Le Dieu truqué @ 1974 Fleuve Noir | Illustration de couverture @ René Brantonne
Illustration et quatrième de couverture
Cette planète s'appelle « Le Monde ».
Et sur le Monde vivent les Moor'Woks. Il n'y a là rien de très original. En fait, la vie des Moor'Woks n'est pas très originale, elle non plus. Ils sont heureux.
Ils sont heureux et ils s'ennuient un peu. Si le terme « danger » existait dans le langage des Moor'Woks, il pourrait s'appliquer à l'ennui...
Jusqu'au jour où les Kâ'n, qui savent lire l'avenir, prévoient le Jour du Grand Changement, annoncent l'arrivée de celui qui saura donner un autre Âge d'Or aux Moor'Woks.
Alors, les Moor'Woks attendent. Très fort, de toute leur âme. Ils attendent l'arrivée de Dieu.
Et Dieu viendra.
Brève de lecture
Qui n’a jamais rêvé d’être un Dieu, celui d’un monde où en plus vous êtes attendu, celui qui doit mener les Moor’Woks ? Sauf que celui qui arrive n’est pas un Dieu, mais simplement M. Dupondt, Aimé, Jules, François, Marie, né un jour de septembre pluvieux, en l’an 1907. Dupondt la brume, Dupondt la hargne, comptable de son état avant une retraite sans flambeaux. Soixante-cinq ans, fatigué, maigrichon, usé, fané, habitué à siroter un blanc dans un bar et ignoré de tous.
Je vous laisse imaginer la suite, elle est sombre. Décidément, Pierre Suragne reste surprenant dans ses écrits et ce n’est pas pour me déplaire.
Je conseille cet ouvrage.
Et sur le Monde vivent les Moor'Woks. Il n'y a là rien de très original. En fait, la vie des Moor'Woks n'est pas très originale, elle non plus. Ils sont heureux.
Ils sont heureux et ils s'ennuient un peu. Si le terme « danger » existait dans le langage des Moor'Woks, il pourrait s'appliquer à l'ennui...
Jusqu'au jour où les Kâ'n, qui savent lire l'avenir, prévoient le Jour du Grand Changement, annoncent l'arrivée de celui qui saura donner un autre Âge d'Or aux Moor'Woks.
Alors, les Moor'Woks attendent. Très fort, de toute leur âme. Ils attendent l'arrivée de Dieu.
Et Dieu viendra.
Brève de lecture
Qui n’a jamais rêvé d’être un Dieu, celui d’un monde où en plus vous êtes attendu, celui qui doit mener les Moor’Woks ? Sauf que celui qui arrive n’est pas un Dieu, mais simplement M. Dupondt, Aimé, Jules, François, Marie, né un jour de septembre pluvieux, en l’an 1907. Dupondt la brume, Dupondt la hargne, comptable de son état avant une retraite sans flambeaux. Soixante-cinq ans, fatigué, maigrichon, usé, fané, habitué à siroter un blanc dans un bar et ignoré de tous.
Je vous laisse imaginer la suite, elle est sombre. Décidément, Pierre Suragne reste surprenant dans ses écrits et ce n’est pas pour me déplaire.
Je conseille cet ouvrage.