voilĂ  un mĂ©tier qui me plairait », soliloque-t-il. Une voix, derriĂšre lui, rĂ©plique qu’il ferait un excellent conservateur. Le Docteur se tourne pour dĂ©couvrir un homme qui ressemble Ă©trangement au 4e Docteur : le conservateur. Ce dernier lui rĂ©vĂšle que la peinture 3D d’Arcadia porte le nom de « Gallifrey falls no more » (Gallifrey ne tombe plus), preuve que la planĂšte a Ă©tĂ© effectivement sauvĂ©e.

Le 11e Docteur a dĂ©sormais une nouvelle mission. Alors qu’il Ă©voque ses rĂȘves, on le voit entourĂ© de toutes ses prĂ©cĂ©dentes incarnations. Sa mission, dĂ©sormais, c’est de retrouver Gallifrey et de la ramener dans l’univers.

Liste - non exhaustive, et de trĂšs loin ! – des rĂ©fĂ©rences

  • Le gĂ©nĂ©rique du dĂ©but est semblable Ă  celui du tout premier Ă©pisode de la sĂ©rie (An unearthly child), si ce n’est l’ajout du logo actuel de la BBC.
  • Dans la toute premiĂšre scĂšne, un panneau nous indique la proximitĂ© d’un ferrailleur du nom de I.M. Foreman (« Je suis Foreman ») : Susan Foreman Ă©tait la petite-fille du Docteur dans les toutes premiĂšres saisons. L’adresse (76 Totter’s Lane) de ce mĂȘme ferrailleur est celle oĂč se rendent Barbara Wright et Ian Chesterton, les professeurs de Susan, dans ce mĂȘme 1er Ă©pisode, pour n’y dĂ©couvrir qu’une « police box », au milieu d’un dĂ©potoir. Ian et Barbara deviennent alors les premiers compagnons du Docteur.
  • Sur la mĂȘme image, un autre panneau indique le nom de l’école oĂč travaille Clara ; le directeur du Conseil d’administration de l’établissement est Ian Chesterton
  • Lorsque Clara quitte l’école en moto, on voit une horloge, qui indique 17h16, c.-Ă -d., l’heure Ă  laquelle dĂ©marra la diffusion de l’épisode pilote, en 1963.
  • La scientifique Osgood porte une longue Ă©charpe semblable Ă  celle du 4e Docteur.
  • Le 10e ne peut pas croire que le 11e Docteur ne se souvienne de leur rencontre (qu’il a forcĂ©ment dĂ©jĂ  vĂ©cue, puisqu’elle fait partie de son propre passĂ©) – clin d’Ɠil envers les fans, dont bon nombre se demandent comment plusieurs incarnations peuvent ainsi se croiser sans que la plus jeune ne se souvienne pas d’avoir dĂ©jĂ  vĂ©cu ladite rencontre.
  • Lorsque les 2 Docteurs tentent d’inverser le sens dans la porte temporelle ouverte par le Moment, il parle d’inverser la polaritĂ©. « Inversez la polaritĂ© » Ă©tait la phrase typique du 3e Docteur.
  • Le 10e Docteur s’exclame Ă  un moment : « Regeneration, it’s a lottery! », une des phrases typiques du 7e Docteur
  • Lorsque les 3 docteurs se retrouvent Ă  l’intĂ©rieur du Tardis, l’intĂ©rieur prend plusieurs apparence, dont une « hybride » reprenant certains Ă©lĂ©ments des dĂ©but de la sĂ©rie, avec les murs recouverts de cercles ; le bref dialogue qui suit, entre D. Tennant et M. Smith, est une parenthĂšse dans l’histoire, tenant plus du commentaire de fans, adorant le look des premiers temps, que du dialogue entre les personnages
  • Quand le 10e Docteur demande au 11e oĂč il se rendra ensuite, celui-ci rĂ©pond par « Spoilers », qui est la rĂ©plique classique de River Song.
  • Le code d’activation du manipulateur de vortex de Jack Harkness est 1716231163, soit l’heure et la date de diffusion originale du toute premier Ă©pisode.
  • Lorsqu’ils sont enfermĂ©s dans la Tour de Londres, les 3 incarnations discutent sur leur Ăąge respectifs ; ceux-ci restent assez vagues – rĂ©fĂ©rence au flou qu’il y a souvent eu sur l’ñge du Docteur Ă  travers la sĂ©rie.
  • Lors d’un dialogue entre les chefs des armĂ©es sur Gallifrey, on apprend que le Haut-Conseil a organisĂ© une rĂ©union d’urgence et a ses propres plans ; c’est une rĂ©fĂ©rence Ă  « The End of Time », oĂč Rasillon, tente de sauver Gallifrey par l’intermĂ©diaire du MaĂźtre.
  • Maintenant qu’on a la confirmation de la rĂ©gĂ©nĂ©ration du War Doctor en 9e Docteur, toutes les rĂ©gĂ©nĂ©rations ont Ă©tĂ© montrĂ©es Ă  l’écran ; Christopher Eccleston ayant hĂ©las refusĂ© de participer Ă  ce « spĂ©cial », on ne voit pas la rĂ©gĂ©nĂ©ration se dĂ©rouler jusqu’au bout, mais, un effet spĂ©cial nous permet de voir briĂšvement les yeux du War Doctor se transformer et ressemble Ă  ceux du 9e Docteur
  • La prĂ©sence des Zygons n’est pas un hasard : c’est justement Ă  la fin de la Guerre du Temps que leur planĂšte d’origine fut dĂ©truite ; raison pour laquelle ils tentent de s’emparer de la Terre pour en faire leur nouveau monde.
  • Le 11e Docteur parle au 10e du destin qui l’attend Ă  Trenzalore. Le 10e dit alors qu’il veut ne pas aller lĂ -bas : « I dont’ wanna go », qui est la toute derniĂšre phrase prononcĂ©e par le 10e Docteur avant de se rĂ©gĂ©nĂ©rer, Ă  la fin de « The End of Time ».
  • C’est la 6e fois que plusieurs incarnations sont rĂ©unies Ă  l’écran ; avec toutes celles connues en action, il s’agit bien sĂ»r d’un record : 13 Docteurs, y compris, pour la toute premiĂšre fois, une incarnation future (12e Docteur) et un « Guerrier ».

