Synopsis
Nous sommes en 2618 et la race humaine est éteinte. Quatre extraterrestres se rendent sur Terre pour visiter le musée de l'humanité. Ils y trouvent l'histoire des derniers héros de l'humanité et partent à la recherche de secours...
Présentation
Suite à ma découverte de The OceanMaker sur la chaîne YouTube DUST dédiée aux courts-métrages de science-fiction, j’ai poursuivi mon exploration pour atterrir chez Open FilmTeam et, vous l’aurez deviné, Welcome to Earth m’a tapé dans l’œil !
Ici, on est loin du cliché du premier contact des extraterrestres débarquant sur Terre, vu et revu dans « Mars Attacks » et la palanquée de films que ce dernier parodie. Non, ici ce sont les extraterrestres qui partent à la découverte de l’humanité… ou de ce qu’il en reste. Et cela passe par le programme des « Ambassadeurs de la Terre ». Là où dans notre monde seuls des artefacts tels que les « Plaques de Pioneer » ou le « Voyager Golden Record » (ou le message dit d’Arecibo) ont été envoyés, ce film envoie des humains dans l’espace. Et parmi eux, le jeune René Shepard. C’est son épopée que l’on suivra.
Entre musique épique, photographie professionnelle et action poignante, ce court-métrage est excellent avec un retournement de situation qui vaut le détour (et que je ne vais pas vous divulgâcher).
Ici, les Néerlandais, sous la direction de Daan van‘t Einde, insufflent une vision nouvelle et bienvenue du genre, axée davantage sur de la diplomatie. Est-ce parce que les Pays-Bas ont, dans leur culture et leurs mœurs politiques, cette tradition d’accueillir des sommets diplomatiques, des traités et, depuis la fin du 19ème siècle, des juridictions internationales ? Je le pense. Est-ce parce que leur géographie les contraint à parer aux inondations (via le système des polders notamment) ? C’est possible.
Un tel film, de même que ceux que j’ai pu chroniquer (et chroniquerai sans doute encore), détonne donc par rapport aux « classiques ».
Mais une question se pose. Des courts-métrages tels que Welcome to Earth sont réalisés par des petites équipes ambitieuses, mélangeant professionnels et amateurs, mais qui tous déploient des trésors d’imagination pour des productions demeurant injustement méconnues. Et à côté de cela, des films de franchises « industrielles » américanisées (telles que les saga Marvel, Predator, Alien) produits avec des sommes faramineuses, se retrouvent sur tous les écrans, quitte à contredire leur canon ou le réécrire, pour toujours attirer plus de monde dans les salles obscures. Comment expliquer ce paradoxe ? L'argent facile ? Peut être. Sûrement. Je ne sais pas vraiment.
Mais ce que je sais, c’est que Welcome to Earth est un court-métrage à voir !
Ici, on est loin du cliché du premier contact des extraterrestres débarquant sur Terre, vu et revu dans « Mars Attacks » et la palanquée de films que ce dernier parodie. Non, ici ce sont les extraterrestres qui partent à la découverte de l’humanité… ou de ce qu’il en reste. Et cela passe par le programme des « Ambassadeurs de la Terre ». Là où dans notre monde seuls des artefacts tels que les « Plaques de Pioneer » ou le « Voyager Golden Record » (ou le message dit d’Arecibo) ont été envoyés, ce film envoie des humains dans l’espace. Et parmi eux, le jeune René Shepard. C’est son épopée que l’on suivra.
Entre musique épique, photographie professionnelle et action poignante, ce court-métrage est excellent avec un retournement de situation qui vaut le détour (et que je ne vais pas vous divulgâcher).
Ici, les Néerlandais, sous la direction de Daan van‘t Einde, insufflent une vision nouvelle et bienvenue du genre, axée davantage sur de la diplomatie. Est-ce parce que les Pays-Bas ont, dans leur culture et leurs mœurs politiques, cette tradition d’accueillir des sommets diplomatiques, des traités et, depuis la fin du 19ème siècle, des juridictions internationales ? Je le pense. Est-ce parce que leur géographie les contraint à parer aux inondations (via le système des polders notamment) ? C’est possible.
Un tel film, de même que ceux que j’ai pu chroniquer (et chroniquerai sans doute encore), détonne donc par rapport aux « classiques ».
Mais une question se pose. Des courts-métrages tels que Welcome to Earth sont réalisés par des petites équipes ambitieuses, mélangeant professionnels et amateurs, mais qui tous déploient des trésors d’imagination pour des productions demeurant injustement méconnues. Et à côté de cela, des films de franchises « industrielles » américanisées (telles que les saga Marvel, Predator, Alien) produits avec des sommes faramineuses, se retrouvent sur tous les écrans, quitte à contredire leur canon ou le réécrire, pour toujours attirer plus de monde dans les salles obscures. Comment expliquer ce paradoxe ? L'argent facile ? Peut être. Sûrement. Je ne sais pas vraiment.
Mais ce que je sais, c’est que Welcome to Earth est un court-métrage à voir !