Le Club des punks contre l’apocalypse zombie © 2016 ActuSF | Illustration de couverture © Diego Tripodi
Quatrième de couverture
Paris n'est plus que ruines.
Et le prix de la cervelle fraîche s'envole.
Heureusement, il reste des punks.
Et des bières.
Et des acides.
Et un groupe électrogène pour jouer du Discharge.
Le club des punks va pouvoir survivre à l'Apocalypse. Enfin, si en plus des zombies, les gros cons n'étaient pas aussi de sortie...
Il est grand temps que l'anarchie remette de l'ordre dans le chaos !
Et le prix de la cervelle fraîche s'envole.
Heureusement, il reste des punks.
Et des bières.
Et des acides.
Et un groupe électrogène pour jouer du Discharge.
Le club des punks va pouvoir survivre à l'Apocalypse. Enfin, si en plus des zombies, les gros cons n'étaient pas aussi de sortie...
Il est grand temps que l'anarchie remette de l'ordre dans le chaos !
Présentation
Karim Berrouka est quelqu’un de tout à fait à part dans la jungle littéraire. Je pourrais même dire qu’il est unique en son genre.
Mais me direz-vous, son genre, c’est quoi ? Et c’est là que ça se complique.
Dire qu’il a été chanteur et parolier du groupe punk "Ludwig von 88" jusqu’en 1984, avant de prendre la plume et d’écrire ou plutôt de déchiqueter à coup de verbe incisif la société capitaliste, serait un poil trop réducteur. Karim Berrouka est un punk destroy, certes, mais il s’est payé le luxe d’obtenir en 2016 le Prix Julia Verlanger. Rien que ça ! C’est vous dire le talent.
Et le talent, monsieur Berrouka n’en manque pas, il en a même à la pelle d’où son penchant à en filer (des coups de pelles) à tous les malfaisants qui passent, zombies ou pas. Le verbe haut et sacrément coloré, Karim Berrouka décortique les travers de nos sociétés et comme il a le choix, il ne s’en prive pas. La langue et les ongles aiguisés, il égratigne et cogne là où ça fait mal, mais dans la joie et la bonne humeur. L’humour est omniprésent tant et si bien, qu’il arrive à rendre sympathique un troupeau de zombies dégénérés, bouffeurs de cervelles. Un exploit.
Lire Le Club des punks contre l’apocalypse zombie a quelque chose d’exaltant. On croit voir lâcher sous nos yeux les frères Marx et les Monty Python dans un champ au milieu de morts-vivants assoiffés de sang et de chairs fraîches. On ignore totalement quelles seront leurs réactions, mais une chose est sûre, on n’est jamais déçu.
Pour résumer, j’ai trouvé un auteur encore plus allumé que moi, mais n’est pas Keupon qui veut.
Mais me direz-vous, son genre, c’est quoi ? Et c’est là que ça se complique.
Dire qu’il a été chanteur et parolier du groupe punk "Ludwig von 88" jusqu’en 1984, avant de prendre la plume et d’écrire ou plutôt de déchiqueter à coup de verbe incisif la société capitaliste, serait un poil trop réducteur. Karim Berrouka est un punk destroy, certes, mais il s’est payé le luxe d’obtenir en 2016 le Prix Julia Verlanger. Rien que ça ! C’est vous dire le talent.
Et le talent, monsieur Berrouka n’en manque pas, il en a même à la pelle d’où son penchant à en filer (des coups de pelles) à tous les malfaisants qui passent, zombies ou pas. Le verbe haut et sacrément coloré, Karim Berrouka décortique les travers de nos sociétés et comme il a le choix, il ne s’en prive pas. La langue et les ongles aiguisés, il égratigne et cogne là où ça fait mal, mais dans la joie et la bonne humeur. L’humour est omniprésent tant et si bien, qu’il arrive à rendre sympathique un troupeau de zombies dégénérés, bouffeurs de cervelles. Un exploit.
Lire Le Club des punks contre l’apocalypse zombie a quelque chose d’exaltant. On croit voir lâcher sous nos yeux les frères Marx et les Monty Python dans un champ au milieu de morts-vivants assoiffés de sang et de chairs fraîches. On ignore totalement quelles seront leurs réactions, mais une chose est sûre, on n’est jamais déçu.
Pour résumer, j’ai trouvé un auteur encore plus allumé que moi, mais n’est pas Keupon qui veut.
