
Fiche de lecture
C'est en 1958 que Stefan Wul eut la très bonne idée d'écrire L'Orphelin de Perdide, l'histoire d'un petit garçon livré à lui-même sur une planète dangereuse. Pour seule compagnie, le petit orphelin a un émetteur/récepteur radio de forme ovoïde.
Ce qu’il y a de génial ici, c’est qu’en partant d’un scénario qui à l’air à priori quelconque, l’auteur développe une histoire des plus étonnantes. En effet, dans cette oeuvre, Stefan Wul se lance en plein paradoxe temporel et il faudra attendre la chute pour que tous les éléments contés se mettent en place. C’est génial.
Stefan Wul ouvre son récit par une citation d'Arthur C. Clarke : Plus nous allons vite, plus le temps passe lentement. A la vitesse de la lumière, le temps cesse d’exister ; le moment «maintenant» dure éternellement.
Je dois dire que cette histoire, fort agréable à lire, a été également très bien adaptée en dessin animé par René Laloux sous le titre Les Maîtres du Temps. Alors que vous choisissiez de lire le roman de Stefan Wul, ou que vous préfériez regarder le film, finalement c'est égal. Les deux sont bien : l'histoire est plus ou moins la même, bien que dans le film il y ait quelques petits changements par rapport à l'histoire originale. Le livre est peut-être plus doux, parce que dans le film, la scène où le petit garçon se fait attaquer par les frelons est franchement brutale (vue par le regard d’un enfant).
En conclusion, Stefan Wul nous livre ici un roman de science-fiction incontournable pour les fans du genre, dans lequel il joue avec le temps et les événements, le tout teinté de poésie et qui se termine sur un magnifique coup de théâtre spatio-temporel.
Ce qu’il y a de génial ici, c’est qu’en partant d’un scénario qui à l’air à priori quelconque, l’auteur développe une histoire des plus étonnantes. En effet, dans cette oeuvre, Stefan Wul se lance en plein paradoxe temporel et il faudra attendre la chute pour que tous les éléments contés se mettent en place. C’est génial.
Stefan Wul ouvre son récit par une citation d'Arthur C. Clarke : Plus nous allons vite, plus le temps passe lentement. A la vitesse de la lumière, le temps cesse d’exister ; le moment «maintenant» dure éternellement.
Je dois dire que cette histoire, fort agréable à lire, a été également très bien adaptée en dessin animé par René Laloux sous le titre Les Maîtres du Temps. Alors que vous choisissiez de lire le roman de Stefan Wul, ou que vous préfériez regarder le film, finalement c'est égal. Les deux sont bien : l'histoire est plus ou moins la même, bien que dans le film il y ait quelques petits changements par rapport à l'histoire originale. Le livre est peut-être plus doux, parce que dans le film, la scène où le petit garçon se fait attaquer par les frelons est franchement brutale (vue par le regard d’un enfant).
En conclusion, Stefan Wul nous livre ici un roman de science-fiction incontournable pour les fans du genre, dans lequel il joue avec le temps et les événements, le tout teinté de poésie et qui se termine sur un magnifique coup de théâtre spatio-temporel.