Centaurus - Tome 1 - Terre promise (2015)

La planète Terre est devenue inhabitable. A bord d'un «vaisseau-monde», nos descendants traversent l'espace à la recherche d'une terre d'accueil. Ils croient l'avoir trouvée dans la constellation du Centaure. Mais attention aux simulacres et aux pièges...
Fiche de lecture
Suite à plusieurs guerres violentes, les conditions de vie sur notre planète Terre étaient devenues bien mauvaises. De plus, ses réserves naturelles étaient épuisées, et son climat, instable. Il y a 400 ans, le projet « Vera » fut initié et le vaisseau-monde fut bâti : 9800 personnes furent sélectionnées pour constituer les passager et l’équipage de cet immense arche cylindrique en partance pour la planète Vera.
Nous sommes aujourd’hui à bord du vaisseau-monde, aux environs de Vera. Le grand voyage touche à sa fin, mais un autre se prépare. En effet, les sœurs jumelles June et Joy, ainsi que leur ami Bram, sont – en raison de leurs capacités réciproques - sélectionnés par les dirigeants du vaisseau pour faire partie de la petite équipe - composée de spécialistes - qui ira visiter la planète Vera, la terre promise, qui de prime abord, semble plutôt hostile et peut-être même habitée…
Sans être particulièrement original, le pitch de départ est tout de même accrocheur pour qui apprécie les voyages dans l’espace et l’exploration d’un nouveau monde, dans le cas présent, la terre promise. Au fil de la lecture, il y a clairement deux trames qui se profilent et qui viennent pimenter cette histoire. Tout d’abord, l’exploration de Vera, une planète qui semble recéler bien des mystères et des dangers (et bien sûr une faune et une flore exceptionnelles !). Et deuxièmement, la découverte d’une galerie secrète à bord du vaisseau-monde, dont la construction date d’une vingtaine d’années, un réseau de tunnels souterrains qui aurait été créé depuis l’extérieur (!) et dont la sortie aboutit sous le village habité par les sœurs jumelles. Un fait pour le moins déroutant s’impose donc de lui-même : durant son voyage le vaisseau-monde a été visité… de l’extérieur par un être ou quelque chose de vivant ! Ce scénario de Leo et Rodolphe est donc des plus appétissants.
En ce qui concerne les personnages principaux, ceux-ci sont bien stéréotypés. Il y a les deux sœurs, June et Joy, très belles et très intelligentes. L’une – bien qu’aveugle – possède un don de clairvoyance. Elles sont accompagnées par Bram, un gros balèze au cœur tendre mais dépourvu de cervelle. Et parmi l’équipe de personnes qualifiées pour la mission au sol : Mary-Maé Randolf coordinatrice de la mission, Pierre de Bourges (et son chien) spécialiste en faune et flore, Jenny Goldman docteur bienveillante, Richard Klein ingénieur et pilote bourru, et Feng Liu spécialiste de la sécurité tout en nerfs. Voyons comment ces personnages se développeront au fil de la série…
Le dessin est signé Janjetov et je dois dire que son style me plaît assez bien. Les couleurs sont agréables. J’adore les plans d’ensemble – de l’extérieur ou de l’intérieur – de ce grand cylindre O’Neill ! Un peu moins les traits des visages des personnages.
Après ce premier tome, il est difficile de donner un avis précis, car pour l’heure, on est juste au début de l’aventure. Le décor est bien posé, des énigmes se dessinent, et je pense que la suite s’annonce très prometteuse. En tout cas, je me réjouis déjà du tome suivant. J’imagine que ce cycle – sans rapport avec Les Mondes d’Aldébaran, mais dans la même lignée – plaira à bien aux amateurs du genre.
Nous sommes aujourd’hui à bord du vaisseau-monde, aux environs de Vera. Le grand voyage touche à sa fin, mais un autre se prépare. En effet, les sœurs jumelles June et Joy, ainsi que leur ami Bram, sont – en raison de leurs capacités réciproques - sélectionnés par les dirigeants du vaisseau pour faire partie de la petite équipe - composée de spécialistes - qui ira visiter la planète Vera, la terre promise, qui de prime abord, semble plutôt hostile et peut-être même habitée…
Sans être particulièrement original, le pitch de départ est tout de même accrocheur pour qui apprécie les voyages dans l’espace et l’exploration d’un nouveau monde, dans le cas présent, la terre promise. Au fil de la lecture, il y a clairement deux trames qui se profilent et qui viennent pimenter cette histoire. Tout d’abord, l’exploration de Vera, une planète qui semble recéler bien des mystères et des dangers (et bien sûr une faune et une flore exceptionnelles !). Et deuxièmement, la découverte d’une galerie secrète à bord du vaisseau-monde, dont la construction date d’une vingtaine d’années, un réseau de tunnels souterrains qui aurait été créé depuis l’extérieur (!) et dont la sortie aboutit sous le village habité par les sœurs jumelles. Un fait pour le moins déroutant s’impose donc de lui-même : durant son voyage le vaisseau-monde a été visité… de l’extérieur par un être ou quelque chose de vivant ! Ce scénario de Leo et Rodolphe est donc des plus appétissants.
En ce qui concerne les personnages principaux, ceux-ci sont bien stéréotypés. Il y a les deux sœurs, June et Joy, très belles et très intelligentes. L’une – bien qu’aveugle – possède un don de clairvoyance. Elles sont accompagnées par Bram, un gros balèze au cœur tendre mais dépourvu de cervelle. Et parmi l’équipe de personnes qualifiées pour la mission au sol : Mary-Maé Randolf coordinatrice de la mission, Pierre de Bourges (et son chien) spécialiste en faune et flore, Jenny Goldman docteur bienveillante, Richard Klein ingénieur et pilote bourru, et Feng Liu spécialiste de la sécurité tout en nerfs. Voyons comment ces personnages se développeront au fil de la série…
Le dessin est signé Janjetov et je dois dire que son style me plaît assez bien. Les couleurs sont agréables. J’adore les plans d’ensemble – de l’extérieur ou de l’intérieur – de ce grand cylindre O’Neill ! Un peu moins les traits des visages des personnages.
Après ce premier tome, il est difficile de donner un avis précis, car pour l’heure, on est juste au début de l’aventure. Le décor est bien posé, des énigmes se dessinent, et je pense que la suite s’annonce très prometteuse. En tout cas, je me réjouis déjà du tome suivant. J’imagine que ce cycle – sans rapport avec Les Mondes d’Aldébaran, mais dans la même lignée – plaira à bien aux amateurs du genre.

