En l'an 79, la ville de PompĂ©i vit sa pĂ©riode la plus faste Ă l'abri du mont VĂ©suve. Milo, esclave celte en provenance d'Angleterre et devenu gladiateur, rĂȘve du jour oĂč il pourra venger son peuple exterminĂ© par l'empire Romain.
Au mĂȘme moment, le VĂ©suve se rĂ©veille lentement dans l'indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale...
Dans quelques heures la ville va ĂȘtre le théùtre d'une des plus grandes catastrophes naturelles de tous les temps.
Présentation
« PompĂ©i » nâest pas un film de Science-fiction. Pour changer un peu, voici un « pĂ©plum », un film dont lâaction se situe dans lâAntiquitĂ©. C'est tout de mĂȘme une fiction, car il ne contient pas de faits historiques avĂ©rĂ©s.
Lâhistoire dĂ©bute en lâan 62 aprĂšs J.-C, alors quâune lĂ©gion romaine massacre une tribu celte en guise de rĂ©pression sur ordre du sĂ©nateur romain Corvus. Le petit Milo, se faisant passer pour mort, est le seul survivant de son village. Tandis quâaprĂšs les combats il fuit dans la forĂȘt, il se fait malheureusement capturer par un marchand dâesclaves. Dix sept ans plus tard, alors que Milo, devenu gladiateur, sâillustre en combat devant un noble romain, il est vendu par son bourreau celte Ă ce mĂȘme Romain, qui lâemmĂšne Ă sa rĂ©sidence de PompĂ©i, oĂč il sera conduit aux arĂšnes pour affronter le grand champion local, histoire de divertir la populationâŠ
Le film raconte donc la quĂȘte de deux gladiateurs, qui est de devenir un jour un homme libre. Mais seul lâun dâeux pourra ĂȘtre affranchi par Rome : le gagnant. Et ils ont tous deux de trĂšs bonnes motivations pour atteindre leur but. Ils se prĂ©parent au combat, tandis que dans lâindiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale, le volcan se rĂ©veilleâŠ
« PompĂ©i » remplit parfaitement son rĂŽle, Ă savoir celui de divertir. Il y a de lâaction, de la romance, de la fraternitĂ©, des combats, et un mĂ©chant bien sadique. Les effets spĂ©ciaux sont rĂ©ussis (quand le volcan entre en Ă©ruption, câest Ă la fois impressionnant et magnifique !), et ils sont lĂ pour servir le film. La musique est belle. Et malgrĂ© parfois quelques Ă©lĂ©ments prĂ©visibles, je ne me suis pas ennuyĂ©e un seul instant. Quant Ă la fin, jâen suis ressortie toute chamboulĂ©eâŠ
Jâai Ă©tĂ© agrĂ©ablement surprise par le jeu dâacteur dâAdewale Akinnuoye-Agbaje (alias M. Eko dans Lost), car il incarne trĂšs bien son rĂŽle de gladiateur, offrant une palette dâĂ©motions qui donnent une belle profondeur au personnage. De plus, il a une sacrĂ©e prestance et lâacteur principal, Kit Harington, fait parfois pĂąle figure Ă cĂŽtĂ© de lui, bien quâil sâen sorte trĂšs bien lui aussi. Quant Ă Kiefer Sutherland, il est parfait dans la peau de Corvus, dĂ©testable sĂ©nateur romain.
En conclusion, « PompĂ©i » est un divertissement que je vous recommande, si vous apprĂ©ciez ce genre. Pensez simplement Ă avoir un paquet de mouchoirs Ă portĂ©e de mainsâŠ
Lâhistoire dĂ©bute en lâan 62 aprĂšs J.-C, alors quâune lĂ©gion romaine massacre une tribu celte en guise de rĂ©pression sur ordre du sĂ©nateur romain Corvus. Le petit Milo, se faisant passer pour mort, est le seul survivant de son village. Tandis quâaprĂšs les combats il fuit dans la forĂȘt, il se fait malheureusement capturer par un marchand dâesclaves. Dix sept ans plus tard, alors que Milo, devenu gladiateur, sâillustre en combat devant un noble romain, il est vendu par son bourreau celte Ă ce mĂȘme Romain, qui lâemmĂšne Ă sa rĂ©sidence de PompĂ©i, oĂč il sera conduit aux arĂšnes pour affronter le grand champion local, histoire de divertir la populationâŠ
Le film raconte donc la quĂȘte de deux gladiateurs, qui est de devenir un jour un homme libre. Mais seul lâun dâeux pourra ĂȘtre affranchi par Rome : le gagnant. Et ils ont tous deux de trĂšs bonnes motivations pour atteindre leur but. Ils se prĂ©parent au combat, tandis que dans lâindiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale, le volcan se rĂ©veilleâŠ
« PompĂ©i » remplit parfaitement son rĂŽle, Ă savoir celui de divertir. Il y a de lâaction, de la romance, de la fraternitĂ©, des combats, et un mĂ©chant bien sadique. Les effets spĂ©ciaux sont rĂ©ussis (quand le volcan entre en Ă©ruption, câest Ă la fois impressionnant et magnifique !), et ils sont lĂ pour servir le film. La musique est belle. Et malgrĂ© parfois quelques Ă©lĂ©ments prĂ©visibles, je ne me suis pas ennuyĂ©e un seul instant. Quant Ă la fin, jâen suis ressortie toute chamboulĂ©eâŠ
Jâai Ă©tĂ© agrĂ©ablement surprise par le jeu dâacteur dâAdewale Akinnuoye-Agbaje (alias M. Eko dans Lost), car il incarne trĂšs bien son rĂŽle de gladiateur, offrant une palette dâĂ©motions qui donnent une belle profondeur au personnage. De plus, il a une sacrĂ©e prestance et lâacteur principal, Kit Harington, fait parfois pĂąle figure Ă cĂŽtĂ© de lui, bien quâil sâen sorte trĂšs bien lui aussi. Quant Ă Kiefer Sutherland, il est parfait dans la peau de Corvus, dĂ©testable sĂ©nateur romain.
En conclusion, « PompĂ©i » est un divertissement que je vous recommande, si vous apprĂ©ciez ce genre. Pensez simplement Ă avoir un paquet de mouchoirs Ă portĂ©e de mainsâŠ


