Affiche et synopsis
En 2050, la Terre se meurt, victime de la déforestation, de la pollution et de la surpopulation. Seule solution : coloniser une autre planÚte. Une équipe d'astronautes composée des plus grands spécialistes dans leurs domaines respectifs est donc envoyée sur Mars pour y étudier les possibilités de survie. Cette exploration sans difficulté apparente tourne rapidement au cauchemar...
Présentation
Au milieu du 21e siĂšcle, la Terre va mal (quelle surpriseâŠ). Pollution, surpopulation et dâautres maux frappent la planĂšte. Depuis plusieurs annĂ©es, les humains ont lancĂ© un programme de terraformation de Mars, espĂ©rant un jour pouvoir sây Ă©tablir. En pratique, ils ont envoyĂ© des tonnes dâalgues capables dâaugmenter lâoxygĂšne dans lâatmosphĂšre de la planĂšte rouge. Mais voilĂ que ce projet si prometteur a quelques ratĂ©s : le taux dâoxygĂšne sâest mis Ă diminuer, sans quâon ne trouve la moindre explication.
Fini donc dâenvoyer des sondes automatiques : il faut quâune Ă©quipe se rende sur place. LâĂ©quipe en question rĂ©unit trois scientifiques et trois membres dâĂ©quipage. Alors que le voyage sâest dĂ©roulĂ© sans encombre (Ă part quelques problĂšmes dâego !), lâarrivĂ©e est des plus chahutĂ©es. De violents rayonnements frappent le vaisseau, provoquant de sĂ©rieux dĂ©gĂąts et un incendie. Restant Ă bord pour sauver leur chance de retour, la capitaine Kate Bowman (seule femme Ă bord) envoie les autres vers la surface.
PrĂ©cipitĂ©e, lâarrivĂ©e au sol ne se fait pas non plus en douceur. La capsule dĂ©vie de sa trajectoire ; elle touche violemment la surface, et s'arrĂȘte loin du site oĂč elle devait se poser. Ă bord, plus rien ne fonctionne. Tout contact avec le vaisseau en orbite est coupĂ©. Surtout, Bud Chantillas, philosophe, chargĂ© de maintenir le calme mental Ă bord pendant le voyage, est gravement blessĂ©. Se sachant condamnĂ©, il demande aux autres de lâabandonner. Les quatre hommes restants entament alors une longue marche jusquâĂ HAB-1, la base envoyĂ©e avant eux, oĂč ils pourront reprendre des forces et faire le plein dâoxygĂšne avant de dĂ©buter leur mission.
Mais une (mauvaise) surprise les y attend. HAB-1 nâest plus quâune ruine ! Comment a-t-elle pu ĂȘtre dĂ©truite, alors quâelle avait Ă©tĂ© conçue pour rĂ©sister Ă des tornades ? LĂ , tout semble perdu pour les survivants (rĂ©duits au nombre de trois aprĂšs un « malheureux accident » impliquant deux dâentre eux).
BientĂŽt Ă court dâair, Robby Gallagher, le mĂ©canicien de lâĂ©quipage, ouvre son casque en dĂ©sespoir de cause. Sâil faut mourir, autant le faire en sentant le souffle de lâair martien. Surprise : il parvient Ă respirer ! Le taux dâoxygĂšne dans lâatmosphĂšre est peut-ĂȘtre faible, mais cela suffit pour survivre.
Bon, ce nâest pas tout ça ! Car sâil est rassurant de ne pas mourir Ă©touffĂ©, ils risquent toujours de mourir Ă court terme. Sans nourriture et avec une rĂ©serve dâeau rĂ©duite au minimum, le trio doit trouver le moyen de quitter la surface au plus vite, dâautant quâen orbite, Kate, qui a pu remettre le vaisseau en ordre de marche, sâapprĂȘte Ă rentrer sur Terre, convaincue que personne nâa survĂ©cu.
