
La dernière des Crocs Écarlates T1 : Le Chevalier de l'Inquisiteur © 2024 Épona De Givremer
En mettant ses crocs au service d'un ténébreux seigneur angélique, la dernière vampire se lance dans une quête qui pourrait bien lui coûter plus que son éternité...
Unique survivante du peuple maudit des Crocs Écarlates, Helegmeryl mène une morne existence de servitude au sein de la maison angélique d'Idocrase. Alors que par un sinistre jour d'automne, elle apprend le trépas de son maître, l'inquisiteur céleste, et voit s'éteindre son héritier, elle réalise avec effroi qu'elle va désormais appartenir à Adamiel, un Ange étrange jadis exilé pour un crime odieux. Brusquement libérée de ses chaînes et élevée au rang de chevalier par celui qu'elle redoutait tant, la timide et loyale Helegmeryl décide de jeter sa méfiance aux oubliettes et aide son nouveau seigneur à affermir sa position dans l'impitoyable Purgatoire.
Mais lorsqu'elle découvre qu'Adamiel aspire à détrôner l'un des Anges les plus redoutables de la Création, elle craint que cette folle ambition ne sonne le glas d'Idocrase et de celui dont elle s'est éprise malgré elle...
Dans un monde pris en tenailles entre Cieux et Enfer, plongée au coeur de féroces luttes angéliques, Helegmeryl parviendra-t-elle à trouver sa place sans perdre non seulement la vie, mais aussi son âme et son coeur ?
Fiche de lecture
Bon, alors là, faut que t’arrêtes de faire chauffer la molette de ton raton jusqu’à l’incandescence et qu’on cause sérieusement, hein ! De quoi ? Ben d’un bouquin que je viens de lire, tiens !
Avec les auteurs autoédités, faut pas se leurrer : c’est la roulette russe. Soit tu te retrouves avec une bouse monumentale, genre le truc qui te donne envie de demander le remboursement de tes heures perdues à la vie elle-même ; soit, par miracle, tu tombes sur un bijou narratif de première bourre qui te laisse sur l’arrière-train en te donnant un avant-goût de paradis. Et là, mon pote, on est clairement dans la seconde catégorie. Oui, parce que le bouquin dématérialisé que j’ai entre les pognes, c’est pas pour les constipés de l’imagination ou les paralytiques de la péripétie. Non ! Ça t’envoie plutôt du bois et du rêve à jets continus et avec maestria. Une plume qui a de la bouteille et qui n’a qu’un but : te rendre ivre.
Rien que le blaze de l’autrice, déjà... Épona de Givremer ! Ça claque comme un nom de princesse-guerrière dans un royaume de fantaisie peuplé de monstres et de magiciens. Tu l’entends déjà sortir des répliques héroïques en brandissant une épée légendaire sur fond de coucher de soleil et avec une section de cordes bien grondante en arrière-plan. Plus qu’un pseudo, c’est un programme. Et elle te balance un bouquin qui te choppe dès les premières pages et qui te lâche plus. Comme un inspecteur des impôts, mais en vachement plus sympa et plus littéraire... Hyper prenant et hyper bien ficelé. Du cousu main à coups de plume !
L’autrice, elle sait de quoi elle cause. C’est pas du gribouillage sans conséquence et sans but. Non, elle t’a pondu une histoire aux petits oignons, avec du suspense à en crever et des rebondissements qui te tombent sur le coin du blair sans prévenir. Et tout ça, pendant qu’elle te parle, tranquillou, de hiérarchies angéliques et démoniaques, et de concepts kabbalistiques. Bref, des trucs qui te font mal au crâne si t’es pas un peu calé en théologie et en occultisme.
