Affiche et synopsis
Dans un avenir proche, une créatrice de génie, Allegra Geller, a inventé une nouvelle génération de jeu qui se connecte directement au systÚme nerveux : eXistenZ. Lors de la séance de présentation du jeu, un fanatique cherche à la tuer. Un jeune stagiaire en marketing, Ted Pikul, sauve la vie d'Allegra. Une poursuite effrénée s'engage aussi bien dans la réalité que dans l'univers trouble et mystérieux du jeu.
Présentation
Film vu Ă lâĂ©poque en 1999 et revu il y a peu sur DVD.
Cronenberg est un rĂ©alisateur que jâapprĂ©cie relativement bien. Parmi les films que jâai pu voir de le lui, je vais citer en vrac : La Mouche, Videodrome, A History of Violence, Scanners, Faux-Semblants, Les Promesses de l'Ombre, Chromosome 3, Dead Zone, Spider, Last night, Resurrection, âŠ
eXistenZ (avec un X et un Z majuscule, il sâagit dâune marque de jeu) est un film dans la veine cronenbergienne, câest-Ă -dire des faux-semblants (Ă la Philip K. Dick parfois, comme jâaime) et une histoire dans lâhistoire, avec du sang et des corps ouverts quand ce ne sont pas des dissections pour ne pas dire des vivisections. Ă la base, il vaut mieux avoir le cĆur bien accrochĂ© si vous ĂȘtes sensible et ne supportez pas certaines scĂšnes parfois un peu gores ou peu ragoutantes.
Lâhistoire commence dans une salle qui ressemble Ă une ancienne chapelle. Un groupe de personnes vient tester, sur invitation, le dernier jeu virtuel et immersif de la sociĂ©tĂ© Antenna : eXistenZ. Un jeu créé par la grande prĂȘtresse du game-pod Allegra Geller et auquel on peut jouer grĂące Ă des « pods » organiques connectĂ©s Ă vos bioports, implantĂ©s Ă la base de votre moelle Ă©piniĂšre.
ProblĂšme, un jeune invitĂ©, arrivĂ© en retard, sort, malgrĂ© le scan subi Ă lâentrĂ©e, une arme organique, faite dâos assemblĂ©s, et tire sur Allegra, en criant « Mort Ă la dĂ©mone Allegra Geller », avant dâĂȘtre tuĂ© Ă son tour par les agents de sĂ©curitĂ© un peu lents Ă la dĂ©tente. Câest la panique ; le responsable de la sĂ©ance est lui aussi abattu et demande Ă Ted Pikul de sauver la conceptrice. Ce quâil fait, un peu perdu et sonnĂ© par les Ă©vĂšnements.
Câest une fuite bien Ă©trange, car Allegra est convaincue que son game-pod organique a Ă©tĂ© gravement endommagĂ© par cette attaque et veut absolument rentrer dans le jeu ce qui ne peut se faire quâavec un partenaire.
Ă partir de lĂ , tout va devenir complexe. Qui est qui ? OĂč est la rĂ©alitĂ© ? Dans quel jeu et avec quelle sociĂ©tĂ© joue-t-on ? Quelles sont ces crĂ©atures mutantes et synthĂ©tiques que lâon utilise pour crĂ©er les pods ou pour se nourrir ?
On frĂŽle parfois lâhorreur et le gore⊠pour arriver sur une fin que nombre dâindices laissaient deviner, mais que lâaction et la fuite occultent habilement. Mais au fait quel est l'objectif du jeu ? C'est de jouer pour savoir pourquoi on joue... c'est l'avenir... (sic)
Pour ma part, un film que jâavais apprĂ©ciĂ© et que jâai revu avec un plaisir amplifiĂ© par les acteurs prĂ©sents. On y retrouve Jude Law, dont jâavais apprĂ©ciĂ© le jeu dans « Bienvenue Ă Gattaca » sorti deux ans auparavant et qui a tournĂ© dans « Les animaux fantastiques 2 » (jâaime assez cet acteur jouant le capitaine Sky dans « Capitaine Sky et le monde de demain » ou le docteur Watson dans les 2 « Sherlock Holmes » avec Robert Downey Jr), Jennifer Leigh, vue dans « JF partagerait appartement » et qui est dans « Annihilation » sorti cette annĂ©e, Ian Holm qui jouait le prĂȘtre dans « Le 5e Ă©lĂ©ment » quelques annĂ©es plus tĂŽt et quâon a retrouvĂ© dans le rĂŽle de Bilbot, Willem Dafoe qui jouaient 3 ans plus tĂŽt dans « Le patient anglais » et qui Ă©tait dans le remake de « Le crime de lâOrient-Express » lâan dernier ou encore Don McKellar qui Ă©tait dans « Le violon rouge ».
Un film sans aucun temps mort avec des dialogues assez courts et incisifs, des acteurs qui jouent leurs rĂŽles de « personnages de jeu » avec crĂ©dibilitĂ© ; on se laisse facilement entrainer dans cette histoire tortueuse et fĂ©brile. De ces histoires tordues que jâapprĂ©cie, dans laquelle les faux-semblants prĂ©sentĂ©s dĂ©noncent aussi certains aspects de la virtualitĂ© et de notre monde actuel.
