
Le Roi Enzio © 2025 Editions 1115, photo de couverture © Victor Yale | Photo de la ville de Bologne avec la basilique San Petronio et Piazza Maggiore © Par Szs, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1164299 | Montage © Le Galion des Etoiles
Destination : la ville de Bologne, au beau milieu du XIIIe siècle. Le Roi Enzio, qui vient d’être fait prisonnier, est promené à travers la ville en guise de trophée. Exactement comme la femme-pierre du mont Gibel l’avait prédit, des années plus tôt. Heureusement pour lui, l’empereur son père a obtenu de la dame trois sorts pour le protéger de ce funeste destin. Reste qu’il doit encore découvrir comment en faire bon usage, maintenant qu’il est derrière les barreaux.
Avec “Le Roi Enzio”, Louise Roullier use de la plus délicieuse des malices, multipliant les impasses et les illusions telle une enchanteresse, ouvrant çà et là des portes qui ont tôt fait de se refermer sur nos certitudes pour mieux nous balader d’intrigues en ruelles sombres. Jusqu’aux chemins de la délivrance, si tant est qu’ils existent.
Fiche de lecture
Bologne, 1249. Le Roi Enzio a perdu la guerre. Vaincu, il est promené et hué à travers toute la ville en triomphe. Contre toute attente, il ne sera pas exécuté, car il a été décidé d’une peine plus lourde : Enzio sera prisonnier à vie des Bolognais. Roi, guerrier, prisonnier… Cependant, ce que ses bourreaux ignorent, c’est que jadis une célèbre fée a offert de la magie au futur monarque, trois sorts à utiliser lorsqu’il jugera le moment opportun. Le premier transforme, le deuxième brise et le troisième tue. Enzio en fera-t-il bon usage ?
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De cette auteure, j‘ai lu Infiniment, une nouvelle dans la même collection pour laquelle j'ai eu un coup de coeur. Je m’étais de ce fait promise de découvrir d’autres textes de sa plume. C’est chose faite avec Le Roi Enzio et le moins que je puisse dire, c'est que je ne suis pas déçue.
L’écriture de Louise Roullier est belle. Ce voyage dans le passé au XIIIème siècle au cœur de Bologne, avec son architecture, ses ruelles, ses ambiances, ses habitants, est fort bien décrit. Il vaut le déplacement !
De plus, le mélange de sorcellerie et d’illusions font de cette nouvelle un habile tour de passe-passe qui, pour mon plus grand plaisir, m’a bernée jusqu’au dernier mot.
Une lecture que j’ai appréciée !
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De cette auteure, j‘ai lu Infiniment, une nouvelle dans la même collection pour laquelle j'ai eu un coup de coeur. Je m’étais de ce fait promise de découvrir d’autres textes de sa plume. C’est chose faite avec Le Roi Enzio et le moins que je puisse dire, c'est que je ne suis pas déçue.
L’écriture de Louise Roullier est belle. Ce voyage dans le passé au XIIIème siècle au cœur de Bologne, avec son architecture, ses ruelles, ses ambiances, ses habitants, est fort bien décrit. Il vaut le déplacement !
De plus, le mélange de sorcellerie et d’illusions font de cette nouvelle un habile tour de passe-passe qui, pour mon plus grand plaisir, m’a bernée jusqu’au dernier mot.
Une lecture que j’ai appréciée !