Alors, l’histoire commence avec Helegmeryl. Une sacrée nana, faut le dire. Belle gosse, certes, mais pas du genre à poser et à défiler sur les podiums. Non, elle, c’est du genre crocs acérés, ailes tranchantes comme un rasoir et châsses couleur volcan et tout le toutim. Sa vie et le livre débutent mal pour cézigue : elle est la dernière de sa race. Les Crocs Écarlates. La solitude, c’est sa vieille amie et le rejet, son pain quotidien. Et puis avec ça, elle a des trous de mémoire gros comme des cratères de volcans islandais. Bref, elle sait plus trop qui elle est, d’où elle vient, ni pourquoi elle en est arrivée là. La cerise pourrie sur le gâteau immangeable, c’est qu’elle commence l’hsitoire comme esclave. Oui, esclave, tu m’as bien entendu ! De qui ? D’Arachimiel, l’Inquisiteur Céleste, un emplumé de première, un mec pas drôle mais super puissant, le genre a faire la pluie et le beau temps dans l’Arbre de Vie et à tailler le bout de gras avec El Shaddaï. Bref, elle a un passé et un présent plus lourd qu’un album de funeral doom joué au ralenti, l’Helegmeryl.
Mais ça va vite changer pour elle. Et même en mieux ! L’Arachimiel crève un beau matin, sans prévenir et c’est la panique au pays des dominations et des puissances. On fait venir bécif l’héritier et paf ! Crac ! Boum ! Lui aussi se fait refroidir. Et là, qui c’est qui débarque ? Adamiel. Un ange pas net, celui-là. Exilé pour une affaire louche, un truc pas racontable et qui sent le souffre. Helegmeryl se dit qu’elle va y passer, mais surprise : le type, au lieu de la foutre au placard, il lui rend sa liberté et il lui file un titre de chevalier ! Elle, chevalier, tu m’suis ?
Ah, Adamiel… son maître. C’est pas n’importe qui, ce type. Un BG au sourire séraphique et aux muscles célestes. Le gars pourrait poser pour des couvertures de magazines gothiques entre deux descentes sur Terre... Un vraie gravure de mode avec le look sombre qui va bien et toujours tiré à quatre épingles. Il fait tellement rêver que ça en devient un cauchemar.
Notre bombasse vampirique, eh ben il l’a à la bonne, et pas qu’un peu, l’Adamiel. Ouais, il a un petit faible pour les grandes nerveuses, avec les crocs qui brillent et les yeux rouges qui te lancent des éclairs. Ça lui fouette les sangs, même ! Tout aurait pu rouler comme sur des rails, si Adafiel, notre beau gosse aux rémiges d’ébène, avait pas ce petit défaut qu’on appelle l’hubris. Et la sienne, elle dépasse l’entendement. Faut dire qu’il vise pas les miettes, le lascar. Non, monsieur a décidé qu’il allait carrément s’attaquer à l’Ange de la Mort en personne. Ouais, rien que ça ! Le tarter et lui piquer son job, voilà ce qu’il veut. Ambiance ! Alors évidemment, tu te dis que c’est de la folie furieuse, hein ? Et t’as pas tort. T’imagines, vouloir remplacer l’Ange de la Mort, comme si c’était un poste qu’on pouvait obtenir avec un CV bien rédigé et une lettre de motivation ! Mais Adafiel, il est là, confiant, avec ses plumes sombres et son air de mannequin batcave. Il croit qu’il peut tout se permettre, qu’il est fait pour camarder à la place de la Camarde.
Et voilà, à cause de ce grand échalas alléchant et de ses plans qui sentent le bran, ben elle est en train de tout perdre, la pauvre Helegmeryl. Comme si c’était pas déjà assez compliqué de jongler entre son passé brisé et son avenir incertain, faut qu’elle gère aussi les conneries d’un ange mégalo. Tu parles d’un timing foireux ! Faut croire que le destin a un sens de l’humour bien tordu.
