Synopsis
New York - Une quarantaine de ses amis et relations ont organisé chez Rob une fête en l'honneur de son départ pour le Japon. Parmi eux, Hub, vidéaste d'un soir, chargé d'immortaliser l'événement. La "party" bat son plein lorsqu'une violente secousse ébranle soudain l'immeuble. Les invités se précipitent dans la rue où une foule inquiète s'est rassemblée en quelques instants. Une ombre immense se profile dans le ciel, un grondement sourd se fait entendre... et la tête de la Statue de la Liberté s'effondre brutalement sur la chaussée. L'attaque du siècle vient de commencer. Au petit matin, Manhattan ne sera plus qu'un champ de ruines...
Brève de film
📌Information destinée aux cinéphiles : veuillez lire attentivement la notice d’emballage avant visualisation…
Vous avez comme une envie de vomir, mais vous n’y arrivez pas ? Ne vous faites pas de souci ! J’ai LA solution pour vous. Et cette aide miracle porte un nom : Cloverfield (ou comment perdre son estomac sans quitter son canapé).
Donc, je disais : un film qui donne envie de vomir. Ce n’est pas la faute du scénario, mais c’est à cause de la manière dont c’est filmé. Quelle horreur ! Après une demi-heure de scènes avec effets stroboscopiques, j’ai dû stopper la chose, avant de devoir courir aux WC… 🤮
Dommage, car le scénario m’avait l’air prometteur et j’aurais volontiers visionné le film en entier s’il n'avait pas été réalisé façon "shaker cosmique". Regarder un film la tête dans les toilettes, vous conviendrez que c’est assez compliqué. Et comme je n’ai pas la TV dans la salle de bain…
Je ne comprends pas à quoi ça sert d’investir 25 millions de dollars pour réaliser un film qui favorise les vomissements, alors qu’une bonne dose de crème fouettée et d’huile de foie de morue suffit à produire le même effet et à moindres coûts…
Bref, vous l’aurez compris : (W)Cloverfield et ses effets secondaires = pas pour moi.
Vous avez comme une envie de vomir, mais vous n’y arrivez pas ? Ne vous faites pas de souci ! J’ai LA solution pour vous. Et cette aide miracle porte un nom : Cloverfield (ou comment perdre son estomac sans quitter son canapé).
Donc, je disais : un film qui donne envie de vomir. Ce n’est pas la faute du scénario, mais c’est à cause de la manière dont c’est filmé. Quelle horreur ! Après une demi-heure de scènes avec effets stroboscopiques, j’ai dû stopper la chose, avant de devoir courir aux WC… 🤮
Dommage, car le scénario m’avait l’air prometteur et j’aurais volontiers visionné le film en entier s’il n'avait pas été réalisé façon "shaker cosmique". Regarder un film la tête dans les toilettes, vous conviendrez que c’est assez compliqué. Et comme je n’ai pas la TV dans la salle de bain…
Je ne comprends pas à quoi ça sert d’investir 25 millions de dollars pour réaliser un film qui favorise les vomissements, alors qu’une bonne dose de crème fouettée et d’huile de foie de morue suffit à produire le même effet et à moindres coûts…
Bref, vous l’aurez compris : (W)Cloverfield et ses effets secondaires = pas pour moi.
