Honor Harrington - 7 : Aux mains de l’ennemi (réédition) © 2018 Editions l'Atalante | Illustration de couverture © Genkis Genkkis
Quatrième de couverture
Le commodore Honor Harrington a survécu aux affrontements dans l'espace, aux tentatives d'assassinat, aux vendettas politiques et aux duels. Mais cette fois la République populaire de Havre s'est trouvé un officier supérieur hors du commun.
À la tête d'un convoi capital pour l'effort de guerre, Honor tombe dans une embuscade tendue par le contre-amiral Tourville. Les bâtiments sous sa responsabilité ne pourront en réchapper que si elle consent à sacrifier son propre vaisseau.
Certes, des accords interstellaires régissent le traitement des prisonniers de guerre. Mais les services de sécurité havriens ne l'entendent pas de cette oreille, et il existe, dit-on, un monde prison surnommé l'Enfer…
À la tête d'un convoi capital pour l'effort de guerre, Honor tombe dans une embuscade tendue par le contre-amiral Tourville. Les bâtiments sous sa responsabilité ne pourront en réchapper que si elle consent à sacrifier son propre vaisseau.
Certes, des accords interstellaires régissent le traitement des prisonniers de guerre. Mais les services de sécurité havriens ne l'entendent pas de cette oreille, et il existe, dit-on, un monde prison surnommé l'Enfer…
Fiche de lecture
Revenue vivante de la « Mascarade silésienne » du tome précédent, Honor, promue commodore, partage son temps entre sa vie de seigneur graysonien, ses devoirs militaires (et notamment son affectation au sein de la Commission de développement des armements) et sa vie privée : de quoi lui donner un repos (tout relatif) entre deux champs de bataille.
De son côté, la République populaire de Havre a reconstitué ses forces après les purges qui ont affecté son appareil politique et militaire, et opposera à Honor Harrington un adversaire à sa mesure. Mais le Service de Sécurité havrien (aux initiales évocatrices) voudra avoir en ses mains celle que l’on surnomme « La Salamandre ». À tout prix.
***
Le titre du septième tome est clair : Honor Harrington finira capturée. On le sait déjà en achetant le livre. Mais son intérêt, comme pour un épisode de « Columbo », c’est de présenter comment elle est tombée « aux mains de l’ennemi ».
En cela, ce tome est un « sas » : arrivée à une certaine maturité, Honor Harrington devra évoluer et, ne nous leurrons pas, être prisonnière de guerre sera, pour elle, comme pour les siens ainsi que pour tout son univers, une raison suffisante d’évoluer.
« Aux mains de l’ennemi » prépare très bien ce changement : entre jeux de pouvoir au sein de l’appareil militaire et politique havrien reconstitué d’une part, et les amis, proches, mais aussi ennemis d’Honor qui se rassemblent autour d’elle, tout est prêt, comme pour une tragédie grecque.
C’est un sas, un tremplin agréable avant la tempête !
De son côté, la République populaire de Havre a reconstitué ses forces après les purges qui ont affecté son appareil politique et militaire, et opposera à Honor Harrington un adversaire à sa mesure. Mais le Service de Sécurité havrien (aux initiales évocatrices) voudra avoir en ses mains celle que l’on surnomme « La Salamandre ». À tout prix.
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Le titre du septième tome est clair : Honor Harrington finira capturée. On le sait déjà en achetant le livre. Mais son intérêt, comme pour un épisode de « Columbo », c’est de présenter comment elle est tombée « aux mains de l’ennemi ».
En cela, ce tome est un « sas » : arrivée à une certaine maturité, Honor Harrington devra évoluer et, ne nous leurrons pas, être prisonnière de guerre sera, pour elle, comme pour les siens ainsi que pour tout son univers, une raison suffisante d’évoluer.
« Aux mains de l’ennemi » prépare très bien ce changement : entre jeux de pouvoir au sein de l’appareil militaire et politique havrien reconstitué d’une part, et les amis, proches, mais aussi ennemis d’Honor qui se rassemblent autour d’elle, tout est prêt, comme pour une tragédie grecque.
C’est un sas, un tremplin agréable avant la tempête !



