Affiche et synopsis
Alors qu'il effectue des fouilles archéologiques dans la vallée de la Dordogne en France, le célèbre professeur en archéologie Edward Johnston teste sa nouvelle invention... et se retrouve projeté au 14ème siècle en France... en plein coeur de la guerre de Cent Ans qui oppose les Français et les anglais. Seul son fils, son assistant et quelques-uns de ses étudiants peuvent le sauver. Ils vont à leur tour utiliser la machine à remonter le temps pour se téléporter au Moyen Âge...
Présentation
Situé au cœur de la Dordogne, le site de Castelgard a joué un rôle important durant la guerre de Cent Ans. Au cours d’une seule nuit de 1357, les Français s’y emparent du château LaRoque, occupé par les Anglais. Puisant leur courage dans le martyre subi par Claire, la sœur d’Arnaut, celui qui les mène au combat, les Français remportent une victoire-clé dans cette longue guerre.
Dans nos jours, le site n’est plus qu’une ruine, qui intéresse surtout les archéologues. D’ailleurs, une petite équipe archéologique est justement sur les lieux, financée par un généreux sponsor, ITC Corporation. Mais voilà qu’ils mettent au jour un sarcophage des plus surprenants. La tombe est celle d’un chevalier et de sa dame. Mais, chose étonnante pour l’époque, les époux, représentés sur le couvercle, se tiennent la main.
Quelque chose ne va pas aux yeux du Professeur Edward Johnston, qui dirige les fouilles. Il décide de se rendre aux États-Unis, pour confronter ses sponsors. Ont-ils déjà fait fouiller le site ? Ont-ils faussé les lieux ? Pourquoi se sont-ils montrés si généreux avec Johnston et sa jeune équipe ?
Pendant l’absence du professeur, ses collègues poursuivent néanmoins leurs fouilles. Peu après, un effondrement leur permet de trouver une galerie. En explorant ces lieux, isolés depuis le Moyen-Âge, ils sont, une fois de plus surpris, en y découvrant une paire de lunettes tout ce qu’il y a de récent – ainsi qu’une note d'Edward Johnston, les sommant de lui venir en aide !
Cette fois, c’en est trop ! Si c’est une blague, elle est de très mauvais goût ! Où est passé le professeur ? Alors que la note et les lunettes s’avèrent bel et bien appartenir au professeur Johnston, Chris, son fils, demande des comptes à ITC Corporation, les menaçant de les poursuivre pour le kidnapping de son père. Pour toute réponse, Robert Doniger le patron, invite toute l’équipe à le rejoindre au siège de l’entreprise.
À leur arrivée, ils découvrent pourquoi ITC Corporation finance leurs travaux à Castelgard. Poursuivant des recherches expérimentales en téléportation, l’entreprise américaine est tombée, par hasard, sur un trou de ver spatio-temporel ! Celui-ci mène droit à 1357, à quelques heures à peine de la fameuse bataille du château LaRoque.
Mais il y a pire : Doniger n’a pas résisté au pouvoir de conviction du Professeur Johnston, qu'il a permis de se rendre au 14e siècle ! Mais maintenant qu'on a trouvé le message où le professeur appelle à l'aide, il réalise que les choses ne se passent pas comme prévu (ou plutôt ne se sont pas passées comme prévu, il y a plus de 650 ans déjà ). Il ne reste qu’une seule solution : Chris et ses amis doivent traverser le trou de ver à leur tour et ramener le professeur dans le présent.
Tiré d’un roman de Michael Crichton, Timeline (Prisonniers du Temps) fut un gros échec commercial et critique. Réalisé par Richard Donner, à qui on doit tout de même quelques grands succès (Superman, Les Goonies, L’Arme Fatale, …), le film fut très loin de rentrer dans ses frais. Les efforts des acteurs et les reconstitutions de bataille ne parviennent pas à cacher les incohérences du scénario.
Dans nos jours, le site n’est plus qu’une ruine, qui intéresse surtout les archéologues. D’ailleurs, une petite équipe archéologique est justement sur les lieux, financée par un généreux sponsor, ITC Corporation. Mais voilà qu’ils mettent au jour un sarcophage des plus surprenants. La tombe est celle d’un chevalier et de sa dame. Mais, chose étonnante pour l’époque, les époux, représentés sur le couvercle, se tiennent la main.
Quelque chose ne va pas aux yeux du Professeur Edward Johnston, qui dirige les fouilles. Il décide de se rendre aux États-Unis, pour confronter ses sponsors. Ont-ils déjà fait fouiller le site ? Ont-ils faussé les lieux ? Pourquoi se sont-ils montrés si généreux avec Johnston et sa jeune équipe ?
Pendant l’absence du professeur, ses collègues poursuivent néanmoins leurs fouilles. Peu après, un effondrement leur permet de trouver une galerie. En explorant ces lieux, isolés depuis le Moyen-Âge, ils sont, une fois de plus surpris, en y découvrant une paire de lunettes tout ce qu’il y a de récent – ainsi qu’une note d'Edward Johnston, les sommant de lui venir en aide !
Cette fois, c’en est trop ! Si c’est une blague, elle est de très mauvais goût ! Où est passé le professeur ? Alors que la note et les lunettes s’avèrent bel et bien appartenir au professeur Johnston, Chris, son fils, demande des comptes à ITC Corporation, les menaçant de les poursuivre pour le kidnapping de son père. Pour toute réponse, Robert Doniger le patron, invite toute l’équipe à le rejoindre au siège de l’entreprise.
À leur arrivée, ils découvrent pourquoi ITC Corporation finance leurs travaux à Castelgard. Poursuivant des recherches expérimentales en téléportation, l’entreprise américaine est tombée, par hasard, sur un trou de ver spatio-temporel ! Celui-ci mène droit à 1357, à quelques heures à peine de la fameuse bataille du château LaRoque.
Mais il y a pire : Doniger n’a pas résisté au pouvoir de conviction du Professeur Johnston, qu'il a permis de se rendre au 14e siècle ! Mais maintenant qu'on a trouvé le message où le professeur appelle à l'aide, il réalise que les choses ne se passent pas comme prévu (ou plutôt ne se sont pas passées comme prévu, il y a plus de 650 ans déjà ). Il ne reste qu’une seule solution : Chris et ses amis doivent traverser le trou de ver à leur tour et ramener le professeur dans le présent.
Tiré d’un roman de Michael Crichton, Timeline (Prisonniers du Temps) fut un gros échec commercial et critique. Réalisé par Richard Donner, à qui on doit tout de même quelques grands succès (Superman, Les Goonies, L’Arme Fatale, …), le film fut très loin de rentrer dans ses frais. Les efforts des acteurs et les reconstitutions de bataille ne parviennent pas à cacher les incohérences du scénario.
