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Textes de Koyolite Tseila

        

D'où me vient cette passion pour la science-fiction ? | Koyolite Tseila | 2012


Une fiche ajoutée dans nos cales par | 27/02/2012 | Lu 3166 fois






Copyright @ 2012 Le Galion des Etoiles
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La science-fiction. J’aime à dire que c’est un amour de toujours, car aussi loin que je me souvienne, j’ai la tête dans les étoiles.

Lorsque j'avais environ 5 ans, je me souviens qu’à l’école, nous apprenions à lire des mots – classés selon degré de difficulté - sur des cartes plastifiées. Alors que mes camarades s’évertuaient à déchiffrer des mots tels que "clocher" ou "maison", moi j'en étais déjà à "spaghetti" et il y avait belle lurette que j'avais déjà tout été capable de lire en long et en large.

Lorsque mes amies jouaient à la poupée l’après-midi, moi je m’attaquais au déchiffrage des livres de science et d’astronomie de la bibliothèque de mes parents. Ce qui ne m'empêchait pas non plus de jouer à la poupée entre deux, mais accessoirement :-)

Plus tard, quand mes copines regardaient Candy à la TV, moi j’étudiais les étoiles en piochant les définitions de ces dernières dans le dictionnaire pour les recopier dans un cahier et les apprendre par coeur.

Et le soir, alors que venait l’heure d’aller au lit, j'aimais à me rendre furtivement au jardin, munie d’une lampe de poche et d’une carte du ciel, afin de pouvoir déterminer quelles étaient les étoiles que l'on pouvait apercevoir.

Je me souviens même que mon papa, pour réaliser l’un de mes désirs, m’avait emmenée à l’observatoire de Lausanne, afin que je puisse enfin admirer de plus près le ciel étoilé. J’étais trop petite pour lorgner dans le télescope, si bien que l’on avait dû m’installer une marche supplémentaire, de sorte à ce que je puisse admirer le spectacle céleste. 

Tandis que mes amies fantasmaient sur une histoire d’amour entre Ken et Barbie (ça m'arrivait aussi parfois !), moi je fantasmais plutôt sur des mondes imaginaires loin d’ici. Ils étaient comme un refuge, je m'y projetais et m'y sentais bien. De par cette fascination pour les étoiles, j’ai toujours été quelque peu « bizarre » au regard de mes camarades. C’est pourquoi j’aime à dire que je suis tombée dans le chaudron des étoiles dès mon plus jeune âge...

En grandissant, j’ai découvert des livres, des films, des dessins animés, des BD et des séries TV qui me transportaient dans les étoiles en y mêlant de la fiction. C’est là que j’ai appris qu’il s’agissait de « science-fiction ». C’est un genre auquel je peux m’identifier, mais aussi, c’est un genre résolument positif, puisqu’il se tourne vers l’avenir et vers quelque chose de plus grand. Au fil des années, j’ai remarqué avoir cependant une préférence pour les récits qui mélangent science et fiction de manière "plausible" (comme dans les livres de Clarke ou d'Asimov), mais aussi à l'inverse, pour le space opéra, les aventures spatiales et l'anticipation (merci Jules Verne). Dans ce type d'oeuvres, la magie du rêve et du voyage opère sur moi… et je m'évade.

Avec ce type de récits, que ce soit par la lecture ou par le visionnage, je retrouve la même sensation d’émerveillement que lorsque j’étais petite et admirait le ciel étoilé en me posant des dizaines de questions existentielles. Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Qui nous a créés ? Quelle est la taille de l’univers ? Sommes-nous seuls parmi ces astres ? A quoi une autre forme de vie ressemblerait-elle ? Combien de galaxies composent l’univers ? Existe-t-il des univers parallèles ?…

Mon amour pour la SF s’est petit à petit transformé en une passion dont les flammes ne cessent d’être attisées au gré de mes découvertes. Au fil des années, les goûts changent, évoluent, mais l’intérêt ne tarit jamais.

