Synopsis
L'histoire de Paul AtrĂ©ides, jeune homme aussi douĂ© que brillant, vouĂ© Ă connaĂźtre un destin hors du commun qui le dĂ©passe totalement. Car s'il veut prĂ©server l'avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planĂšte la plus dangereuse de l'univers â la seule Ă mĂȘme de fournir la ressource la plus prĂ©cieuse au monde, capable de dĂ©cupler la puissance de l'humanitĂ©.
Tandis que des forces malĂ©fiques se disputent le contrĂŽle de cette planĂšte, seuls ceux qui parviennent Ă dominer leur peur pourront survivreâŠ
Tandis que des forces malĂ©fiques se disputent le contrĂŽle de cette planĂšte, seuls ceux qui parviennent Ă dominer leur peur pourront survivreâŠ
BrĂšve de film
Jâai lu le cycle de Dune de Frank Herbert il y a une trentaine dâannĂ©es de cela. Je ne me rappelle pas des dĂ©tails, mais oui, je me souviens de l'histoire dans ses grandes lignes. Je n'envisage pas de relire toute la sĂ©rie simplement pour comparer le livre et le film. Ce sont deux mĂ©dias distincts qui, Ă mon avis, gagnent Ă ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme complĂ©mentaires plutĂŽt que d'ĂȘtre comparĂ©s ou mis en opposition.
Je pense que c'est une bonne idĂ©e de moderniser une Ćuvre de science-fiction dont le premier volume a Ă©tĂ© publiĂ© il y a soixante ans. Le film de Lynch (1984) ne m'ayant pas convaincue, j'ai abordĂ© le nouveau Dune avec curiositĂ© et sans prĂ©jugĂ©s. Malheureusement, j'ai rapidement dĂ©chantĂ©. J'ai abandonnĂ© aprĂšs environ une heure et demie. MalgrĂ© deux tentatives, je n'ai pas rĂ©ussi Ă entrer dans cette histoire.
Visuellement, câest trĂšs beau. Ăpoustouflant, mĂȘme. Ăa claque. Mais cela pourrait tout aussi bien ĂȘtre un Star Wars ou nâimporte quel film de SF actuel dont les effets spĂ©ciaux ont pour but de nous en mettre plein les mirettes.
La musique est superbe et bien présente. Mais elle est trop forte et trop puissante, couvrant parfois certains dialogues.
Lâhistoire est amenĂ©e de maniĂšre brouillonne, les personnages â trĂšs nombreux â sont insipides et les dialogues sont creux.
Les cent cinquante premiĂšres pages du roman de Dune sont franchement laborieuses, voire indigestes pour rester polie. Mais une fois ce cap passĂ©, jâai pu mâimmerger dans le sable. LĂ oĂč Herbert prend son temps pour mettre en place et poser les jalons dâun univers quâil a entiĂšrement inventĂ© et façonnĂ©, Villeneuve, lui, me perd dans un gloubi-boulga sans consistance et qui sâĂ©tale Ă coups de louche dans tous les sens. RĂ©sultat : je ne sais pas ce que je regarde !
Il ne fait aucun doute que ce genre de super-production séduira beaucoup de monde, ce que je comprends tout à fait. Cependant, il est clair que je ne fais pas partie du public susceptible de l'apprécier.
Je pense que c'est une bonne idĂ©e de moderniser une Ćuvre de science-fiction dont le premier volume a Ă©tĂ© publiĂ© il y a soixante ans. Le film de Lynch (1984) ne m'ayant pas convaincue, j'ai abordĂ© le nouveau Dune avec curiositĂ© et sans prĂ©jugĂ©s. Malheureusement, j'ai rapidement dĂ©chantĂ©. J'ai abandonnĂ© aprĂšs environ une heure et demie. MalgrĂ© deux tentatives, je n'ai pas rĂ©ussi Ă entrer dans cette histoire.
Visuellement, câest trĂšs beau. Ăpoustouflant, mĂȘme. Ăa claque. Mais cela pourrait tout aussi bien ĂȘtre un Star Wars ou nâimporte quel film de SF actuel dont les effets spĂ©ciaux ont pour but de nous en mettre plein les mirettes.
La musique est superbe et bien présente. Mais elle est trop forte et trop puissante, couvrant parfois certains dialogues.
Lâhistoire est amenĂ©e de maniĂšre brouillonne, les personnages â trĂšs nombreux â sont insipides et les dialogues sont creux.
Les cent cinquante premiĂšres pages du roman de Dune sont franchement laborieuses, voire indigestes pour rester polie. Mais une fois ce cap passĂ©, jâai pu mâimmerger dans le sable. LĂ oĂč Herbert prend son temps pour mettre en place et poser les jalons dâun univers quâil a entiĂšrement inventĂ© et façonnĂ©, Villeneuve, lui, me perd dans un gloubi-boulga sans consistance et qui sâĂ©tale Ă coups de louche dans tous les sens. RĂ©sultat : je ne sais pas ce que je regarde !
Il ne fait aucun doute que ce genre de super-production séduira beaucoup de monde, ce que je comprends tout à fait. Cependant, il est clair que je ne fais pas partie du public susceptible de l'apprécier.



