
Fiche de lecture
C’est une histoire que j’attendais depuis quelque temps. En fait depuis la convention SF de Gradignan près de Bordeaux en 2016. Pierre LePixx en avait réalisé l'affiche et j’avais eu l’occasion de le rencontrer et de sympathiser avec lui, de revenir avec deux dessins encadrés dans mon bureau ainsi son carnet de croquis paru chez Armada, tous trois généreusement dédicacés. Jusque là rien d’extraordinaire… si ce n’est que j’ai pu profiter de ces échanges pour découvrir quelques aspects du scénario de Hot Space, dont celle de la page 44 avec les explications scientifiques que Pierre avait recueillies sur la problématique qu’il y posait.
L’histoire était alléchante, le dessinateur sympathique, le coup de crayon sacrément bon (allez donc voir son site) … ne restait plus qu’à attendre et à suivre l’avancement du projet jusqu’à sa concrétisation. Seul regret, j’ai raté, pris par trop de choses, la sortie de l’édition Collector en Noir et Blanc, dédicacée qui est sortie…
Étant assez fan d’ambiance Pulp, le moins que je puisse dire, c’est que j’ai été servi. L’histoire tient la route ou plutôt l’espace comme la planète. Les personnages sont bien taillés et intrigants. L’action est là en permanence, sans vous laisser vraiment le temps de souffler, et la mise en forme change agréablement de ce qu’on a dans pas mal de BD. Le trait est énergique, précis et on a droit à plusieurs pages pleines particulièrement chouettes, à des cases généreuses, à du texte lisible…
Un livre pour s’en prendre plein la « tronche », parce qu’effectivement Nohraïa n’est pas du genre à se laisser mener à l’abattoir sans réagir, pas plus que de Saint-Jean, ou plutôt « Spector ». Ni la Kadisse Haesvree d’ailleurs…
Ce qui vous fait comprendre qu’il y a trois super héroïnes et seulement quelques mecs dans le clan des gentils. Les autres, les méchants, hé bien désolé, mais ces mecs bourrés de muscles et de testostérones sont pas mal chargés en connerie [comme l’explique Nohraïa, ça va souvent de pair] et vont apprendre à souffrir, salement souffrir même.
Quatre-vingts pages qui se dévorent très vite, trop vite hélas – mais que j’ai relu avec plaisir, rien que pour profiter des détails. Que l’on repose en espérant que Le Pixx ne nous fera pas attendre quatre ans et demi (ce qu’il lui a fallu pour créer cette BD ciselée tant scénaristiquement que graphiquement parlant) pour le deuxième tome et les suivants…
Vous aimez la BD, la SF, le Pulp ? C’est exactement ce qu’il vous faut. Pour ma part, j’ai été conquis et je piaffe déjà de devoir attendre la suite.
L’histoire était alléchante, le dessinateur sympathique, le coup de crayon sacrément bon (allez donc voir son site) … ne restait plus qu’à attendre et à suivre l’avancement du projet jusqu’à sa concrétisation. Seul regret, j’ai raté, pris par trop de choses, la sortie de l’édition Collector en Noir et Blanc, dédicacée qui est sortie…
Étant assez fan d’ambiance Pulp, le moins que je puisse dire, c’est que j’ai été servi. L’histoire tient la route ou plutôt l’espace comme la planète. Les personnages sont bien taillés et intrigants. L’action est là en permanence, sans vous laisser vraiment le temps de souffler, et la mise en forme change agréablement de ce qu’on a dans pas mal de BD. Le trait est énergique, précis et on a droit à plusieurs pages pleines particulièrement chouettes, à des cases généreuses, à du texte lisible…
Un livre pour s’en prendre plein la « tronche », parce qu’effectivement Nohraïa n’est pas du genre à se laisser mener à l’abattoir sans réagir, pas plus que de Saint-Jean, ou plutôt « Spector ». Ni la Kadisse Haesvree d’ailleurs…
Ce qui vous fait comprendre qu’il y a trois super héroïnes et seulement quelques mecs dans le clan des gentils. Les autres, les méchants, hé bien désolé, mais ces mecs bourrés de muscles et de testostérones sont pas mal chargés en connerie [comme l’explique Nohraïa, ça va souvent de pair] et vont apprendre à souffrir, salement souffrir même.
Quatre-vingts pages qui se dévorent très vite, trop vite hélas – mais que j’ai relu avec plaisir, rien que pour profiter des détails. Que l’on repose en espérant que Le Pixx ne nous fera pas attendre quatre ans et demi (ce qu’il lui a fallu pour créer cette BD ciselée tant scénaristiquement que graphiquement parlant) pour le deuxième tome et les suivants…
Vous aimez la BD, la SF, le Pulp ? C’est exactement ce qu’il vous faut. Pour ma part, j’ai été conquis et je piaffe déjà de devoir attendre la suite.