Tout pareil, grosse surprise avec ce film, qui au final passe très bien, bien meilleur qu'un certain nombre de films précèdent dans le MCU.
Peut etre que finalement nous ne sommes pas condamnés à avoir des films nuls et sans intérêts, des énièmes suites avec les mêmes histoires.
Finalement prendre des personnages secondaires permets de faire des films sympa, à voir la suite dans les années à venir

Agréable moment que celui passé sur ce film.
Contrairement aux derniers films Marvels, celui là j'avais envie d'y croire, et pour une fois pas déçu.
Je trouve que le côté "simple" des débuts du comics dans les années 60 est superbement transcrit, point de personnages sombres et torturés, suffisamment peu d'humour pour ne pas être indigeste, et un Galactus qui ressemble enfin à quelque chose après le massacre du film au débuts des années 2000.
Bref, peut être pas un film qui restera un classique du cinéma et se revoit 50 fois, mais un film sympa où je n'ai pas eu le sentiment de perdre 2 heures de ma vie, c'est déjà pas mal.

@Patate des Ténèbres : Merci pour ce précieux avis/témoignage. Je devrais peut-être tenter de le visionner à nouveau, il en a coulé de l'eau (et du rhum) sous et sur le pont depuis 2013...

J'ai lu le livre après le visionnage du film des Wachowski, j'ai donc retrouvé mes billes, la patte des deux réalisatrices en moins. J'adore leurs créations, les thématiques qu'elles portent à travers toutes leurs œuvres me parlent, et j'aime à chaque fois retrouver ces destins entremêlés sur fond de belles émotions. L'histoire ne m'a pas semblée complexe, elle reproduit le même schéma d'une époque à l'autre, avec des émotions finalement simples et universelles. Je n'irai justement pas à dire que c'est l'un de mes films favoris, car à mes yeux, il s'appuie essentiellement sur ses effets spéciaux plus que sur des interprétations profondes, je lui préfère pour le coup la série Sense 8, des mêmes créatrices. Mais ce Cloud atlas reste tout de même à mes yeux un très beau film, imparfait dans son rythme, mais vraiment magnifique.

Je constate que notre centrale wallonne du futur ne sera pas non plus épargnée par les fissures (tel que nos centrales actuelles pour la référence) 😂
Ce robot très sollicité me fait un peu penser à nos ordinateurs et surtout nos smartphones. Ne doit-on pas les arrêter et redémarrer de temps en temps pour qu'ils puissent remettre tout en place et éviter les bugs ?
Et il arrive à un moment qu'ils se retrouvent malgré tout au bout du rouleau...
Merci Robert pour cette histoire et (étant dans le domaine électrique 😉) j'ai bien aimé le contexte de cette futur alimentation wallonne.

Un philosophe réfractaire aux robots mais qui fini par s'y adapter, tout en inculquant involontairement son bagage - ou plutôt fardeau - intellectuel cet androïde qui lui a été fourni pour sa convalescence. Inversement, le robot tente de s'adapter aussi à cet humain mais avec beaucoup de difficultés. Il va percuter son IA face à cette curiosité qu'est la philosophie.
Il fallait y penser !
Bravo et merci Robert pour cette histoire originale !

Une excellente surprise - une première pour un film consacré à ces personnages. Après les Thunderbolts *, la franchise aurait-elle enfin retrouvé son "punch" ?
C'est tout le mal que je leur souhaite, après que la saga "Multivers" a dû se réinventer en cours de route.

@Christobal : Je suis contente que cet article ait titillé ta curiosité et je te souhaite un bon visionnage Stargate !

J'ai enfin commencé la série sur Prime, toutes les saisons y sont apparemment. Je ne suis encore qu'au 4ème épisode mais j'avance à mon aise.
Au tout premier, lors des premières minutes, je trouvais les dialogues simplets et les évènements trop rapides mais ça s'est vite estompé et j'aime assez bien en fait.
On verra pour la suite, je ne manquerai pas de donner des news.

