Un cinquième épisode qui démarre sur les chapeaux de roue ! Au fil de cette saga, chaque personnage a son développement. C'est donc au tour de ce grand et bourru androïde de Carter, le fidèle équipier du fameux corsaire McCrane. Comme on l'avait compris dans l'épisode précédent, celui-ci cachait bel et bien son véritable fond et voilà qu'on le découvre sous une facette dont on ne s'attendait pas. S'il semblait invincible et n'ayant peur de rien, le voilà face à l'amour...
Une belle petite équipe qui va encore manquer aux lecteurs à la fin du dernier épisode...

Même ressenti, c'est nanar bas de gamme. Dommage. D'autant qu'en faisant des pauses ou ralentis, on voit parfaitement bien les cascadeurs qui remplacent Christophe (pas Colombus, mais bien Lambert). Sinon j'avais éclaté de rire quand ledit Lambert tournaut son épée dans le monstre de manière très convaincu vers la fin du film.
En annexe, c'est bien après avoir vu ce nanar-là, que j'ai voulu en savoir plus sur Beowulf. J'ai ainsi découvert que Tolkien y avait consacré une partie de son travail de recherche pour mettre en avant, non plus la forme comme d'autres le faisaient, mais le fond des manuscrits. Il avait donné une conférence là-dessus en 36 (lien wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Beowulf_:_Les_Monstres_et_les_Critiques) et un livre était sorti chez Christian Bourgeois en 2006 pour la présenter. C'est un super truc que j'avais eu l'occasion de découvrir grâce à un ami prof d'histoire.

Christobal Columbus, historien maritime ! Moi, j'aurais plutôt dit : Historien Galérien. Oufti ! notre bonhomme aime bien galérer. Les défis ne lui font pas peur, il rame, rame, recommence et à la fin.... Et bien ses réalisations sont magnifiques. Je n'ai que deux mots à dire BRA-VO.

Un petit coté Black Mirror qui n'est pas pour me déplaire. Le sujet est bien traité, prenant. le résultat efficace. Comme quoi, inutile de faire un film de trois heures pour ne produire que de l'ennui. Merci Jacques Bellezit pour cette jolie découverte.

J'ai un gros faible pour le diorama "La planète des singes version Goldorak", j'aime beaucoup le concept et la transposition ! Bravo en tout cas pour ces belles réalisations. Je me réjouis de voir le résultat final pour ton diorama "Retour vers le futur" en cours de fabrication. Sacré boulot !

C'est un court-métrage qui fait froid dans le dos. Le sujet en est effrayant et c'est fort habilement réalisé. Une mise en garde à ne pas ignorer... Bravo !

J’ai bien aimé, l’ambiance douce-amère, la bienveillance. Oui, pour une fois, ce n’est pas le conflit, mais l’appel à la solidarité qui prime dans ces rencontres. Comme tu dis, on ressent le côté poignant de ces missions quasi sans retour, à la recherche d’une aide désespérée avec ce qui reste de ressources pour y parvenir. On applaudit les astuces de mise en scène pour pallier le manque de moyens de ce genre de réalisation. Là où certains voient des faiblesses de scénario ou de vraisemblance, on trouve sans peine des explications rationnelles pour les écarter.
Une réussite plus que sympathique.
Merci Jacques !

Merci Jacques ! J'ai en projet d'essayer de faire un dio' avec l'explosion d'un sous-marin, on voit passer quelques réalisations sur les réseaux sociaux. Mais c'est un lointain projet, je suis un diorama de "Retour vers le Futur" en ce moment et il va me prendre des plombes à le réaliser. Merci de ton attention !

Quel ouvrage ! Le second le plus traduit au monde dit-t-on, y compris dans d'obscurs et inconnus dialectes du bout du monde (la 600ème recensée étant en un dialecte panaméen nommé le dulegaya)....Je m'attends presque à le voir traduit, sinon en Klingon, au moins en elfique.

Il se lit et se relit à tout âge, partout dans le monde (ou presque) : car, pour paraphraser l'auteur, "nous avons tous été des enfants mais peu d'entre nous s'en souviennent".

De nombreux passages sont devenus cultes : le secret du renard ("on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.") le danger des baobabs, la honte du buveur ou l'absurdité du roi ou encore du buisnessman...Nous avons tous, je pense, un passage favori, qui peut changer au fur et à mesure que le temps, inexorable, nous amène vers notre dernier vol de nuit ou de jour.

