Illustration et quatrième de couverture
La débusqueuse de mondes @ 2017 Mu
Contrairement à ce que les Humains ont longtemps cru, la Terre n’est pas le centre de l’univers et elle est loin d’être l’unique monde habité. L’espace grouille de vie. Mais si l’intelligence n’est pas l’apanage des seuls mammifères bipèdes… la bêtise non plus. En compagnie de D’Guéba et Otton, embarquez à bord de Koba, le cybersquale, pour un rocambolesque roadtrip intersidéral.
Fiche de lecture
Je découvre Luce Basseterre avec son second roman (comme avec Romain Benassaya). Le premier étant Les Enfants du Passé que je n'ai pas eu encore l'occasion de me procurer, mais il est dans ma liste. Et suite à la lecture de « La Débusqueuse de Mondes », j'ai vraiment hâte de lire ce premier roman.
Luce Basseterre nous dépeint ici un univers où la vie, sous toutes ses formes, foisonne. Races reptiliennes, batraciennes, insectoïdes... Un univers où les planètes sont légions. Un univers où fourmillent de nombreux cartels, communautés, consortiums, corporations, triades, … Bref, un univers qui est loin d'être vide. Au revoir l'anthropocentrisme, bonjour la diversité des espèces. Dans cet univers, les humains sont en bout de chaine alimentaire, littéralement parlant. En effet, pour de nombreuses races extraterrestres, l'être humain est un met de choix. Pour d'autres, les humains sont utilisés comme esclaves. L'Univers décrit me rappelle un peu celui de Chanur de C.J. Cherryh ou un étrange équipage de félin humanoïde recueille bien malgré lui une race inconnue, qui deviendra la 8ème race, celle des humains.
Dans « La Débusqueuse de Mondes », nous suivons les aventures de Koba, cybersquale et vaisseau vivant. De D'Guéba, une caudala capitaine du vaisseau. Et enfin, d'Otton, cet étrange humain. D'Guéba est une modeleuse de monde. Avec Koba elle sillonne l'espace à la recherche de nouvelles planètes à terraformer pour les revendre ensuite à ses clients. Ils découvriront sur un monde désolé l'épave d’un navire. Ils viendront au secours du seul survivant, Otton. Commence alors un road trip interstellaire pour ce trio improbable, pour cet étrange ménage à trois.
Vous avez entre les mains un roman à la lecture fluide, sans heurt et au rythme constant pour notre plus grand confort de lecture. Pas de ralentissement, ni d'accélération ici. Et de plus, l'auteure possède une très belle plume. Chaque chapitre a son narrateur choisi parmi notre trio d'aventuriers. Cette alternance rend la lecture dynamique.
Les rapports, j'allais dire humains, interraciaux ont une place très importante dans ce roman. J'ai adoré le duo composé de Koba et d'Otton, surtout leur discussion où chacun critique l'autre, chambre l'autre. De ces échanges vont bientôt naître un certain respect l'un pour l'autre et un début d'amitié. Il en va de même avec D'Guéba qui malgré sa froideur apparente laisse entrevoir un cœur. Luce Basseterre a su créer des personnages pleins d'humour et auxquels on va s'attacher très rapidement. L'auteure nous fait part sous couvert de SF de ses réflexions sur des sujets d'actualité comme la colonisation, l'esclavagisme, l'écologie ou encore le capitalisme.
Avec « La Débusqueuse de Mondes », vous passerez un agréable moment de détente et d'évasion. Cerise sur le gâteau, vous trouverez à la fin de l'ouvrage un QR qui vous permettra de télécharger la version numérique.
Luce Basseterre nous dépeint ici un univers où la vie, sous toutes ses formes, foisonne. Races reptiliennes, batraciennes, insectoïdes... Un univers où les planètes sont légions. Un univers où fourmillent de nombreux cartels, communautés, consortiums, corporations, triades, … Bref, un univers qui est loin d'être vide. Au revoir l'anthropocentrisme, bonjour la diversité des espèces. Dans cet univers, les humains sont en bout de chaine alimentaire, littéralement parlant. En effet, pour de nombreuses races extraterrestres, l'être humain est un met de choix. Pour d'autres, les humains sont utilisés comme esclaves. L'Univers décrit me rappelle un peu celui de Chanur de C.J. Cherryh ou un étrange équipage de félin humanoïde recueille bien malgré lui une race inconnue, qui deviendra la 8ème race, celle des humains.
Dans « La Débusqueuse de Mondes », nous suivons les aventures de Koba, cybersquale et vaisseau vivant. De D'Guéba, une caudala capitaine du vaisseau. Et enfin, d'Otton, cet étrange humain. D'Guéba est une modeleuse de monde. Avec Koba elle sillonne l'espace à la recherche de nouvelles planètes à terraformer pour les revendre ensuite à ses clients. Ils découvriront sur un monde désolé l'épave d’un navire. Ils viendront au secours du seul survivant, Otton. Commence alors un road trip interstellaire pour ce trio improbable, pour cet étrange ménage à trois.
Vous avez entre les mains un roman à la lecture fluide, sans heurt et au rythme constant pour notre plus grand confort de lecture. Pas de ralentissement, ni d'accélération ici. Et de plus, l'auteure possède une très belle plume. Chaque chapitre a son narrateur choisi parmi notre trio d'aventuriers. Cette alternance rend la lecture dynamique.
Les rapports, j'allais dire humains, interraciaux ont une place très importante dans ce roman. J'ai adoré le duo composé de Koba et d'Otton, surtout leur discussion où chacun critique l'autre, chambre l'autre. De ces échanges vont bientôt naître un certain respect l'un pour l'autre et un début d'amitié. Il en va de même avec D'Guéba qui malgré sa froideur apparente laisse entrevoir un cœur. Luce Basseterre a su créer des personnages pleins d'humour et auxquels on va s'attacher très rapidement. L'auteure nous fait part sous couvert de SF de ses réflexions sur des sujets d'actualité comme la colonisation, l'esclavagisme, l'écologie ou encore le capitalisme.
Avec « La Débusqueuse de Mondes », vous passerez un agréable moment de détente et d'évasion. Cerise sur le gâteau, vous trouverez à la fin de l'ouvrage un QR qui vous permettra de télécharger la version numérique.
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