"Mais qu'est-ce que c'est que ce Binz ?!! " Alors là, quand Eric Marie a écrit cet ouvrage psychédélique, elles devaient être bonnes... Je parle de l'humeur, de l'imagination et de la folie hein ! et pas d'autres choses 😁
Il y a plusieurs passages - assez nombreux même - dont je ne me remettrai jamais ! En voici une partie de liste :

- Déjà, je veux chevaucher un jour cette monture de Petrovna, Je n'en dors plus.
- Dans les problèmes insolubles (dont le Tardis fait partie) il y a de nombreuses questions philosophiques qui ne me sortent plus de la tête.
- Le chapitre du temps m'a foutu un coup au cœur tellement c'est vrai.
- La première histoire de chasse a commencé à me provoquer des douleurs dans les zygomatiques.
- Les sports du futurs ont augmenté la douleur et j'ai du faire une pause.
- L'horoscope Chinçais ne m'a pas du tout donné espoir que mes douleurs allaient s'estomper.
- Les deux histoires suivantes à propos de la chasse m'ont achevé.
- L'histoire de cul, c'était le coup de grâce !
Croyez-moi, on ne ressort pas indemne de ces "Histoires Loufoques" et je compte d'ailleurs bien envoyer mes tickets caisse de pharmacie à ce dangereux auteur d'Eric Marie.
Le problème c'est qu'on en redemande ! Vivement un deuxième opus !
Bravo Eric ! (et je scanne tout ça et te les envoie par mail 😏😉)

Relu il y a quelque temps, je l'avais trouvé aussi quelque peu dépassé (logique) et terne quant aux personnages (le changement de point de vue au fil des ans visiblement). Mais j'avais acquis à la même époque l'excellente BD qui en avait été tiré et qui rend mieux l'histoire (de mon petit point de vue).
Quant à avoir présenté ce double ressenti générationnel, excellent idée. Merci à Hélène de cette présentation et de retour fort pertinent.

Voilà un article comme je les aime : deux regards, deux époques, deux émotions. C'est une belle invitation à débattre entre générations sur la littérature. J'ai lu cet ouvrage alors que j'avais une dizaine d'années. Ma tante me l'avait offert à l'occasion de mon anniversaire, sachant que j'appréciais la science-fiction et que j'étais précoce pour la lecture. J'étais - à mon avis - encore trop jeune pour bien tout saisir, je n'ai pas eu la chance de pouvoir partager mon ressenti avec qui que ce soit et c'était il y a plus de 40 ans... Ayant conservé cet ouvrage dans ma bibliothèque, je pense y retourner à l'occasion, car votre article m'a vraiment donné envie de replonger dans cette lecture. Merci les filles !

Merci Hélène et merci à ta fille pour ce partage. La nuit des temps est quelque part dans ma PAL, et je pense lui faire gagner quelques rangs de priorité suite à ce retour !
Je vis la même chose avec ma fille aînée, grande dévoreuse de livres également (sa soeur et son frère en sont très très loin). Elle a 17 ans et sa passion reste les livres jeunesse et ado. C'est un débat houleux que nous avons souvent, dans lequel je me retrouve seul contre le reste de la famille : le Club des Cinq c'est bien, mais à un moment donné il faut passer au niveau supérieur. Preuve en est qu'elle a calé sur L'Île aux Trésors (la honte), Le loup des mers et d'autres propositions de titres un peu plus classiques. Hugo et Flaubert, n'en parlons pas. Phrases complexes, vocabulaire riche : trop dur.
Elle a commencé la philo cette année, c'est un vrai drame personnel pour moi : réfléchir deux secondes à quelques notions, certaines constructions logiques, c'est trop dur. Elle est pourtant très bonne élève et bosseuse, mais je constate une paresse intellectuelle qui me terrifie... à tel point que je serais tenté par la censure de ces bouquins faciles, au style plat et sans grande ambition littéraire. Je me découvre rétrograde et réac, et ça aussi ça me terrifie.