Nous nous retrouvons dans chacun, sinon tous de ces personnages, de cette fable qui se hisse au rang des chefs d'oeuvres de la littérature mondiale. Parce qu'elle parle non pas des différences entre les Hommes, mais de ce qui les rassemble.

De ce qui nous rassemble.

Un défilé de robot dans une pharmacie. Voilà une entame bien peu classique, surtout pour se saisir d’un thème qui l’est encore moins : La Laideur. Beeeeurk ! La laideur insidieuse qui s’immisce dans nos vies
Ici, il s’agit de 7 bâtiments, mais soyons lucides, le moche est partout.
Six petits robots s’efforcent d’apporter des solutions pour soulager leurs maîtres. Je ne dévoilerai pas leur trouvaille, je préfère laisser le lecteur dans le brouillard. Un texte que j’ai beaucoup aimé et qui mériterait une suite.
En attendant vous pouvez toujours écouter – I want to know de Celentano.
Merci Robert pour le partage.

Oh mais j'adore !!! 😍😍😍 Merci bien pour cette présentation en vidéo.

J'aime beaucoup ce texte, parce que son sujet me touche et me parle. En effet, nous sommes chaque jour confrontés à des horreurs architecturales qui poussent comme des champignons. A la longue, ces nuisances visuelles en deviennent pesantes, voire oppressantes. A l'instar du vaillant petit tailleur, ici les machines et les humains s'allient et déploient des trésors d'astuces et de ruses pour vaincre, et donc embellir, ces sept géants de béton. Cette idée me plaît ! Il se dégage de cette fable une poésie et une belle énergie positive. Merci Robert !

Superbe ! Et du peu que je m'y connaisse, la précision et la minutie du détail historique sont parfaitement respectées ! Tes explications sur la méthode de réalisation et les "pièges" de l'époxy sont très éclairantes également. Merci !

Quand on est dans le brouillard, c’est qu’on ne perçoit pas grand-chose. On voudrait bien, mais on ne parvient pas à le percer. Ici, il ne se trouve pas là pour nous empêcher de saisir une vérité, une beauté qui se dérobe à nos regards. Bien au contraire, il vient pour nous sauver, nous épargner la vision désagréable, la laideur qui s’étale. Combien de fois, n’ai-je pesté contre ces constructions vite conçues et exécutées. Sans imagination, sans âme, cubes empilés, réalisations dénuées de rondeurs, de courbes suggestives pour caresses visuelles. Comme je les comprends ces humains et autres synthétiques qui n’en peuvent plus de ces chantiers sans fin. Pollution sonore et aérienne d’abord, puis disgrâce urbaine ensuite. Ils vous rendent malades physiquement durant et moralement après.

Sept d’un coup, comme le petit tailleur !

Le rideau du brouillard est tombé sur la scène, grâce à nos ingénieux amis. N’est-il pas mieux de laisser chacun concevoir ce qu’il cache puisque la beauté peine à trouver sa place ?

Merci à Robert, grand architecte de l’imaginaire pour réveiller la nôtre.

Ouais, alors bon, là ça craint ! 😱😂😂 Et hop, on fait la course !

Noa met à jour la dernière version prometteuse de ChatGPT, qui se revendique être toujours présent pour les utilisateurs. Toujours présent. Peut-être même un peu trop... 

Un épisode plus soft, un épisode que l'on pourrait qualifier de "familial" et ça fait du bien.
Le terrifiant - l'impressionnant serait plus juste - pirate/corsaire McCrane est un homme fatigué, ... fatigué par son combat mais surtout par le temps qui passe... mais ses convictions sont toujours bel et bien là et tout à son honneur avec son fidèle Carter d'androïde plus humain que robot finalement.
Je vois cet épisode comme une porte qui s'ouvre vers une suite dont je suis impatient de découvrir.

C’était un de mes auteurs préférés (il y en a beaucoup !) au Fleuve. Oui, un vrai talent d’écrivain. Une galerie de noms inventés, tous plus beaux les uns que les autres. Une imagination féconde, une ambiance très personnelle qui traverse ses ouvrages que j’ai toujours appréciée à la lecture juvénile ou même plus récente. Une réelle richesse d’écriture, la plupart du temps. Description des lieux ou des personnages. On sent qu’il s’attache à eux, et nous avec lui, pour nous emmener, non sans une certaine poésie qui diffuse, dans ses merveilleux voyages.
L’Espionne Galactique fait partie de ces belles réussites et la superbe couverture de Sainte-Croix est restée gravée dans ma mémoire pour accompagner ce joli livre.