J’ai pu constater que la SF était un domaine très vaste, très riche, mais dont l’étiquette est ternie, dans le sens où, on a tendance à mettre tout et n’importe quoi sous l’appellation « science-fiction ». Et cela me consterne. Contrairement à ce que pensent nonante pourcents des gens, la SF ne se résume pas à des histoires d’affreux E.T. à la peau verte, aux grandes antennes et pilotant des soucoupes volantes en forme de poêle à frire dont les lumières clignotent ^-^ La SF n'est pas la littérature des mauvais genres, conviction que je m'emploie à défendre au mieux depuis l'an 2000 au travers de mes articles. 

Cette passion, j’ai décidé de la partager avec d’autres personnes, pour échanger des points de vue et pour en discuter, mais aussi pour montrer à ceux qui souhaiteraient le découvrir, ce qu’est réellement la science-fiction, ses multiples facettes, d’où elle a pris ses départs, puis son essor et son évolution à travers les décennies. Mes écrits et fiches de lecture suscitant de l'intérêt, cela m'a motivée à persévérer dans cette direction.

De fil en aiguille, et avec le soutien d’autres passionnés, j’ai créé un site internet dédié à ma passion. Nos divergences d’opinions et de goûts, toujours traitées avec respect entre nous, voire avec humour, font l’intérêt de nos articles pour nos lecteurs. Nous leur offrons la possibilité de se forger leurs propres avis sur les différents aspects de la SF et les invitons à un voyage parsemé de curiosité...

Question

Cette question "D'où te vient ta passion pour la science-fiction" m'a été posée par Yannick Rault, au détour d'un chemin de la Cordillère du Net...

Aujourd'hui, c'est à vous, chers visiteurs et Galionautes, que je l'adresse, par curiosité :
 
- D'où vous vient votre passion pour la Science-fiction ?

Koyolite Tseila
Copyright @ Koyolite Tseila pour Le Galion des Etoiles. Tous droits réservés. En savoir plus sur cet auteur

𝗟𝗘 𝗚𝗔𝗟𝗜𝗢𝗡 𝗗𝗘𝗦 𝗘𝗧𝗢𝗜𝗟𝗘𝗦 𝗘𝗦𝗧 𝗨𝗡 𝗦𝗜𝗧𝗘 𝗦𝗔𝗡𝗦 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖𝗜𝗧É. 𝗩𝗼𝘂𝘀 𝗮𝗶𝗺𝗲𝘇 𝗻𝗼𝘀 𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀, 𝗺𝗮𝘁𝗲𝗹𝗼𝘁𝘀 ? 𝗩𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗱𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗮𝗶𝗻𝘀𝗶 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 !

