Montage © Koyolite Tseila, réalisé avec licence Text Studio
Avant-propos
L'intelligence artificielle (IA), en tant qu’outil, est très utile et permet de gagner beaucoup de temps.
C’est un outil extraordinairement pratique pour m’aider – me soulager – lors de la relecture de textes et de chroniques. En effet, en tant que webmaster, de nombreux articles me sont soumis par notre équipe de rédaction pour approbation, puis publication. Cela représente environ une trentaine d’articles par mois (sans compter les miens, qui sont également nombreux).
Tous ces articles, sur le fond, sont bons et écrits avec cœur et passion. Les sujets proposés sont intéressants et bien narrés.
Mais ! L’orthographe, la ponctuation, la conjugaison des verbes, les tournures de phrases, etc., laissent parfois… (toussote) à désirer. Mes propres articles ne sont pas parfaits non plus à ce niveau-là. Nous faisons toutes et tous de petites fautes 😅
Là où je passais auparavant une heure par article à le relire puis à le corriger, aujourd’hui l’IA – Copilot, de son petit nom – elle, avec une simple commande dans Word que je lui donne, à savoir « corriger orthographe », n’a besoin que de quelques secondes pour faire le travail.
Chacun a son style, ses expressions, sa manière d’écrire, et il m’est important de les respecter. C’est pourquoi cette commande manuelle « corriger orthographe » est pratique, car elle ne dénature pas le texte de base, contrairement à d’autres possibilités proposées par Copilot.
Puisque le sujet intéresse, j’ai réalisé un petit tutoriel pour vous montrer comment je procède désormais pour la relecture de nos articles avant leur publication. J’espère qu’il vous sera utile pour vos propres textes.
💡 N’hésitez pas à me poser des questions si quelque chose n’est pas clair et/ou à me faire part de vos observations après avoir réalisé quelques tests.
Merci de votre attention !
C’est un outil extraordinairement pratique pour m’aider – me soulager – lors de la relecture de textes et de chroniques. En effet, en tant que webmaster, de nombreux articles me sont soumis par notre équipe de rédaction pour approbation, puis publication. Cela représente environ une trentaine d’articles par mois (sans compter les miens, qui sont également nombreux).
Tous ces articles, sur le fond, sont bons et écrits avec cœur et passion. Les sujets proposés sont intéressants et bien narrés.
Mais ! L’orthographe, la ponctuation, la conjugaison des verbes, les tournures de phrases, etc., laissent parfois… (toussote) à désirer. Mes propres articles ne sont pas parfaits non plus à ce niveau-là. Nous faisons toutes et tous de petites fautes 😅
Là où je passais auparavant une heure par article à le relire puis à le corriger, aujourd’hui l’IA – Copilot, de son petit nom – elle, avec une simple commande dans Word que je lui donne, à savoir « corriger orthographe », n’a besoin que de quelques secondes pour faire le travail.
Chacun a son style, ses expressions, sa manière d’écrire, et il m’est important de les respecter. C’est pourquoi cette commande manuelle « corriger orthographe » est pratique, car elle ne dénature pas le texte de base, contrairement à d’autres possibilités proposées par Copilot.
Puisque le sujet intéresse, j’ai réalisé un petit tutoriel pour vous montrer comment je procède désormais pour la relecture de nos articles avant leur publication. J’espère qu’il vous sera utile pour vos propres textes.
💡 N’hésitez pas à me poser des questions si quelque chose n’est pas clair et/ou à me faire part de vos observations après avoir réalisé quelques tests.
Merci de votre attention !
💡Notes et observations
1) Cet outil, aussi pratique soit-il, a tout de même ses limites. J'ai remarqué que, si par exemple le texte traite de sujets sensibles, il n'en fera pas la correction. De plus, je recommande de toujours bien vérifier les modifications, car parfois Copilot peut remplacer un mot par un autre, qui ne convient pas forcément dans le contexte.
2) J’ai un abonnement Microsoft 365 Personnel (version standard). Apparemment, le nombre de « crédits » mensuels pour utiliser Copilot est limité à 60 par mois. C’est ce que j’ai découvert - en grimaçant - au milieu du mois, en corrigeant un texte avec l’aide de l’IA. Pour bénéficier de plus de crédits, il faudrait souscrire à un abonnement Microsoft 365 Premium, oui, vous savez, celui qui coûte une plombe (double grimace). Néanmoins, même avec la version de luxe, il n’est pas certain de pouvoir utiliser Copilot de manière illimitée et il n’est nulle part fait mention du nombre de crédits mensuels disponibles.
2) J’ai un abonnement Microsoft 365 Personnel (version standard). Apparemment, le nombre de « crédits » mensuels pour utiliser Copilot est limité à 60 par mois. C’est ce que j’ai découvert - en grimaçant - au milieu du mois, en corrigeant un texte avec l’aide de l’IA. Pour bénéficier de plus de crédits, il faudrait souscrire à un abonnement Microsoft 365 Premium, oui, vous savez, celui qui coûte une plombe (double grimace). Néanmoins, même avec la version de luxe, il n’est pas certain de pouvoir utiliser Copilot de manière illimitée et il n’est nulle part fait mention du nombre de crédits mensuels disponibles.
Petit apparté
Je m’oppose à tout contenu généré par l’IA s’il n’est pas mentionné comme tel. Et je ne tolère pas l’acte abject et illicite qui consiste à voler délibérément nos contenus (ou les vôtres, chers créateurs, artistes, illustrateurs, chroniqueurs et écrivains) pour les donner en pâture à l’IA afin qu’elle les recrache d’une autre manière, permettant ainsi à des personnes malhonnêtes de se les approprier sans mentionner leurs sources. Je m’oppose fermement à une utilisation de l’IA à des fins lucratives et/ou malintentionnées.
Ceci pour qu’une chose soit claire : JAMAIS – ô combien JAMAIS – je n’utiliserai l’IA pour lui faire générer des textes. A bord du Galion des Etoiles, on rédige avec cœur 💙, passion 🔥 et intelligence naturelle.
Ceci pour qu’une chose soit claire : JAMAIS – ô combien JAMAIS – je n’utiliserai l’IA pour lui faire générer des textes. A bord du Galion des Etoiles, on rédige avec cœur 💙, passion 🔥 et intelligence naturelle.
