Doctor Who : The Dead Planet © BBC
The Daleks : un Ă©pisode en 7 parties
- The Dead Planet
- The Survivors
- The Escape
- The Ambush
- The Expedition
- The Ordeal
- The Rescue
Présentation
Après avoir fuit des hommes des cavernes en pleine Préhistoire (« An unearthly Child »), le Docteur et ses compagnons repartent pour des nouvelles aventures, au-delà du temps et de l’espace.
Quand le Tardis se matérialise, il est évident qu’ils ne sont pas arrivés dans l’Angleterre de 1963. Au grand désappointement de Barbra et Ian : les deux enseignants ne sont pas encore revenus chez eux ! A tout dire, ce monde étrange semble mort : tout y est figé, qu’il s’agisse des plantes ou même des animaux (comme cet étrange lézard métallisé qui effraie Susan). Cette fois, c’est sûr, ils ne sont pas sur Terre. Cette première exploration des lieux ne les rassurant guère, Ian convainc le Docteur de repartir au plus vite. Mais le Tardis refuse de « décoller » ! Selon le Docteur, la réserve de mercure, essentielle à son fonctionnement, est épuisée (mais le sourire discret du Seigneur du Temps donne à penser qu’il l’a fait exprès !). Il ne leur reste plus qu’à trouver ce précieux liquide sur ce monde mort…
Laissant dans le Tardis une étrange boîte trouvée devant leur vaisseau, ils partent à la recherche de mercure. Au-delà de la forêt dans laquelle ils sont arrivés, ils trouvent une ville, tout aussi figée que la nature environnante. Espérant y trouver du mercure, les quatre voyageurs se dispersent dans les couloirs de plusieurs immeubles. Malheureusement, la cité n’est pas aussi morte qu’ils l’avaient cru. Surtout, pour Barbara, qui fait la connaissance de ses habitants de manière bien peu agréable…
En tentant de la retrouver, ses amis se font prendre à leur tour. Face à eux apparaissent d’étranges robots. Enfin, non : il ne s’agit pas de robots, mais d’aliens qui s’abritent à l’intérieur d’armures. Les Daleks, qui ne peuvent survivre à l’extérieur de ces « carapaces de métal », ont subi d’horribles mutations suite à une guerre à l’échelle planétaire avec une autre espèce habitant les lieux : les Thals.
Quand le Tardis se matérialise, il est évident qu’ils ne sont pas arrivés dans l’Angleterre de 1963. Au grand désappointement de Barbra et Ian : les deux enseignants ne sont pas encore revenus chez eux ! A tout dire, ce monde étrange semble mort : tout y est figé, qu’il s’agisse des plantes ou même des animaux (comme cet étrange lézard métallisé qui effraie Susan). Cette fois, c’est sûr, ils ne sont pas sur Terre. Cette première exploration des lieux ne les rassurant guère, Ian convainc le Docteur de repartir au plus vite. Mais le Tardis refuse de « décoller » ! Selon le Docteur, la réserve de mercure, essentielle à son fonctionnement, est épuisée (mais le sourire discret du Seigneur du Temps donne à penser qu’il l’a fait exprès !). Il ne leur reste plus qu’à trouver ce précieux liquide sur ce monde mort…
Laissant dans le Tardis une étrange boîte trouvée devant leur vaisseau, ils partent à la recherche de mercure. Au-delà de la forêt dans laquelle ils sont arrivés, ils trouvent une ville, tout aussi figée que la nature environnante. Espérant y trouver du mercure, les quatre voyageurs se dispersent dans les couloirs de plusieurs immeubles. Malheureusement, la cité n’est pas aussi morte qu’ils l’avaient cru. Surtout, pour Barbara, qui fait la connaissance de ses habitants de manière bien peu agréable…
En tentant de la retrouver, ses amis se font prendre à leur tour. Face à eux apparaissent d’étranges robots. Enfin, non : il ne s’agit pas de robots, mais d’aliens qui s’abritent à l’intérieur d’armures. Les Daleks, qui ne peuvent survivre à l’extérieur de ces « carapaces de métal », ont subi d’horribles mutations suite à une guerre à l’échelle planétaire avec une autre espèce habitant les lieux : les Thals.