💬Commentaires
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27.Posté par Michel MAILLOT le 29/11/2023 21:34 | Alerter
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mmaillot
La mémoire, il faut s’en méfier. De ses fuites, de ses vantardises. Prendre bien soin de décortiquer ce qui surgit. Séparer le bon grain de l’ivraie, trier les torchons et les serviettes et tenter de rebâtir un édifice qui, avec l’âge, peut brinquebaler sérieusement sur ses fondations. Fondations vous avez dit Fondation, comme c’est étrange.
Or donc, les premiers contacts avec l’étrange, ça remonte forcément à l’apprentissage de la lecture. Peut-être un peu avant avec les images, mais n’exagérons pas trop. Probablement en parallèle entre la pension chez une « particulière » du côté de Gazeran et les quelques (trop rares) fois où l’on rentrait sur Paris pour voir maman. Donc, aux alentours de 1962-1963, quand on apprenait à lire un brin avant et surtout pendant le CP. À Gazeran, une classe c’était une rangée ! Je me souviens d’être passé de l’une à l’autre au fil des années, de la droite vers la gauche où se trouvait la porte ! C’était forcément avant fin 1963, lorsque nous avons été virés sans explications, avant d’atterrir chez les grands-parents à Sevran début 1964. Pour Paris, c’était impossible de nous garder. Donc, d’un côté à Gazeran, des BD, Spirou, le journal de Mickey, on était abonnés, et les petits formats lus par d’autres pensionnaires, avec au milieu des Blek le roc, Olivier, Kit Carson et Battler Britton, surgissait en fendant l’air mon premier superhéros, l’autre Superboy de Molinari. Enfin, les couvertures au moins étaient dessinées par Félix. Du côté de Paris, au fil du temps, des ouvrages sur l’étagère de mon grand frère chez maman. J’y dégoterai pour rêver, « Terminus 1 », « Piège sur Zarkass », « Fréquence ZZ », « Qui suis-je ? », « L’astéroïde noir » entre autres. Et puis dans la semi-pénombre de la deuxième entrée condamnée, posée sur l’établi, il y aurait cette couverture de « Heure Zéro » de Vargo Statten par Brantonne qui me ferait presque une peu peur. Toutes ces couvertures de René suscitaient, exacerbaient, l’imagination autant que les contenus. Plus tard, une caisse en carton remplie de Fleuve Noirs Anticipation prêtés encore à mon grand frère. C’est par là, pour la lecture que tout a commencé, premiers émois, premiers troubles, pas toujours bien identifiés. Tout petit donc, à tel point que le copain de mon grand frère avec qui il jouait de la guitare m’avait fait cette réflexion qui m’avait marqué. « Tu lis déjà des trucs comme ça à ton âge ? » Était-ce un reproche ou de l’admiration ? En tout cas, de cette malle au trésor ...

26.Posté par Didier REBOUSSIN le 29/11/2023 09:41 | Alerter
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alvin
C'est en 67 que j'ai lu mes tous premiers FNA. J'étais en pension chez ma tante et mon oncle et ce dernier achetait des Fleuve Noir pour lire dans le bus et le métro. C'est ainsi que j'ai découvert "L'étrange planète Orga" de B R Bruss et ce fut véritablement un éblouissement. J'enchaînais avec "Le mystère des Sups" puis "Les survivants de Kor" de Peter Randa et les premiers Perry Rhodan. Après cette période, j'ai connu quelques années mouvementées et c'est par Bob Morane que j'ai raccroché les wagons, dans la fin 68, début 69, par l'intermédiaire de la bibliothèque municipale. C'est par là aussi que j'ai lu mon tout premier livre de SF anglo-saxonne, en l'occurence Le lendemain de la machine" de F Rayer. Là aussi, un sacré choc. Puis, il y avait sur le marché un bouquiniste qui vendait des Anticipation et au collège il y avait aussi des copains fanas de FNA. Après, c'est une autre histoire. J'étais devenu accro !