Lu le livre de S. King (publié en 79 sous le pseudonyme de Richard Bachman) en 81 ou 82. Je l’avais trouvé à l’époque assez angoissant et empli d’une folie « acceptée », comme si elle était « normale » ou plutôt « admissible ». Le livre était beaucoup plus dur et effrayant que son Running Man paru quelque temps plus tard (en 82 justement). Son autre livre du même acabit « Rage » (constat et dénonciation de la folie destructrice de certains dans les lycées/collèges/universités, entre autres américaines) était déjà terrible et on est, là, dans le même registre. Il faudrait que je relise ces livres, mais le film m’a paru tenir le même propos dérangeant et dramatique avec une grande fidélité. Il secoue aux tripes, fait enrager autant qu’il fait flipper à cause de cette « acceptation » d’un « jeu » mortel et destructeur. Et si l’on creuse la chose, entre autres avec le parallèle du travail et du social, l’impact est encore plus dur, car plongeant dans une réalité que nous avons plus ou moins connu. Âmes sensibles attention donc.

Bonjour Capitaine, oui, c'est une série que j'ai beaucoup aimée, même si les concepts scientifiques étaient souvent très imprécis, c'était tellement bien fait que cela paraissait probables (probablement parce que j'avais d'y croire aussi). J'ai aimé les personnages, leur charisme, et le fait qu'il y a une vraie fin à cette série. Cependant, de mémoire, je me souviens que j'ai eu du mal avec la dernière saison

Bonjour Eric et Eric ^-^
Merci de votre intérêt pour ma publication, pour ce bel objet collector et pour la série TV Stargate SG1. Que de doux souvenirs, en effet !
Pour répondre à ta question Eric Gautier, oui, je connais le site Stargate Fusion. C'est LA référence francophone Stargate, un très beau portail au coeur duquel j'ai passé beaucoup d'heures à me documenter à l'époque de la diffusion de la série. Quant à Fringe, c'est une série TV que j'avais commencé à suivre, mais pour des raisons dont je ne me souviens plus très bien, j'ai lâché l'affaire en cours de route. Cela me rappelait un peu X-Files, une série que j'appréciais bien. Si tu me parles de Fringe, j'imagine que c'est une série qui t'a plu ?

Stargate SG1 est pour moi comme un amour de jeunesse. Nous nous sommes séparés en 1997, mais à chaque fois que j'y pense, c'est avec beaucoup de tendresse.

Bonjour Capitaine, que de souvenirs, de MERVEILLEUX souvenirs vous faites remonter là. Une des plus grandes séries de SF, indiscutablement. La porte des étoiles, quelle idée de génie ! Pas besoin d'expliquer comment voyager à bord de vaisseaux spatiaux sur des distances quasi infinies. Et les personnages (et donc les acteurs, actrices)... de l'action, de l'intelligence, de l'humour, de l'amour aussi, de l'émotion (la mort de Daniel, quel incroyable épisode !). Quelle imagination de la part des scénaristes ! Tous ces mondes, tous ces peuples (les Nox, quel peuple incroyable). En faisant des recherches, suis tombé (sans me faire mal) sur ce site : https://www.stargate-fusion.com/ qui semble intéressant pour qui s'intéresse à cette saga. MERCI pour ce doux rappel
Connaissez-vous la série FRINGE ?