Comme beaucoup de livres de Bruss, c'est souvent le dessus du panier. Il faut dire que Bruss (René Bonnefoy) était un grand écrivain. Sous son pseudo de Roger Blondel, je viens de lire "Le boeuf". Vraiment, c'est quelque chose. Merci beaucoup d'avoir remis cet auteur en lumière.

Spectaculaire, la scénographie est impeccable, les effets sont particulièrement saisissants. L'explosion du Hood est incroyable ! Félicitations Christophe.
Concernant le Normandie, à l'époque se murmurait en France, rapporté par ma mère, que c'était un coup des anglais et/ou des américains, jaloux de la réussite et du prestige de ce paquebot qui surpassait les autres, dont le Queen Mary !

Un grand merci pour vos retours ! 🙂 Je vais peut-être décevoir JC mais pour être honnête, je ne suis pas un très grand maquettiste en ce qui concerne les modèles réduits en plastique à monter soi-même. Je préfère avoir des modèles bien finis et m'occuper de les travailler, modifier, (modeler) pour les mettre dans la bonne situation et comme tu le vois, mettre toute mon énergie et ma patience sur le décor environnant. Mes maquettes sont donc des modèles tout faits en métal. Lors de mon essai de la cassure, j'avais construit à la va-vite un Titanic en plastique. Celui-ci avait fondu dans l'époxy car ça peut chauffer terriblement lors de la solidification si on en met trop d'un coup. Ces modèles en métal sont donc bien plus résistants à la résine et aussi plus facile à travailler et plier comme le Hood et le Titanic que j'ai du passer à la (mini)disqueuse pour pouvoir les "briser".
Eric, oui l'étude des flammes de le DeLorean est toujours en cours. Je vais plutôt me pencher d'abord sur les façades des bâtiments de la rue que je vais reproduire en bois 😉

Tes réalisations sont très belles, félicitations Christophe ! J'aime tout particulièrement les dioramas de la cassure du Titanic et celui du Hood. Ça rend super bien !

Quel boulot ! Bravo Christophe !

Bravo Christobal ! J'attends avec impatience le diorama de la DeLorean avec les flammes et tout et tout. Bon, c'est un peu moins maritime mais tout aussi spectaculaire.

Côté diorama, j'avoue que mon préféré est celui de la cassure du Titanic. Chapeau bas, il est absolument magnifique. Côté histoires liées à ces dioramas, "Règlement de comptes entres titans des mers" est au top surtout qu'il est illustré de photos des maquettes réalisées. Je sais, c'est nostalgique de ma part, j'ai monté une quarantaine de maquettes de bateaux dont mon préféré fut "Le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc" (qui est ressorti en collection historique maintenant). Bref, bravo Christophe ! Et merci aussi de ce partage.

Supers réalisations, qui racontent une histoire, j'envie le talent de Christophe

Un incontournable, qu'il faut lire, relire, tu as raison Koyolite. Et puis avec ce joli sac, tu as presque l'impression de tenir le petit prince par la main. Gardons nos yeux d'enfant.

J'ai attendu la fin, ou plutôt le (re)commencement, pour me manifester à propos de ces sept textes qui composent une suite comme je les adore.
Grand fut le privilège d'effectuer la béta-lecture, l'annotation et la correction de ces perles enchaînées, correction bien plus de forme que de fond car j'ai trouvé bien peu à redire !
Michel, c'est une sorte de confluence entre Stefan, Ray, Clifford, Arthur des "Sables de Mars", Julia, Nathalie, et bien d'autres que nous aimons, nous, car leurs écrits résonnent très profond dans nos cœurs et nos âmes de jeunes anciens.
Sur les courtes et moyennes distances, poèmes et nouvelles, tout se savoure avec parfois des réminiscences de madeleines de nos plus belles années.
En mode long courrier, je suis en train de me laisser emporter par le parfum d'Andromède vers l'Étoile qui songe. Encore trop tôt pour en parler, mais cela viendra d'ici quelques mois.
Magie des mots, des images, sens de l'épopée et de l'émerveillement... Un peu de lumière qui s'allumera sur notre futur proche.
Haut les cœurs, et merci, Michel !