25.Posté par JEAN-MICHEL ARCHAIMBAULT le 29/11/2023 08:22 | Alerter
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JMARCHAIMBAULT
À 7 ans, pendant l'été 1965, j'ai découvert "Bob Morane" version BD par quelques planches hebdo dans "Femmes d'Aujourd'hui" que lisait ma grand-mère. Puis la version livre de poche de ses aventures, dont la première lue a été "Le dragon des Fenstone". Pas de la SF, mais plusieurs scènes à l'ambiance fantastique quelque peu angoissante. Durant l'année scolaire suivante (CE2), j'ai dévoré une belle quantité de Marabout Junior consacrés au héros... Début septembre 1966, j'étais en panne de lecture et j'ai trouvé, dans les rayons de la librairie de mes grands-parents, "Bases sur Vénus" qui a donc été le premier Fleuve Noir Anticipation que j'ai ouvert. Je l'ai lu jusqu'à un peu plus de la moitié, mais c'était très difficile à comprendre parce qu'il y avait beaucoup d'éléments qui ne me "parlaient" pas... En revanche, quand est arrivé le colis
Hachette avec les nouveautés du mois, j'ai sauté sur "Cerveaux sous contrôle" de Richard Bessière que j'ai lu jusqu'au bout. Puis "Vagues d'invasion" de Randa, puis certains titres des mois suivants, puis toutes les nouveautés Anticipation à partir d'avril 1967.
À l'époque, j'ai aussi découvert Galaxie 2e série mais c'était pour moi un peu plus difficile. Cela ne l'est pas resté longtemps!
Ma fidélité à Anticipation date de cette époque. Un peu plus tard, j'ai découvert Marabout et le fantastique avec Thomas Owen, Claude Seignolle, puis est venu J'Ai Lu...
En dehors de la SF et du fantastique, je n'ai guère lu que des ouvrages obligés par les programmes de l'Éducation Nationale, ou de gros "coups de cœur" comme l'intégrale de Rabelais quand j'étais en 2de, et des œuvres diverses liées à la musique, notamment aux opéras de Wagner...
Souvenirs particuliers dans l'année 67-68: "La planète ignorée" de René Guillot en Bibliothèque Verte et, surtout, "La planète Kalgar" de Maurice Vauthier en Idéal Bibliothèque dont je vous parlerai sûrement bientôt.
À partir de l'été 1974, je me suis aussi mis à lire, à l'occasion, en V.O. anglaise ou americaine puis, un an plus tard, également en version allemande (des Perry Rhodan, bien sûr).
Voilà pour mes maintenant lointains débuts dans les littératures de l'imaginaire, en dehors des contes de fées et pour enfants dans les années pré Bob Morane.

24.Posté par Ténèbres PATATE le 28/11/2023 11:29 | Alerter
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patatetenebres
Intéressante question, et une réponse touchante, résonnant probablement dans le vécu des galionautes :-) Comme toi, j'ai toujours été exalté par les thèmes de la sf, bien plus que ceux de la fantasy, d'ailleurs. Né dans une famille de créatifs, j'ai la sensation de toujours avoir lu du fantastique, et à l'adolescence, avec le jeu de rôle, je n'ai fini par côtoyer que des geeks. La sf est mon carburant dans la vie, car elle me permet de m'ancrer dans le présent, de me questionner sur les grands thèmes sociétaux avec un angle prospectiviste, s'appuyant sur les grands auteurs et autrices, m'incitant à en savoir plus sur les sciences, les philosophies, plutôt qu'à m'en remettre aux "experts" médiatiques, proposant des réponses simples et émotionnelles à la masse.

23.Posté par Jean Luc ESTEBAN le 27/11/2023 17:35 | Alerter
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janluc13
Une question que je ne m'étais jamais vraiment posée tant cela remonte loin !
Je ne me souviens pas avoir lu autre chose que de la science-fiction si ce n'est les lectures scolaires du style le Grand Meaulnes ou La Guerre des Gaules (pour citer ce que j'ai apprécié…). Par contre difficile de me souvenir comment c'est arrivé; très jeune je lisais les bd de kiosque classiques du style Tarzan et ersatz ou westerns puis Tintin et certainement des revues de BD SF comme Meteor ou Spoutnik. Récemment en restaurant de vieille photos je me suis vu à huit ans devant un sapin de noël tenant dans mes bras un exemplaire de PIERROT dont la couverture montrait une scène SF typique de vaisseau spatial sur une autre planète. Tout cela a dû venir insensiblement par "imprégnation", processus qui me faisait graduellement pencher pour ce qui me plaisait le plus : l'espace, les fusées ou les extra-terrestres bizarres. Il me semble qu'un jour j'ai trouvé dans la bibliothèque de mon père un livre de poche dont le titre curieux était Cailloux dans le ciel (Asimov) j'ai essayé de le lire , je n'ai absolument rien compris mais c'est comme si j'avais été "attrapé", et j'ai voulu en savoir plus et peu après je me suis mis au Fleuve noir Anticipation.
À l'époque j'habitais à Montélimar, le pays du nougat et du mistral, en revenant du lycée je faisais un détour par un petite rue où il y avait un libraire qui vendait (et rachetait) des livres d'occasion – mon budget était très serré- en quelque années j'ai du lire des centaines de Fleuve Noir. En 1968 j'étais à Lyon, le lycée et d'autres activité accaparaient mon temps libre et donc ma lecture SF mais j'ai commencé à lire les Van Vogt, Asimov, Clarke et autres grands anciens de l'âge d'or et c'était du sérieux! Cette année là il y a eu aussi 2001 l'Odyssée de l'espace : une claque magistrale!