Bon, j’vous raconte tout ça sur un ton léger, OK, mais soyons clairs : ce roman, c’est pas de la rigolade. Non, c’est du lourd, du qui vous accroche dès les premières pages et qui vous lâche pas. C’est blindé de rebondissements, de batailles épiques à crever, et de grands sentiments qui vous prennent aux tripes et au palpitant. Y a pas de quoi s’ennuyer, je vous l’dis !
Et attendez, c’est pas fini ! Parce que là-dedans, c’est la foire aux bestioles : y a des sirènes, des manticores, des femmes-araignées... Oui, oui, j’ai bien dit « femmes-araignées » ! Ça part dans tous les sens, et j’vous garantis que c’est pas pour les âmes sensibles. Un formidable et admirable bazar !
Alors franchement, si avec ça vous trouvez encore à redire, je sais pas ce qu’il vous faut de plus ! Peut-être des licornes qui font la vaisselle ? Allez, courez-moi lire ce récit à nul autre pareil d’Épona de Givremer. Vous ne le regretterez pas.
Avec les auteurs autoédités, faut pas se leurrer : c’est la roulette russe. Soit tu te retrouves avec une bouse monumentale, genre le truc qui te donne envie de demander le remboursement de tes heures perdues à la vie elle-même ; soit, par miracle, tu tombes sur un bijou narratif de première bourre qui te laisse sur l’arrière-train en te donnant un avant-goût de paradis. Et là, mon pote, on est clairement dans la seconde catégorie. Oui, parce que le bouquin dématérialisé que j’ai entre les pognes, c’est pas pour les constipés de l’imagination ou les paralytiques de la péripétie. Non ! Ça t’envoie plutôt du bois et du rêve à jets continus et avec maestria. Une plume qui a de la bouteille et qui n’a qu’un but : te rendre ivre.
Rien que le blaze de l’autrice, déjà... Épona de Givremer ! Ça claque comme un nom de princesse-guerrière dans un royaume de fantaisie peuplé de monstres et de magiciens. Tu l’entends déjà sortir des répliques héroïques en brandissant une épée légendaire sur fond de coucher de soleil et avec une section de cordes bien grondante en arrière-plan. Plus qu’un pseudo, c’est un programme. Et elle te balance un bouquin qui te choppe dès les premières pages et qui te lâche plus. Comme un inspecteur des impôts, mais en vachement plus sympa et plus littéraire... Hyper prenant et hyper bien ficelé. Du cousu main à coups de plume !
L’autrice, elle sait de quoi elle cause. C’est pas du gribouillage sans conséquence et sans but. Non, elle t’a pondu une histoire aux petits oignons, avec du suspense à en crever et des rebondissements qui te tombent sur le coin du blair sans prévenir. Et tout ça, pendant qu’elle te parle, tranquillou, de hiérarchies angéliques et démoniaques, et de concepts kabbalistiques. Bref, des trucs qui te font mal au crâne si t’es pas un peu calé en théologie et en occultisme.
Alors, l’histoire commence avec Helegmeryl. Une sacrée nana, faut le dire. Belle gosse, certes, mais pas du genre à poser et à défiler sur les podiums. Non, elle, c’est du genre crocs acérés, ailes tranchantes comme un rasoir et châsses couleur volcan et tout le toutim. Sa vie et le livre débutent mal pour cézigue : elle est la dernière de sa race. Les Crocs Écarlates. La solitude, c’est sa vieille amie et le rejet, son pain quotidien. Et puis avec ça, elle a des trous de mémoire gros comme des cratères de volcans islandais. Bref, elle sait plus trop qui elle est, d’où elle vient, ni pourquoi elle en est arrivée là. La cerise pourrie sur le gâteau immangeable, c’est qu’elle commence l’hsitoire comme esclave. Oui, esclave, tu m’as bien entendu ! De qui ? D’Arachimiel, l’Inquisiteur Céleste, un emplumé de première, un mec pas drôle mais super puissant, le genre a faire la pluie et le beau temps dans l’Arbre de Vie et à tailler le bout de gras avec El Shaddaï. Bref, elle a un passé et un présent plus lourd qu’un album de funeral doom joué au ralenti, l’Helegmeryl.
