Affiche et synopsis
Les Etats-Unis, dans un futur proche. Mae est engagée chez The Circle, le groupe de nouvelles technologies et de médias sociaux le plus puissant au monde. Pour elle, c'est une opportunité en or ! Tandis qu'elle prend de plus en plus de responsabilités, le fondateur de l'entreprise, Eamon Bailey, l'encourage à participer à une expérience révolutionnaire qui bouscule les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles. Désormais, les choix que fait Mae dans le cadre de cette expérience impactent l'avenir de ses amis, de ses proches et de l'humanité tout entière...
Présentation
« The Circle » est la plus grande et la plus puissante boîte au monde en matière de développement de technologies et de médias sociaux. Cette société américaine travaille au partage absolu de toute vie privée ou publique. Les mini-caméras qu’elle a conçu permettent de suivre en permanence tous les faits et gestes des citoyens du monde, qu’ils le veuillent ou non. Mae est une jeune femme qui décroche un job chez « The Circle ». Pour elle, travailler pour une boîte si célèbre, c’est une belle opportunité. Soutenue par Eamon Bailey, le fondateur de l’entreprise, elle ira même jusqu’à se prêter à une expérience à la fois intrusive et dangereuse…
« The Circle » montre – dans un futur proche - l’écroulement de la vie privée, bouscule l’éthique et prône l’abolition des libertés individuelles. Le sujet est intéressant, mais dérangeant. On l’aura compris, on est clairement dans la carricature d’entreprises d’envergure comme Apple, Google ou Facebook. En tant qu’utilisateurs d’Internet et des réseaux sociaux et/ou en tant que propriétaires d’ordinateurs et de téléphones mobiles, nous sommes tous concernés par les dérives de la technologie et l’utilisation par des tiers de nos données personnelles. Nous en sommes tous conscients, cependant nous acceptons tous tacitement la chose parce que ces technologies font clairement partie de notre monde moderne, elles nous séduisent et pire que cela, nous rendent parfois dépendants. Cela fait peur… et donne matière à réflexion. En ce sens, je dirais que le premier tiers du film se laisse regarder et que le sujet induit forcément un malaise en chacun de nous.
Par contre, si on y regarde de plus près, le fond manque cruellement d’originalité. On a affaire à de gros clichés : le grand gourou (plein de secrets) qui prêche le bienfondé de ses technologies devant ses milliers d’employés en adoration, la petite nouvelle prodigieuse qui débarque dans cette secte et qui finit par surpasser le maître en le piégeant à son propre jeu, l’ami d’enfance secrètement amoureux qui finit par payer le prix fort pour être au cœur de l’expérience vécue par Mae, les parents tout gentils mais qui n’ont pas leur mot à dire, etc… Franchement, au bout d’un moment, c’est pénible. Je me tourne donc vers le personnage principal, à savoir Mae, et me dis qu’elle a du potentiel pour nous livrer une véritable réflexion et nous toucher. Mais non, impossible de gratter sous la surface, elle reste fade et stérile au possible, à croire qu’elle n’a pas de cœur, ni de remords.
De ce fait, la suite du film devient vraiment pénible à visionner. On part dans une énormité qui est traitée à toute vitesse avec des insertions de textos à gogo dans l’image, pour finalement en arriver à se dire que le tout est bâclé lorsque le rideau tombe. Il n’y a pas de nuances et plus aucune place pour la réflexion. C’est dommage, parce que le sujet est sérieux, mais là , il est mal traité.
Au final, au lieu d’avoir un film passionnant et bien réalisé, on a une espèce de tambouille qui ressemble à pas grand-chose. « The Circle » est pour moi un film clairement pas abouti, que je ne regarderai pas une seconde fois.
« The Circle » montre – dans un futur proche - l’écroulement de la vie privée, bouscule l’éthique et prône l’abolition des libertés individuelles. Le sujet est intéressant, mais dérangeant. On l’aura compris, on est clairement dans la carricature d’entreprises d’envergure comme Apple, Google ou Facebook. En tant qu’utilisateurs d’Internet et des réseaux sociaux et/ou en tant que propriétaires d’ordinateurs et de téléphones mobiles, nous sommes tous concernés par les dérives de la technologie et l’utilisation par des tiers de nos données personnelles. Nous en sommes tous conscients, cependant nous acceptons tous tacitement la chose parce que ces technologies font clairement partie de notre monde moderne, elles nous séduisent et pire que cela, nous rendent parfois dépendants. Cela fait peur… et donne matière à réflexion. En ce sens, je dirais que le premier tiers du film se laisse regarder et que le sujet induit forcément un malaise en chacun de nous.
Par contre, si on y regarde de plus près, le fond manque cruellement d’originalité. On a affaire à de gros clichés : le grand gourou (plein de secrets) qui prêche le bienfondé de ses technologies devant ses milliers d’employés en adoration, la petite nouvelle prodigieuse qui débarque dans cette secte et qui finit par surpasser le maître en le piégeant à son propre jeu, l’ami d’enfance secrètement amoureux qui finit par payer le prix fort pour être au cœur de l’expérience vécue par Mae, les parents tout gentils mais qui n’ont pas leur mot à dire, etc… Franchement, au bout d’un moment, c’est pénible. Je me tourne donc vers le personnage principal, à savoir Mae, et me dis qu’elle a du potentiel pour nous livrer une véritable réflexion et nous toucher. Mais non, impossible de gratter sous la surface, elle reste fade et stérile au possible, à croire qu’elle n’a pas de cœur, ni de remords.
De ce fait, la suite du film devient vraiment pénible à visionner. On part dans une énormité qui est traitée à toute vitesse avec des insertions de textos à gogo dans l’image, pour finalement en arriver à se dire que le tout est bâclé lorsque le rideau tombe. Il n’y a pas de nuances et plus aucune place pour la réflexion. C’est dommage, parce que le sujet est sérieux, mais là , il est mal traité.
Au final, au lieu d’avoir un film passionnant et bien réalisé, on a une espèce de tambouille qui ressemble à pas grand-chose. « The Circle » est pour moi un film clairement pas abouti, que je ne regarderai pas une seconde fois.