En 1980 j'ai lu mon premier Vance : Un Monde Magique (La terre Mourante) mon premier pas vers la fan-attitude: à l'instar de la SF qui a été ma référence pour la littérature, Jack Vance est devenu ma référence pour la Science Fiction. Dans ces années là j'avais eu aussi eu un coup de cœur pour Dune de F Herbert : c'était vraiment dans l'air du temps (et même un peu avant) .

22.Posté par Catherine ALDROVANDI le 11/03/2023 17:45 | Alerter
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Catherine
C'est amusant car j'ai un parcours un peu similaire au tien, tout comme toi je préférais m'évader vers d'autres univers que de jouer à la poupée. Je m'interrogeais, et m'interroge encore, sur nos origines, sur l'existence d'une forme de vie extra-terrestre. Cela me parait d'ailleurs évident, car il est peu probable que la Terre soit la seule planète sur laquelle la vie existe. Attention, je ne parle pas de petits hommes verts ni rien de cela, mais une autre forme de vie qui n'aurait pas les mêmes besoins que nous. Vaste débat. Les étoiles, les planètes, j'ai des bouquins aussi avec des cartes du ciel sur lesquelles j'ai appris à reconnaitre les différentes constellations, c'est captivant.
Comme toi, j'aime la science-fiction qui me fait découvrir d'autres mondes, qui me permet de m'évader et de rêver à d'autres possibles.
Côté films, bien sûr "Rencontre du 3e Type", j'étais gamine et j'avais grillé toute la queue au ciné pour avoir des places ;-) . Moins fan de Star Wars, plus de Star Trek.

21.Posté par Philippe PEREZ le 23/12/2022 18:32 | Alerter
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Renaissance
Un texte sincère qui nous permet de connaître ton cheminement personnel vers la SF. Pour ma part, un « premier contact » avec la SF via la diffusion du film La guerre des mondes à la télé, la version de 1953 que j’ai dû voir dans les années 70. Un choc pour moi. Puis viendra Planète interdite avec le robot Robby. Puis bien après le film Blade Runner que j’ai dû visionner une dizaine de fois. La lecture aussi. Je me souviens de la nouvelle Le père truqué de Philip K. Dick. Puis Les robots d’Asimov et pas mal de romans de Philip K. Dick.

20.Posté par Thierry LEDRU le 23/12/2022 16:12 | Alerter
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Thierry23
Un très joli texte, Capitaine, touchant, empli de belles images et d'émotions. Une vie portée par une passion, je trouve toujours ça merveilleux.
Pour ma part, je ne développerai pas comme tous les lecteurs qui m'ont précédé, étant donné que je n'ai pas de passion particulière pour la SF :)
Mon plus lointain souvenir cinématographique, c'est "La planète des singes" et celui de littérature, c'est "Niourk" que j'ai dû relire dix fois et que je lisais à mes élèves de CM2.

19.Posté par Jean-Marc DE VOS le 23/12/2022 15:09 | Alerter
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JMDV
Tout petit, on nous lit des histoires extraordinaires, des contes remplis de choses impossibles, merveilleuses.
Et puis arrive l'école qui nous explique que tout ça, c'est pas vrai, c'est pour les enfants.
Alors, une fois adulte, il ne reste que la SF pour maintenir éveillée cette part d'irrationnel en nous. Parce que, à mon âge, si je vous dis que je crois encore à Peter Pan, je risque de finir à l'asile, tandis que je peux être un fan de Star Wars!