Vous êtes lecteur ? Bonne chance, ici…

Bon, la première nouvelle, excellente, commence en douceur, avec son pied-de-nez à la société de consommation (une jeune femme y cède à la tentation des soldes pour se retrouver riche d’un manteau à trois manches).
Puis ça se complique. Le texte suivant vous explique tout, vraiment tout sur la panne, et là, adieu, veau, vache, cochon, couvée… Pour tout dire, avec cette liste de déboires parfaitement illustrés, c’est le naufrage, pire, un courant écervelé vous emporte plus loin que loin, et, dans votre dérive sens dessus dessous, vous ne surnagez que grâce à la narration d’un désabusé en sursis. Au cours de cette croisière sans cap où tout décape, tout se veut non sens, tout s’avère possible, sauf notre bon vieux monde si terre-à-terre. Dans la débâcle, vous visitez le cœur de l’exotisme où la raison a hissé le drapeau blanc, bref vous errez dans un monde de petchi (comme on dit en Suisse). C’est que ce sont les mots en folie qui vous guident, pauvre victime… Ce n’est pas le bateau ivre, c’est carrément le radeau shooté.
Au fond, à travers ce livre qui déjante, vous ne vivez pas un voyage mais un trip d’acide verbal. Vous n’y êtes jamais trop sûr de ce qui vous attend. Ainsi, à la chasse, un canard sera-t-il vraiment un canard ? Ici, à l’orée du gibier, les panneaux qui avertissent l’égaré sont illisibles. Oubliez le familier, les habitudes, ces fichus pièges de la remise en question. Certains personnages cherchent cependant à comprendre ce qui ne marche pas dès lors que l’on ajuste ses lunettes de logique (des rouleaux de papier de toilettes, comme sur la couverture du livre ?). Comment, par exemple, peut-on « prendre l’air » ?
On le voit, Devos veille, en compagnie de Pierre Dac.
Avec ce recueil, vous êtes invité à un apéro, mais impossible de boire chez votre hôte, car la dégustation transforme les papilles en papillons. Le lecteur est ici à l’image du chasseur qui rentre nu, suivi de son chien demeuré qui fume le cigare.
On y passe en revue une exposition de trouvailles (quel vocabulaire !) plus farfelues tu meurs, tels ces problèmes insolubles dans l’eau, tels ces signes astrologiques (qui secouent vos horizons), tels ces coupes de cheveux qu’énumère le Net, tel ce temps qui manque de rigueur selon les âges.
Pouce ! me direz-vous. À quoi tout cela peut-il aboutir ? Car tout a une limite, tout de même !
Eh bien, en guise de bouquet final, voici un clown extraterrestre qui débarque dans la savane pour étudier l’humour de la planète bleue. Il rencontre en Afrique un éléphant philosophe qui s’interroge (comme par hasard !) sur le sens de la vie. Mais si la vie n’était qu’une farce ? Une farce qui, au gré de l’évolution, aurait éradiqué le rire sous le soleil (et sous la pluie). Heureusement, notre artiste ET sait comment remédier à cette tare. Il se propose de restaurer l’humour disparu sur tous les continents. Ce monde pouffera-t-il de nouveau ?

Un lecteur averti en vaut deux (ce qui fait qu’il paie le livre à moitié prix).
À lire à jeun. Avec modération. Enfin, c’est vous qui voyez…

Je n'ai pas vu ce film. En revanche, dans les années 90, j'ai lu "Marche ou crève". C'est l'un des romans de Stephen King qui m'a le plus marquée. Plus de trente ans après cette lecture, je me souviens comme si c'était hier du no 47, Ray Garraty, et de ce compte à rebours vers l'obsession et la folie... Cette course, dont les participants faibles sont éliminés froidement et sans scrupule les uns après les autres, c'est le monde du travail... Un thème violent et que trop réaliste, qui fait mouche et qui, à mon avis, reste et restera toujours d'actualité, décennies après décennies, je le crains... (dans un proche avenir, il y aura des millions de gens supplémentaires au chômage que l'on laissera crever en tout indifférence sur les bords de la route). Un excellent roman dont on ressort tout chamboulé après lecture, un uppercut narratif. Devenue très - trop - sensible au gré des ans, je ne m'aventurerai pas dans ce visionnage. Néanmoins, je te remercie de nous avoir parlé de ce film.

