Belgarath le Sorcier
L'aventure est finie, mais tous, Garion, Durnik et surtout les femmes de la tribu, veulent en savoir davantage. Belgarath, le vieux conteur, ne peut plus se dérober, il doit écrire l'histoire du monde qu'il est le seul à connaître. Nul n'est mieux placé que lui, en effet, pour lever un coin du voile sur les débuts dans la vie du principal personnage de la Belgariade : le Vieux Loup, le Vénérable Ancien - Belgarath le Sorcier lui-même.
C'est son récit qui nous est ici offert : un récit émaillé de notations personnelles, comiques, qui nous fait remonter sept mille ans en arrière, jusqu'au matin du monde. Et nous découvrons la jeunesse des dieux, l'enfance du petit Garath, sa rencontre avec Aldur dont il devient l'élève et l'arrivée des autres disciples.
Roman coupé en deux pour l'édition en français
C'est son récit qui nous est ici offert : un récit émaillé de notations personnelles, comiques, qui nous fait remonter sept mille ans en arrière, jusqu'au matin du monde. Et nous découvrons la jeunesse des dieux, l'enfance du petit Garath, sa rencontre avec Aldur dont il devient l'élève et l'arrivée des autres disciples.
Roman coupé en deux pour l'édition en français
Tome 1 : Les Années noires
Tome 2 : Les Années d'espoir
Fiche de lecture
Le monde est enfin sauvé, un dieu bienveillant a remplacé Torak, le dieu maléfique mort. L'histoire est terminée, mais ses protagonistes sont conscients de n'en connaître qu'une petite partie. Seul Belgarath, âgé de sept mille ans, était là depuis le début et a tout vu. Certes, la légende s'est propagée, mais elle est partiellement fausse ou exagérée. Alors tous font pression sur Belgarath pour qu'il raconte ce qu'il a vu, ce qu’il a vécu.
Le sorcier raconte son enfance, sa rencontre avec le dieu Aldur qui l'a pris comme apprenti, le vol de l'Orbe par Torak, frère de son maître, puis la guerre entre les peuples, menés chacun par un dieu. Il parle beaucoup de lui-même, de son épouse Poledra, de la naissance de ses filles, de son double deuil, perdant d'abord sa femme et ensuite l'une de ses enfants. À travers son histoire, on comprend comment le monde présenté dans « La Belgariade » s'est formé, on comprend les raisons profondes qui motivent certains rituels, on voit comment la Prophétie a disséminé des informations à l'intention du sorcier et du futur roi de Riva. Vu par les yeux de Belgarath, le monde se dessine. Jusqu'au moment où le vieux sorcier arrête son récit, suggérant pour la suite de s'adresser à sa fille.
Ce récit est absolument extraordinaire. Il permet de comprendre ce personnage légendaire, de voir qu'au-delà de la légende, il y a un homme, à la fois fragile et solide. C'est un récit très personnel qui est en même temps une encyclopédie du monde, narrée avec le très grand talent du couple Eddings. Encore une fois, les personnages sont d'une consistance extrême, je me suis senti profondément immergé, impliqué dans cette histoire.
Le sorcier raconte son enfance, sa rencontre avec le dieu Aldur qui l'a pris comme apprenti, le vol de l'Orbe par Torak, frère de son maître, puis la guerre entre les peuples, menés chacun par un dieu. Il parle beaucoup de lui-même, de son épouse Poledra, de la naissance de ses filles, de son double deuil, perdant d'abord sa femme et ensuite l'une de ses enfants. À travers son histoire, on comprend comment le monde présenté dans « La Belgariade » s'est formé, on comprend les raisons profondes qui motivent certains rituels, on voit comment la Prophétie a disséminé des informations à l'intention du sorcier et du futur roi de Riva. Vu par les yeux de Belgarath, le monde se dessine. Jusqu'au moment où le vieux sorcier arrête son récit, suggérant pour la suite de s'adresser à sa fille.
Ce récit est absolument extraordinaire. Il permet de comprendre ce personnage légendaire, de voir qu'au-delà de la légende, il y a un homme, à la fois fragile et solide. C'est un récit très personnel qui est en même temps une encyclopédie du monde, narrée avec le très grand talent du couple Eddings. Encore une fois, les personnages sont d'une consistance extrême, je me suis senti profondément immergé, impliqué dans cette histoire.