Centaurus - Tome 2 - Terre étrangère (2016)

Ça y est ! Une première équipe de reconnaissance a débarqué sur cette mystérieuse planète qui pourrait être LA terre d'accueil pour les habitants du vaisseau-monde en quête de planète habitable depuis plus de 400 ans. Mais qui dit mission d'exploration dit dangers potentiels, et ce ne sont pas les étranges visions de June qui vont simplifier les choses ni rassurer qui que ce soit.
Centaurus - Tome 3 - Terre de Folie (2017)

L’équipe de reconnaissance qui a débarqué sur la planète Véra se retrouve face à un Mont Saint-Michel fidèlement reconstitué mais totalement abandonné. Elle y retrouve aussi bien de l’argent terrien que des boules à neige pour touristes. Les mystères autour de cette planète se font de plus en plus étranges et les dangers de plus en plus grands…
Centaurus - Tome 4 - Terre d'Angoisse (2018)

À bord du vaisseau, les forces de l’ordre poursuivent leur enquête sur des meurtres perpétués ces derniers temps. La tâche ne leur est pas facilitée dans l’atmosphère délétère qui semble s’appauvrir en oxygène. L’équipage, lui, a atterri sur une planète qui n’est pas la planète Véra mais pour l’instant ils font face à une autre priorité : retrouver June sans qui leur sécurité est compromise...
Centaurus - Tome 5 - Terre de Mort (2019)

« Nous avons mis toutes nos ressources pour découvrir l’origine du mal. Nous avons disséqué nos morts à la recherche d’une explication. Nous avons analysé l’air que nous respirions, l’eau que nous buvions, les aliments que nous consommions. Aucune bactérie inconnue, aucun virus endémique n’ont été trouvés. Puis, nous avons vu les filaments et nous avons compris : le mal venait du sous-sol et il était partout ! »