Sur les conseils de Pascal J. Thomas, j'ai fait l'acquisition du recueil auprès de Pierre Viguié himself l'été dernier à Saint-Ay. La chronique qui en est faite dans le dernier KWS est très bien, je ne peux que vous y renvoyer.
Je partage néanmoins avec le Galion le plaisir que j'ai eu à lire cette histoire resserrée sur un élément central : un homme échange son corps à plus de vingt de distance, un jour sur deux. Lundi, Pascal-53-ans se réveille dans le corps de Pascal-30-ans, et vice-versa. Comme ils ne sont pas prévenus de cette permutation, les deux versions doivent se débrouiller par elles-mêmes. Pierre Viguié explore pleinement ce ressort qui m'a rappelé Le Temps Mort de Marcel Aymé, en y ajoutant le vertige d'une uchronie personnelle (Pascal est clairement l'alter ego de l'auteur) qui a aussi des airs de Taniguchi (Quartier Lointain). On rêve tous de se trouver projetés dans notre jeunesse, on imagine comment on vivait, les erreurs commises, ce qu'on ferait différemment. À l'inverse, j'avoue que j'aurais voulu, dans ma chambre d'ado, pouvoir traverser un quelconque miroir et scruter ma vie d'adulte, entrapercevoir mon quotidien, mes proches...
Mais attention ! Vous pensez qu'il s'agit d'une expérience de pensée ? Ou une simple histoire de voyage temporel ? Pierre Viguié nous réserve une troisième voie, inattendue, et je dirai même (attention spoiler !) venue d'ailleurs... Donc vertige de l'auteur et ses doubles, ses triples, ses multiples, et pourtant toujours le même.
Je recommande vivement cet ouvrage, qui se lit comme on binge-watch une mini-série, une plongée hors de nous-même, une vraie réussite. Je vous conseille également d'aller voir la chaîne Youtube de Pierre, Docteur Suture, notamment sa vidéo d'auto-promo, à tomber de rire : https://www.youtube.com/watch?v=U9IUcxF40_M

@Stéphane : Ah oui, ce fameux moment m'a bien fait rire ! C'est justement à lui que je fais référence en disant qu'il y a "du grabuge dans le mégaphone" 😅 Et sinon, merci pour les références concernant Metalstorm et le personnage féminin, je ne les avais pas !

Y'a plein de petites blagues à la con. Pour moi, le moment charnière, c'est quand la réalisatrice explique au cascadeur le scénario du film, qui se trouve matcher exactement l'état de leur relation (pendant que les figurants en costumes se fendent la gueule à l'arrière-plan), mais il y a aussi le côté turbodébile du film Metalstorm, avec son personnage féminin qui s'appelle Aliena, son logo empruntant à la DA de Metallica et d'Iron Maiden et le fait que c'est… un remake d'un (vrai) film des années huitante.

Cool tes chaussettes, mon amie Nath ! 😊

@Stéphane : Merci pour ton commentaire et tes impressions. En effet, ce film n'est pas un blockbuster décérébré. Si l'aspect romance m'a moyennement séduite, je trouve qu'il a plein de petits points positifs (que j'ai énumérés ci-dessus) qui donnent la pêche et le sourire. Et ça, c'est malin, en effet.

C'est marrant, parce qu'au contraire, je pense que Fall Guy est un peu l'inverse d'un blockbuster décérébré. Il a plein de petits détails vraiment marrants, un côté "méta" très marqué en plus d'être une réelle lettre d'amour au cinéma "humain" et au métier de cascadeur.

Il y a plein de films que j'ai vus et, quand mon cerveau s'est rallumé en fin de séance, je me suis immédiatement dit "mais c'est complètement débile!", mais là, c'est le contraire: plus j'y réfléchissais et plus je lui trouvais des aspects très malins.

Excellent... comme maître Robert nous y habitue et nous le fait apprécier.
J'ai pris plaisir à ce texte qui m'a renvoyé vers mes Gerulf si souvent tiraillés par des questions plus humaines qu'androïdiques, mais moins poussées que ce Désiré-là.
Et j'avoue avoir adoré le final quand ledit Désirée5 termine par un presque "Vers l'infini et au-delà".

Pauvre Dédé. Il ne fait pas bon de fréquenter des humains. Quand on est bâti pour toujours apporter des réponses, que rien ne sait résister à la logique, quel vertige de se frotter à l’impossible. Qu’est ce qui est important, les certitudes ? Les réponses ? Ou bien est-ce les questions qu’on se pose ? Il y a de quoi se griller quelques circuits devant le vide insondable. Souhaitons-lui de franchir une étape supplémentaire dans la perception, la conscience. Après tout, ce qui fait le sel de la vie, c’est de découvrir, de bifurquer, de quitter la ligne droite. Tout doit bouger, y compris la pensée. La grande bibliothèque de l’esprit se doit d’être en perpétuel changement, sinon c’est la mort.