Mais ça va vite changer pour elle. Et même en mieux ! L’Arachimiel crève un beau matin, sans prévenir et c’est la panique au pays des dominations et des puissances. On fait venir bécif l’héritier et paf ! Crac ! Boum ! Lui aussi se fait refroidir. Et là, qui c’est qui débarque ? Adamiel. Un ange pas net, celui-là. Exilé pour une affaire louche, un truc pas racontable et qui sent le souffre. Helegmeryl se dit qu’elle va y passer, mais surprise : le type, au lieu de la foutre au placard, il lui rend sa liberté et il lui file un titre de chevalier ! Elle, chevalier, tu m’suis ?
Ah, Adamiel… son maître. C’est pas n’importe qui, ce type. Un BG au sourire séraphique et aux muscles célestes. Le gars pourrait poser pour des couvertures de magazines gothiques entre deux descentes sur Terre... Un vraie gravure de mode avec le look sombre qui va bien et toujours tiré à quatre épingles. Il fait tellement rêver que ça en devient un cauchemar.
Notre bombasse vampirique, eh ben il l’a à la bonne, et pas qu’un peu, l’Adamiel. Ouais, il a un petit faible pour les grandes nerveuses, avec les crocs qui brillent et les yeux rouges qui te lancent des éclairs. Ça lui fouette les sangs, même ! Tout aurait pu rouler comme sur des rails, si Adafiel, notre beau gosse aux rémiges d’ébène, avait pas ce petit défaut qu’on appelle l’hubris. Et la sienne, elle dépasse l’entendement. Faut dire qu’il vise pas les miettes, le lascar. Non, monsieur a décidé qu’il allait carrément s’attaquer à l’Ange de la Mort en personne. Ouais, rien que ça ! Le tarter et lui piquer son job, voilà ce qu’il veut. Ambiance ! Alors évidemment, tu te dis que c’est de la folie furieuse, hein ? Et t’as pas tort. T’imagines, vouloir remplacer l’Ange de la Mort, comme si c’était un poste qu’on pouvait obtenir avec un CV bien rédigé et une lettre de motivation ! Mais Adafiel, il est là, confiant, avec ses plumes sombres et son air de mannequin batcave. Il croit qu’il peut tout se permettre, qu’il est fait pour camarder à la place de la Camarde.
Et voilà, à cause de ce grand échalas alléchant et de ses plans qui sentent le bran, ben elle est en train de tout perdre, la pauvre Helegmeryl. Comme si c’était pas déjà assez compliqué de jongler entre son passé brisé et son avenir incertain, faut qu’elle gère aussi les conneries d’un ange mégalo. Tu parles d’un timing foireux ! Faut croire que le destin a un sens de l’humour bien tordu.
Bon, j’vous raconte tout ça sur un ton léger, OK, mais soyons clairs : ce roman, c’est pas de la rigolade. Non, c’est du lourd, du qui vous accroche dès les premières pages et qui vous lâche pas. C’est blindé de rebondissements, de batailles épiques à crever, et de grands sentiments qui vous prennent aux tripes et au palpitant. Y a pas de quoi s’ennuyer, je vous l’dis !
Et attendez, c’est pas fini ! Parce que là-dedans, c’est la foire aux bestioles : y a des sirènes, des manticores, des femmes-araignées... Oui, oui, j’ai bien dit « femmes-araignées » ! Ça part dans tous les sens, et j’vous garantis que c’est pas pour les âmes sensibles. Un formidable et admirable bazar !
Alors franchement, si avec ça vous trouvez encore à redire, je sais pas ce qu’il vous faut de plus ! Peut-être des licornes qui font la vaisselle ? Allez, courez-moi lire ce récit à nul autre pareil d’Épona de Givremer. Vous ne le regretterez pas.