Synopsis
Depuis toujours, lâhumanitĂ© lĂšve les yeux vers les Ă©toiles en quĂȘte de rĂ©ponses⊠et cette fois, lâunivers a rĂ©pondu !
Elio, un garçon de 11 ans rĂȘveur et passionnĂ© dâespace, peine Ă trouver sa place sur Terre. Mais sa vie bascule lorsquâil est mystĂ©rieusement tĂ©lĂ©portĂ© dans le Communiverse, une organisation intergalactique rassemblant des reprĂ©sentants (aussi Ă©tranges que fascinants) de galaxies lointaines.
Pris par erreur pour lâambassadeur officiel de la Terre, il se retrouve propulsĂ© au cĆur dâune mission aussi pĂ©rilleuse quâextraordinaire.
Heureusement, il pourra compter sur Glordon, un extraterrestre aussi loufoque quâattachant, et sur sa tante Olga, qui veille sur lui depuis la Terre. Au cours de cette aventure hors du commun, Elio devra prouver quâil est le digne reprĂ©sentant des humains tout en dĂ©couvrant qui il est vraiment et oĂč se trouve sa place.
Elio, un garçon de 11 ans rĂȘveur et passionnĂ© dâespace, peine Ă trouver sa place sur Terre. Mais sa vie bascule lorsquâil est mystĂ©rieusement tĂ©lĂ©portĂ© dans le Communiverse, une organisation intergalactique rassemblant des reprĂ©sentants (aussi Ă©tranges que fascinants) de galaxies lointaines.
Pris par erreur pour lâambassadeur officiel de la Terre, il se retrouve propulsĂ© au cĆur dâune mission aussi pĂ©rilleuse quâextraordinaire.
Heureusement, il pourra compter sur Glordon, un extraterrestre aussi loufoque quâattachant, et sur sa tante Olga, qui veille sur lui depuis la Terre. Au cours de cette aventure hors du commun, Elio devra prouver quâil est le digne reprĂ©sentant des humains tout en dĂ©couvrant qui il est vraiment et oĂč se trouve sa place.
Présentation
Prenez des thĂšmes classiques chers Ă Disney-Pixar (trouver sa place dans le monde pour un prĂ©ado, lâamitiĂ©, le conflit avec lâautoritĂ©, etc.), mĂ©langez-les Ă des clins dâĆil Ă tous les films de science-fiction dĂ©diĂ©s au contact avec une forme dâintelligence extraterrestre. Rajoutez un enfant hyperactif dopĂ© Ă la cafĂ©ine ultrapure et une esthĂ©tique empruntĂ©e Ă Vice-versa (film, 2015), accentuĂ©e dâune forte dose dâacide lysergique cher aux hippies et Ă la « beat generation » littĂ©raire. Et vous aurez Elio.
LâesthĂ©tique et lâaction sont survoltĂ©es : ça va dans tous les sens, tant et si bien que le film traite de maniĂšre trĂšs dĂ©sĂ©quilibrĂ©e tous les thĂšmes quâil se propose dâembrasser. Ăpileptiques et hyperactifs, je vous recommande de faire attention Ă ce film qui peut ĂȘtre assez Ă©puisant Ă regarder.
La grande variĂ©tĂ© des extraterrestres prĂ©sentĂ©s est admirable. Le personnage de Glordon possĂšde une bouche mais pas dâyeux, ce qui est perturbant tant il semble humain dans son caractĂšre.
Le film sâamuse certes avec les codes de la SF de « premier contact » mais cela peut devenir forcĂ©. Ne jamais faire de jeu Ă boire avec de lâalcool (ou du jus de fruits si vous jouez avec vos enfants) si vous voulez tout relever : vous serez bons pour une crise de foie Ă la fin.
