
La conquête de l'univers risque de tourner au cauchemar... Les Ildirans, maîtres de la galaxie, transmettent aux Terriers des techniques qui leur permettent de coloniser l'univers. Deux siècles plus tard, l'empire humain embrase Oncier, une géante gazeuse, pour la transformer en soleil. Mais de mystérieuses sphères émergent du cœur de cette planète. Ceux qui vivaient là semblent bien décidés à se venger. Et leur puissance est inimaginable...
Fiche de lecture
Je me suis lancée dans la lecture du premier tome de ce space-opéra qui en compte 7. Les chapitres sont courts, ce qui donne parfois l'impression de sauter du coq à l'âne, et durant les 200 premières pages, il ne se passe pas grand chose. Il s'agit surtout d'une introduction aux personnages (nombreux !) et à l'univers de la saga. L'auteur pose le décor. Il faut donc s'accrocher un peu durant le premier tiers du livre, mais ça en vaut la peine.
Petit à petit, une trame commune se dessine entre la vie des divers personnages, finalement tout se recoupe et s'assemble, même si la plupart des événements sont tout de même plus ou moins prévisibles.
Et puis, tout à coup, ça commence à aller vite : les chapitres courts présentent cette fois-ci l'avantage de rythmer l'action et d'éviter les temps morts. Kevin J. Anderson sait y faire pour accrocher son lecteur !
Tout est fait pour que ce livre soit un bon divertissement, sans prétention de révolutionner le genre. Kevin J. Anderson a le mérite d'avoir créer un univers complexe, en dépit d'influences très marquées, comme par exemple Star Wars, Stargate, Hypérion, Dune et Galactica.
Petit à petit, une trame commune se dessine entre la vie des divers personnages, finalement tout se recoupe et s'assemble, même si la plupart des événements sont tout de même plus ou moins prévisibles.
Et puis, tout à coup, ça commence à aller vite : les chapitres courts présentent cette fois-ci l'avantage de rythmer l'action et d'éviter les temps morts. Kevin J. Anderson sait y faire pour accrocher son lecteur !
Tout est fait pour que ce livre soit un bon divertissement, sans prétention de révolutionner le genre. Kevin J. Anderson a le mérite d'avoir créer un univers complexe, en dépit d'influences très marquées, comme par exemple Star Wars, Stargate, Hypérion, Dune et Galactica.