Mais pour le Docteur et ses compagnons, les choses vont mal : contrairement à ce qu’ils pensaient, la planète baigne toujours dans les radiations, et ils commencent à en ressentir les effets mortels. Seule solution : récupérer la boîte qu’ils ont laissée dans le Tardis. Celle-ci s’avère contenir un antidote aux effets de la radiation. Les Daleks autorisent Susan à aller récupérer la boîte, l’obligeant ainsi à traverser seule la forêt. Alors qu’à cette occasion la petite-fille du Docteur fait la connaissance d’un Thal, qui au contraire des Daleks n’a rien d’effrayant, les Daleks espèrent bien utiliser l’antidote pour eux-mêmes. Dans le cas contraire, ils ne pourront plus se passer d’un environnement irradié et se rabattront sur le plan B : inonder la planète des radiations, détruisant tout ce qui restent de vivant, tuant les Thals au passage (ce qui n’est pas pour leur déplaire, eux, qui n’ont qu’une seule idée : exterminer !).
Mais comment les voyageurs du Tardis vont-ils parvenir à empêcher cette catastrophe, eux qui sont toujours prisonniers ? Et comment ensuite convaincre les Thals de reprendre le combat, eux qui sont désormais pacifistes et convaincus de pouvoir faire la paix avec leurs anciens ennemis ?
Mais comment les voyageurs du Tardis vont-ils parvenir à empêcher cette catastrophe, eux qui sont toujours prisonniers ? Et comment ensuite convaincre les Thals de reprendre le combat, eux qui sont désormais pacifistes et convaincus de pouvoir faire la paix avec leurs anciens ennemis ?
Autour de l'Ă©pisode
Le titre de cette deuxième aventure ne fait aucun doute : il s’agit là de la première rencontre du Docteur avec ses principaux ennemis : les Daleks !
Tous les détails ne sont pas encore fixés, mais on découvre ainsi Skaro, le monde d’origine des Daleks, ainsi que leurs anciens ennemis : les Thals. Ces derniers sont de paisibles fermiers, alors qu’ils étaient autrefois de farouches guerriers. Par un étrange retournement de situation, les Daleks, désormais sans pitié, étaient autrefois des poètes… Notons aussi que si les Daleks sont difformes, au point de s’abriter dans leurs « carapaces » métalliques, les Thals ont retrouvé une apparence humanoïde.
Sur le plan pratique, la réalisation des 7 épisodes qui composent cette aventure a nécessité des trésors d’imagination pour présenter une variété de décors ainsi que pour créer pas moins de… 6 Daleks ! La fabrication de ces derniers avaient englobé une grande partie du budget encore modeste à l’époque. Pour compléter le nombre dans certaines scènes, on avait parfois ajouté de « faux » Daleks, gonflables ou en carton ! Même pour les « vrais », il avait fallu renoncer à certaines idées de départ. Ainsi, l’un des bras des Daleks devait se terminer par une sorte de « main » (façon de parler), mais les moyens financiers étant épuisés, on s’est rabattu sur un ventouse, toujours présente aujourd’hui !
Toujours est-il qu’à la fin du 7e épisode, les Daleks sont vaincus, morts. Et nous n’entendrons plus jamais parler d’eux ! Enfin… c’est ce que tout le monde croit !
Tous les détails ne sont pas encore fixés, mais on découvre ainsi Skaro, le monde d’origine des Daleks, ainsi que leurs anciens ennemis : les Thals. Ces derniers sont de paisibles fermiers, alors qu’ils étaient autrefois de farouches guerriers. Par un étrange retournement de situation, les Daleks, désormais sans pitié, étaient autrefois des poètes… Notons aussi que si les Daleks sont difformes, au point de s’abriter dans leurs « carapaces » métalliques, les Thals ont retrouvé une apparence humanoïde.
Sur le plan pratique, la réalisation des 7 épisodes qui composent cette aventure a nécessité des trésors d’imagination pour présenter une variété de décors ainsi que pour créer pas moins de… 6 Daleks ! La fabrication de ces derniers avaient englobé une grande partie du budget encore modeste à l’époque. Pour compléter le nombre dans certaines scènes, on avait parfois ajouté de « faux » Daleks, gonflables ou en carton ! Même pour les « vrais », il avait fallu renoncer à certaines idées de départ. Ainsi, l’un des bras des Daleks devait se terminer par une sorte de « main » (façon de parler), mais les moyens financiers étant épuisés, on s’est rabattu sur un ventouse, toujours présente aujourd’hui !
Toujours est-il qu’à la fin du 7e épisode, les Daleks sont vaincus, morts. Et nous n’entendrons plus jamais parler d’eux ! Enfin… c’est ce que tout le monde croit !