Un film agrĂ©able Ă voir en famille pour initier vos enfants Ă la science-fiction mais, en tant quâadulte, je suis un peu plus rĂ©servĂ© sur cette Ćuvre. Et ce nâest pas faute dâavoir perdu mon Ăąme dâenfant, mais je suis un enfant des annĂ©es 1990, ayant eu ses fixettes sur le programme SETI et la vie extraterrestre (comme Elio oui). Mais je ne suis pas le fruit de la « gĂ©nĂ©ration TikTok » qui a besoin de sa dose de stimulation cĂ©rĂ©brale constante et pour qui des films tels que Solaris, Stalker ou 2001 : LâOdyssĂ©e de lâEspace seraient une vĂ©ritable kryptonite.
Le visionnage de ce film, bien que mâayant apportĂ© un certain plaisir, mâa intellectuellement fatiguĂ©. Le survoltage est si intense que certains noms de personnages sont « avalĂ©s », on ne les comprend pas ! Je comprends bien que le rythme du film est censĂ© faire Ă©cho Ă lâĂ©tat dâesprit dâElio, mais cette perspective mâeffraie autant quâelle me fatigue. A force dâaller trop vite, on sâĂ©puise et on sâĂ©clate contre un mur.
Et dans une perspective de « premier contact », on sait que le temps est un facteur important. Ainsi le « Voyager Golden Record » abondamment mentionnĂ© dans le film, lancĂ© dans lâespace en 1977, nâa quittĂ© lâElio-sphĂšre (oups ! lâhĂ©liosphĂšre) quâen 2013.
LâesthĂ©tique et lâaction sont survoltĂ©es : ça va dans tous les sens, tant et si bien que le film traite de maniĂšre trĂšs dĂ©sĂ©quilibrĂ©e tous les thĂšmes quâil se propose dâembrasser. Ăpileptiques et hyperactifs, je vous recommande de faire attention Ă ce film qui peut ĂȘtre assez Ă©puisant Ă regarder.
La grande variĂ©tĂ© des extraterrestres prĂ©sentĂ©s est admirable. Le personnage de Glordon possĂšde une bouche mais pas dâyeux, ce qui est perturbant tant il semble humain dans son caractĂšre.
Le film sâamuse certes avec les codes de la SF de « premier contact » mais cela peut devenir forcĂ©. Ne jamais faire de jeu Ă boire avec de lâalcool (ou du jus de fruits si vous jouez avec vos enfants) si vous voulez tout relever : vous serez bons pour une crise de foie Ă la fin.
Un film agrĂ©able Ă voir en famille pour initier vos enfants Ă la science-fiction mais, en tant quâadulte, je suis un peu plus rĂ©servĂ© sur cette Ćuvre. Et ce nâest pas faute dâavoir perdu mon Ăąme dâenfant, mais je suis un enfant des annĂ©es 1990, ayant eu ses fixettes sur le programme SETI et la vie extraterrestre (comme Elio oui). Mais je ne suis pas le fruit de la « gĂ©nĂ©ration TikTok » qui a besoin de sa dose de stimulation cĂ©rĂ©brale constante et pour qui des films tels que Solaris, Stalker ou 2001 : LâOdyssĂ©e de lâEspace seraient une vĂ©ritable kryptonite.
Le visionnage de ce film, bien que mâayant apportĂ© un certain plaisir, mâa intellectuellement fatiguĂ©. Le survoltage est si intense que certains noms de personnages sont « avalĂ©s », on ne les comprend pas ! Je comprends bien que le rythme du film est censĂ© faire Ă©cho Ă lâĂ©tat dâesprit dâElio, mais cette perspective mâeffraie autant quâelle me fatigue. A force dâaller trop vite, on sâĂ©puise et on sâĂ©clate contre un mur.
Et dans une perspective de « premier contact », on sait que le temps est un facteur important. Ainsi le « Voyager Golden Record » abondamment mentionnĂ© dans le film, lancĂ© dans lâespace en 1977, nâa quittĂ© lâElio-sphĂšre (oups ! lâhĂ©liosphĂšre) quâen 2013.