Mais elle pourrait bientĂŽt avoir raison : lâabsence de nourriture et dâeau nâest pas le seul danger pour les trois hommes. Ils vont bientĂŽt dĂ©couvrir ce qui a dĂ©truit HAB-1âŠ
MĂȘlant SF, action et suspense, « Red Planet », sorti en 2000, fut un Ă©chec Ă la fois commercial et critique. MalgrĂ© une distribution honnĂȘte et de bons effets spĂ©ciaux, le scĂ©nario est assez plat et sans vraiment de surprise.
Fini donc dâenvoyer des sondes automatiques : il faut quâune Ă©quipe se rende sur place. LâĂ©quipe en question rĂ©unit trois scientifiques et trois membres dâĂ©quipage. Alors que le voyage sâest dĂ©roulĂ© sans encombre (Ă part quelques problĂšmes dâego !), lâarrivĂ©e est des plus chahutĂ©es. De violents rayonnements frappent le vaisseau, provoquant de sĂ©rieux dĂ©gĂąts et un incendie. Restant Ă bord pour sauver leur chance de retour, la capitaine Kate Bowman (seule femme Ă bord) envoie les autres vers la surface.
PrĂ©cipitĂ©e, lâarrivĂ©e au sol ne se fait pas non plus en douceur. La capsule dĂ©vie de sa trajectoire ; elle touche violemment la surface, et s'arrĂȘte loin du site oĂč elle devait se poser. Ă bord, plus rien ne fonctionne. Tout contact avec le vaisseau en orbite est coupĂ©. Surtout, Bud Chantillas, philosophe, chargĂ© de maintenir le calme mental Ă bord pendant le voyage, est gravement blessĂ©. Se sachant condamnĂ©, il demande aux autres de lâabandonner. Les quatre hommes restants entament alors une longue marche jusquâĂ HAB-1, la base envoyĂ©e avant eux, oĂč ils pourront reprendre des forces et faire le plein dâoxygĂšne avant de dĂ©buter leur mission.
Mais une (mauvaise) surprise les y attend. HAB-1 nâest plus quâune ruine ! Comment a-t-elle pu ĂȘtre dĂ©truite, alors quâelle avait Ă©tĂ© conçue pour rĂ©sister Ă des tornades ? LĂ , tout semble perdu pour les survivants (rĂ©duits au nombre de trois aprĂšs un « malheureux accident » impliquant deux dâentre eux).
BientĂŽt Ă court dâair, Robby Gallagher, le mĂ©canicien de lâĂ©quipage, ouvre son casque en dĂ©sespoir de cause. Sâil faut mourir, autant le faire en sentant le souffle de lâair martien. Surprise : il parvient Ă respirer ! Le taux dâoxygĂšne dans lâatmosphĂšre est peut-ĂȘtre faible, mais cela suffit pour survivre.
Bon, ce nâest pas tout ça ! Car sâil est rassurant de ne pas mourir Ă©touffĂ©, ils risquent toujours de mourir Ă court terme. Sans nourriture et avec une rĂ©serve dâeau rĂ©duite au minimum, le trio doit trouver le moyen de quitter la surface au plus vite, dâautant quâen orbite, Kate, qui a pu remettre le vaisseau en ordre de marche, sâapprĂȘte Ă rentrer sur Terre, convaincue que personne nâa survĂ©cu.
Mais elle pourrait bientĂŽt avoir raison : lâabsence de nourriture et dâeau nâest pas le seul danger pour les trois hommes. Ils vont bientĂŽt dĂ©couvrir ce qui a dĂ©truit HAB-1âŠ
MĂȘlant SF, action et suspense, « Red Planet », sorti en 2000, fut un Ă©chec Ă la fois commercial et critique. MalgrĂ© une distribution honnĂȘte et de bons effets spĂ©ciaux, le scĂ©nario est assez plat et sans vraiment de surprise.

