 
			 Affiche et synopsis
					 Une nouvelle vague de justiciers masqués débarque, dirigés par le colonel Stars and Stripes. C'est ainsi que Kick-Ass les rejoint pour patrouiller. Quand ces super-héros amateurs sont chassés par Red Mist (devenu le « Motherfucker ») seule la tranchante Hit-Girl peut les empêcher de se faire tuer en redevenant la figure qu'elle essayait d'oublier…
				 
			 Présentation
					 Quatre ans après les aventures de Kick Ass, Dave Lizewski (Kick Ass) a repris sa vie de lycĂ©en tranquille. Il regarde de l'extĂ©rieur la vague de super-hĂ©ros qui dĂ©ferle sur la ville, jusqu'au jour oĂą il intègre un groupe nommĂ© Justice Forever, avec qui il va reprendre du service. Quant Ă  Mindy (Hit-Girl), elle sèche les cours et continue Ă  s'entraĂ®ner en ressassant le passĂ©. Mais Chris D'Amico n'a pas oubliĂ© la mort de son père. Il abandonne son personnage de super-hĂ©ros (Red Mist) pour devenir un super-vilain (the Motherfucker). RĂ©alisant, qu'il ne pourra pas se venger seul, il profite de l'immense fortune dont il a hĂ©ritĂ© pour monter un groupe de mĂ©chant. La tension monte, les balles volent et la police doit intervenir. 
    
Ce deuxième volet est dans la droite ligne du premier. Il en reprend les cordes principales : jouer avec les codes du film de super-héros, fournir de bonnes grosses scènes d'action, offrir des dialogues très actuels, avec de la tchatche.
    
Mais il y a aussi plus de profondeur. Mindy se demande où est son véritable devoir par rapport à son père : devenir une gentille fille ou continuer la lutte ? Dave réalise que le père qu'il méprise est probablement le héros le plus authentique qu'il connaisse.
    
Le film joue aussi subtilement sur les dualités courage/peur, force/faiblesse ou solitude/groupe. Les personnages évoluent, et plutôt dans le bon sens. Comme pour le premier, il y a quelques scènes d’anthologie, surtout centrées sur Hit-Girl, comme sa course à moto ou le combat avec Mother Russia.
   
J'ai bien aimé ce film. C'est un bon divertissement à prendre au second degré. Mais attention : il est plus sanglant que le premier et je le conseille donc à un public un peu plus averti.
			 Ce deuxième volet est dans la droite ligne du premier. Il en reprend les cordes principales : jouer avec les codes du film de super-héros, fournir de bonnes grosses scènes d'action, offrir des dialogues très actuels, avec de la tchatche.
Mais il y a aussi plus de profondeur. Mindy se demande où est son véritable devoir par rapport à son père : devenir une gentille fille ou continuer la lutte ? Dave réalise que le père qu'il méprise est probablement le héros le plus authentique qu'il connaisse.
Le film joue aussi subtilement sur les dualités courage/peur, force/faiblesse ou solitude/groupe. Les personnages évoluent, et plutôt dans le bon sens. Comme pour le premier, il y a quelques scènes d’anthologie, surtout centrées sur Hit-Girl, comme sa course à moto ou le combat avec Mother Russia.
J'ai bien aimé ce film. C'est un bon divertissement à prendre au second degré. Mais attention : il est plus sanglant que le premier et je le conseille donc à un public un peu plus averti.




 