Je recommande sans souci, en fait Ă voir si un peu de sang et de tripes ne gĂȘnent pas.
Cronenberg est un rĂ©alisateur que jâapprĂ©cie relativement bien. Parmi les films que jâai pu voir de le lui, je vais citer en vrac : La Mouche, Videodrome, A History of Violence, Scanners, Faux-Semblants, Les Promesses de l'Ombre, Chromosome 3, Dead Zone, Spider, Last night, Resurrection, âŠ
eXistenZ (avec un X et un Z majuscule, il sâagit dâune marque de jeu) est un film dans la veine cronenbergienne, câest-Ă -dire des faux-semblants (Ă la Philip K. Dick parfois, comme jâaime) et une histoire dans lâhistoire, avec du sang et des corps ouverts quand ce ne sont pas des dissections pour ne pas dire des vivisections. Ă la base, il vaut mieux avoir le cĆur bien accrochĂ© si vous ĂȘtes sensible et ne supportez pas certaines scĂšnes parfois un peu gores ou peu ragoutantes.
Lâhistoire commence dans une salle qui ressemble Ă une ancienne chapelle. Un groupe de personnes vient tester, sur invitation, le dernier jeu virtuel et immersif de la sociĂ©tĂ© Antenna : eXistenZ. Un jeu créé par la grande prĂȘtresse du game-pod Allegra Geller et auquel on peut jouer grĂące Ă des « pods » organiques connectĂ©s Ă vos bioports, implantĂ©s Ă la base de votre moelle Ă©piniĂšre.
ProblĂšme, un jeune invitĂ©, arrivĂ© en retard, sort, malgrĂ© le scan subi Ă lâentrĂ©e, une arme organique, faite dâos assemblĂ©s, et tire sur Allegra, en criant « Mort Ă la dĂ©mone Allegra Geller », avant dâĂȘtre tuĂ© Ă son tour par les agents de sĂ©curitĂ© un peu lents Ă la dĂ©tente. Câest la panique ; le responsable de la sĂ©ance est lui aussi abattu et demande Ă Ted Pikul de sauver la conceptrice. Ce quâil fait, un peu perdu et sonnĂ© par les Ă©vĂšnements.
Câest une fuite bien Ă©trange, car Allegra est convaincue que son game-pod organique a Ă©tĂ© gravement endommagĂ© par cette attaque et veut absolument rentrer dans le jeu ce qui ne peut se faire quâavec un partenaire.
Ă partir de lĂ , tout va devenir complexe. Qui est qui ? OĂč est la rĂ©alitĂ© ? Dans quel jeu et avec quelle sociĂ©tĂ© joue-t-on ? Quelles sont ces crĂ©atures mutantes et synthĂ©tiques que lâon utilise pour crĂ©er les pods ou pour se nourrir ?
On frĂŽle parfois lâhorreur et le gore⊠pour arriver sur une fin que nombre dâindices laissaient deviner, mais que lâaction et la fuite occultent habilement. Mais au fait quel est l'objectif du jeu ? C'est de jouer pour savoir pourquoi on joue... c'est l'avenir... (sic)
Pour ma part, un film que jâavais apprĂ©ciĂ© et que jâai revu avec un plaisir amplifiĂ© par les acteurs prĂ©sents. On y retrouve Jude Law, dont jâavais apprĂ©ciĂ© le jeu dans « Bienvenue Ă Gattaca » sorti deux ans auparavant et qui a tournĂ© dans « Les animaux fantastiques 2 » (jâaime assez cet acteur jouant le capitaine Sky dans « Capitaine Sky et le monde de demain » ou le docteur Watson dans les 2 « Sherlock Holmes » avec Robert Downey Jr), Jennifer Leigh, vue dans « JF partagerait appartement » et qui est dans « Annihilation » sorti cette annĂ©e, Ian Holm qui jouait le prĂȘtre dans « Le 5e Ă©lĂ©ment » quelques annĂ©es plus tĂŽt et quâon a retrouvĂ© dans le rĂŽle de Bilbot, Willem Dafoe qui jouaient 3 ans plus tĂŽt dans « Le patient anglais » et qui Ă©tait dans le remake de « Le crime de lâOrient-Express » lâan dernier ou encore Don McKellar qui Ă©tait dans « Le violon rouge ».
Un film sans aucun temps mort avec des dialogues assez courts et incisifs, des acteurs qui jouent leurs rĂŽles de « personnages de jeu » avec crĂ©dibilitĂ© ; on se laisse facilement entrainer dans cette histoire tortueuse et fĂ©brile. De ces histoires tordues que jâapprĂ©cie, dans laquelle les faux-semblants prĂ©sentĂ©s dĂ©noncent aussi certains aspects de la virtualitĂ© et de notre monde actuel.
Je recommande sans souci, en fait Ă voir si un peu de sang et de tripes ne gĂȘnent pas.