Thierry B.
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💬Commentaires

1.Posté par Thierry B. le 24/11/2013 02:10 | Alerter
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ThierryB
Un épisode à la hauteur de mes attentes et qui ouvre une toute nouvelle perspective pour la suite de la série.

2.Posté par Frédéric VASSEUR le 24/11/2013 09:14 | Alerter
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FredV
Un épisode vraiment excellent, qui répond à pas mal de questions et redéfinit une partie du contexte. Un ton trÚs sombre mais également beaucoup d'humour. Une présence surprenante pour Billie Piper et un trio de Docteurs particuliÚrement réussi.

3.Posté par Koyolite TSEILA le 25/11/2013 13:07 | Alerter
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KoyoliteTseila
Je me suis vraiment Ă©normĂ©ment et sincĂšrement rĂ©jouie Ă  l’idĂ©e de cet Ă©pisode anniversaire. Malheureusement, j’ai Ă©tĂ© trĂšs déçue. C'est d'autant plus une baffe que je me faisais une joie depuis plusieurs jours de voir ça. PremiĂšrement, je n’ai pas compris grand-chose au scĂ©nario (mais lĂ  c’est peut-ĂȘtre ma faute, pourtant, je pensais ĂȘtre prĂȘte). Ensuite, j’ai trouvĂ© les dialogues complĂštement entendus entre les deux Docteurs. Moi qui me rĂ©jouissait de voir David Tennant et Matt Smith rĂ©unis Ă  l’écran, et bien leurs Ă©changes de blagues Ă  2 balles (du genre chatouille-moi les cĂŽtes pour que je me marre – ha ha) ne m’ont pas du tout enchantĂ©e. Ils n'Ă©taient pas convaincants, ni l'un, ni l'autre (et pourtant, vous savez comme je les apprĂ©cie !). Bref, je me suis tellement ennuyĂ©e devant cet Ă©pisode, que je ne l’ai mĂȘme pas regardĂ© en entier. Pour les 50 ans de la sĂ©rie, c’est pour moi un Ă©pisode totalement insipide. La sĂ©rie nous a habituĂ©s a mieux. Il suffit par exemple de regarder l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent : The Name of The Doctor.

Y'avait quand mĂȘme quelques bonnes choses, mais l'Ă©pisode Ă©tait super mal ficelĂ©.

4.Posté par Frédéric VASSEUR le 25/11/2013 18:51 | Alerter
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FredV
Pour le coup, je suis à l'inverse : c'est plus l'épisode "Le Nom du Docteur" qui m'a semblé un peu terne.

J'ai vu deux fois "Le Jour du Docteur" et je le trouve vraiment excellent. Il répond à presque toutes les questions qui étaient en suspens (les sous-entendus sur la reine Elisabeth, la fin de la guerre du temps), il dévoile ce qui était sous-entendu (la transition de Paul McGann vers John Hurt puis de John Hurt vers Christopher Eccleston) et il montre entre les deux derniers docteurs une alchimie qui m'a semblé trÚs bien fonctionner.

La fin (ou plutĂŽt les deux fins, successivement) est particuliĂšrement bien trouvĂ©e et donne une nouvelle orientation pour la saison qui s'annonce en mĂȘme temps qu'une nouvelle lecture des sept derniĂšres saisons.

AprÚs l'avoir vu deux fois, je reste trÚs enthousiaste. Mais ta déception ne me surprend pas beaucoup : les différents trailers et éléments d'info lùchés de temps en temps depuis quelques semaines ont tellement fait monter à la fois la tension et les attentes qu'il me semble normal que beaucoup soient déçus : la barre était artificiellement placée trÚs haut.

5.Posté par Al harim le 23/02/2014 03:28 | Alerter
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Personnelement je trouve que l'épisode est bien mais je m'attender a mieu donc La pandorica va s'ouvrire reste mo epiode prefere meme si il n'y pas david tennant

6.Posté par Thierry B. le 24/02/2014 12:40 | Alerter
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ThierryB
Le scĂ©nario mĂȘle une histoire dans la lignĂ©e de la saison et de trĂšs nombreuses rĂ©fĂ©rences Ă  l'univers du Docteur et aux origines de la sĂ©rie. Cela peut parfois quelque peu perturber le dĂ©roulement de l'histoire, mais ne peut que satisfaire celles et ceux, comme moi, qui ont connu les 2 "Ă©poques".

Si vous en avez l'occcasion, il faut à tout prix voir le tout premier épisode : dÚs les premiers secondes de "Day of ...", on reconnaßt les clins d'oeil à "An unearthly child".

7.Posté par Thierry B. le 22/05/2014 22:50 | Alerter
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ThierryB
L'épisode parodique "parallÚle" The Five(ish) Doctors vaut également le détour : un petit bijou d'auto-dérision avec une magnifique affiche. Pas sur, par contre, qu'il en existe une version doublée, voire sous-titrée...

8.Posté par Méline le 06/06/2014 11:54 | Alerter
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J'ai adorée cet épisode, il y a plein de référence
Il est drÎle, avec les 3 docteurs, et il est trÚs émouvant! Comme à la fin!
Juste génial!!

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