C'est trop beau 😍 C'est vraiment un endroit de rêve à mes yeux.

Ce court récit d’Eric Marie emprunte à la fable animalière, avec une brebis et un agnelet comme personnages principaux, tout en abordant des thèmes profonds comme la condition animale et la critique de la société humaine.

Le décor, décrit de manière poétique à la sauce SF, évoque une planète lointaine, mais il s'agit en fait du causse du Larzac, ce qui crée un effet de décalage et de merveilleux.

A travers les yeux de Rosie la brebis, l’auteur critique l’exploitation animale en dénonçant la séparation brutale entre les mères et leurs petits, orchestrée par les humains. C’est aussi une réflexion sur l’innocence et la curiosité, car le vif petit Angélus, incarne l’éveil à la conscience et à l’injustice.

Et c’est également un clin d’œil détourné au Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry avec « Dessine-moi un homme ! », phrase qui renverse les rôles et interroge la nature humaine vue par les animaux.

La narration oscille entre un narrateur omniscient et le point de vue de Rosie, qui prend la parole avec émotion. Eric Marie joue avec les mots et les bêlements traduits. L’idiotisme est présenté de manière humoristique, mais en réalité, ce texte satirique, à la fois tendre et mordant, est aussi profondément dérangeant. Du moins, c’est mon ressenti. En effet, derrière cette mise en scène comico-triste, j’ai éprouvé de la perplexité et une forme de malaise devant la dure réalité dénoncée par l’auteur.

Ce texte me semble mûrement réfléchi. L’ensemble ne peut laisser indifférent en piquant ainsi la corde de nos sensibilités/émotions. Il y a ici plus matière à réfléchir, qu’à rire. Je ne peux pas dire de cette histoire qu’elle me plaît, néanmoins, pour les raisons évoquées ci-dessus, c’est à mon sens assurément un bon texte que je ne suis pas prête d’oublier. Merci, Eric !

Et grâce à toi, je viens de relire Le Petit Prince 😀

Dans un monde où règne la loi du plus fort, les sujets du vieux roi Hrothgar tentent de résister à la barbarie. Cependant, une créature souterraine sème la terreur et se repaît de tous ceux qui s'éloignent de la citadelle du souverain. Un jour, un...

Nous sommes en 2618 et la race humaine est éteinte. Quatre extraterrestres se rendent sur Terre pour visiter le musée de l'humanité. Ils y trouvent l'histoire des derniers héros de l'humanité et partent à la recherche de secours...

Un troisième opus où l'ambiance et l'oppression sont montés bien plus vite qu'en crescendo. Un épisode qui montre non seulement ce que fait l'Humanité depuis son existence mais qui dénonce aussi tout ce qu'elle peut avoir de plus mauvais, ce terrible acte qui laisse des marques, des balafres à tout jamais. Celui-ci m'a vraiment mis mal à l'aise, m'a oppressé.
Une preuve que Michel Maillot sait faire plonger ses lecteurs dans son récit, aux cotés de ses personnages.
Le quatrième volet est déjà entamé dans la foulée 🙂

Saint Ex doit se retourner dans son avion céleste… Qu’est devenue l’humanité non aux yeux de ses descendants mais au regard condescendant des moutons ? Éric Marie nous livre ici une vision plutôt féroce des rapports entre les humains et les animaux domestiques. La bassesse des bipèdes tranche avec la grandeur de la nature environnante. D’où la brebis Rosie attachée à sa progéniture turbulente ne peut réprimer quelques gros mots quand son fils Angélus lui demande « Dessine-moi un homme ».
Un texte coup de gueule ?

Ha ha, bravo Éric. Je m’en tiens les côtelettes. Bêle effet de narration en cascade avec drone littéraire descendant sur les protagonistes. Éric joue avec les mots et, en inversant Saint Ex, nous perd en conjectures. Mais, c’est qui les moutons ? Pour qui sonne l’Angélus ? Un ajout indispensable au bestiaire du facétieux conteur qui délivre une réjouissante viennoiserie du dimanche matin.
Je ne dirais qu’un mot, ou plutôt plusieurs : Corne de bouc, Éric c’est le GOAT !

Bhêêêêêhh ! M... Zut alors ! J'étais à fond dans l'histoire moi ! 😂