Grand merci à Robert pour cette nouvelle fable qui, à nouveau, bouscule notre cheminement à nous aussi…

Chat lu ! 😊

Quand un professeur de philosophie convalescent se voit remettre un androïde domestique de la part de son assurance complémentaire, les dialogues prennent des allures de joutes métaphysiques. Dan, privé de ses promenades réflexives, se voit assisté par Dédé, robot serviable mais fort curieux, qui ne tarde pas à questionner sa propre nature.

Dans ce logis truffé de plantes taboues et de livres sacrés, le quotidien est composé de routines ménagères et de citations/réflexions. Ainsi, la conscience humaine se confronte à l’intelligence artificielle (et vice-versa). Entre humour, tendresse et vertige existentiel, cette fable interroge ce qui nous rend vraiment humains… et ce que les machines pourraient en retenir.

Un texte très intéressant. Merci, Robert !

Dans le journal Le Monde, on peut lire : Superintelligence artificielle : des centaines d’experts et personnalités, dont des figures de l’IA moderne, appellent à stopper la course au développement. Nos brillantes têtes chercheuses commencent t'elles à envisager ce genre de réactions incontrôlées ? Une intéressante approche de ce que pourrait être le monde de demain. Un excellent texte de Robert qui donne à réfléchir.

🌌👩‍👧 Plongée dans les glaces du temps avec René Barjavel… Hélène DG partage son ressenti de lectrice… et celui de sa fille de 14 ans. Deux regards, deux époques, deux émotions. Une belle invitation à débattre entre générations sur la littérature.

J'ai vu le film "La Porte des Etoiles" au cinéma à sa sortie. Les pyramides égyptiennes : des socles d'atterrissage pour vaisseaux-mères goa'ulds ? Une porte des étoiles ? La claque ! 🤩 J'ai également eu la chance de pouvoir visionner chaque épisode de la franchise lors de sa diffusion : Stargate SG1, Stargate Atlantis, Stargate Universe. Quelle aventure et quel voyage inoubliables ! Je regrette que la troisième série ait été tuée dans l'oeuf. Elle avait un sacré potentiel.

Merci beaucoup pour cette belle et complète présentation ! Elle m'a donné envie de revoir les deux précédents opus avant de visionner le dernier. Cool !

La série Stargate fait partie des séries que je regrette de ne pas avoir vue lors de sa diffusion. Stargate SG1, Stargate Atlantis, et maintenant ce téléfilm, Continuum... que de belles aventures qui ne s'essoufflent pas !
J'ai aimé retrouver dans ce film tous les acteurs emblématiques de la série, les caractères de chacun, l'humour de Jack, les "en effet" de Teal'c, le côté retors des Goa'uld... Il y a tant à raconter sur cet univers que j'aimerais bien qu'une nouvelle série soit créée !
"Stargate : Continuum" s'inscrit dans la droite ligne de la série, avec ses atouts et ses défauts, notamment, comme dit plus haut, la résolution très rapide de l'histoire. C'est agréable de prendre son temps pour explorer davantage les personnages. J'ai bien ri à la vue du Dr Jackson bis, en photo au dos de son livre, dans la nouvelle réalité. ^^
Pour moi, le problème de cette histoire tient dans certains paradoxes temporels qui découlent de sa résolution. Mais bon, le voyage dans le temps n'est pas un thème facile, et prendre en compte toutes ses implications en termes de conséquences n'est pas chose aisée. Cela ne gâche en rien le plaisir que j'ai eu à voir ce film, que je conseille à tout fan de la série.
Pensées émues aux acteurs qui nous ont quittés...

un must have, une somme, une bible, un ouvrage de référence complet, bref le top du top.
Difficile de faire mieux !!!!!