18.Posté par Laurent JANIN le 23/07/2020 08:22 | Alerter
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PaulFichtre
L'intégrale de Jules Verne pour commencer. Les Bob Morane avec Ming son ennemi juré qui possédait des clones s'activant à chacune de ses défaites.
Première grosse claque à la lecture de Dune.
Seconde au cinéma avec Blade runner et la découverte du courant cyberpunk dont je reste imprégné dans mes écrits.
Hypérion de Dan Simons
Le cycle des Inhibiteurs de Alastair Reynolds
Enfin, Greg Egan et Peter Watts, sans parler de BD, cinéma et jeux vidéos.

17.Posté par Elijaah LEBARON le 10/01/2020 10:50 | Alerter
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ElijaahL
Ma passion pour la SF se situait sur les étagères de la bibliothèque de mes parents.

Enfant je détestait la lecture. Je ne trouvais aucun intérêt aux livres pour enfants de la bibliothèque rose ou verte que l'on m'offrait à l'époque. Et puis à l’orée de l'adolescence un petit accident m'a retenu immobilisé 1 mois à la maison. Le programme TV des trois chaînes de l'époque (en dehors des période de vacances scolaires étant particulièrement inintéressant j'ai décidé de piocher dans la bibliothèque de mes parents un des ces roman riche en couleurs de la collection "Anticipation" de Fleuve Noir. C'était un "Maurice Limat" dont je ne me rappelle plus le titre.

Si j'avais toujours été intéressé par l'imaginaire, j'ai découvert une littérature adulte qui décrivait des problèmes futurs et les réponses possible que l'humanité pourrait trouver pour les solutionner. Pour "l'inventeur" que je rêvais de devenir étant enfant, un univers de potentialité venait de s'ouvrir devant moi.

16.Posté par Hélène DESTREM le 06/10/2019 14:49 | Alerter
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HeleneD
Merci, Koyolite, de partager ici une partie de ton enfance et le chemin qui t'a menée à la science-fiction !

Je regardais Candy aussi... ^^ Mais j'aimais surtout les aventures de Goldorak, du Capitaine Flam, d'Astro le petit robot. J'ai suivi Ulysse 31 dans sa fabuleuse odyssée intergalactique. C'est lui qui m'a fait basculer définitivement dans la marmite de la SF. J'ai beaucoup aimé Les Chevaliers du Zodiaque, mais c'était un peu différent. Les bandes dessinées du Scrameustache m'ont transportée, tandis que Tintin m'emmenait avec lui sur la Lune.
A cette époque, mon père m'emmenait au milieu des champs, une fois la nuit tombée, pour observer la lune et les étoiles. Nous braquions son télescope vers le ciel et il me racontait les constellations, me nommait les cratères lunaires... Je voyageais si loin à travers de petites lentilles ! Je rêvais de piloter une navette spatiale et de partir à l'aventure...
C'est à partir de là que j'ai commencé à écrire. De courtes histoires sur des feuilles à grands carreaux, avant de passer à l'ordinateur, à quinze ans. Ma première trilogie de science-fiction date de cette année 1993. Mes personnages principaux étaient des filles, en partie pour compenser leur absence incompréhensible pour moi dans la production de SF à laquelle j'avais accès, surtout parce que je me projetais dans mes récits à travers elles.

A dix ans, j'ai commencé à fouiller dans la bibliothèque de mon père. Je suis tombée sur un livre qui racontait une épopée martienne époustouflante qui m'a beaucoup marquée, mais dont je ne me souviens plus du titre. Il y a ensuite eu les romans d'Isaac Asimov, qui n'était pas mon auteur préféré - trop technique, trop austère pour moi -, Philip K. Dick que j'ai beaucoup aimé, Barjavel bien entendu et ses romans bouleversants. Dès que j'ai plongé à l'intérieur des romans, j'ai délaissé les bandes dessinées. Puis à 17 ans, je suis tombée sur un livre de hard SF tellement mal fichu, tellement compliqué - "Le Naguen", pour les curieux - que je n'ai jamais pu le finir. J'ai laissé tomber le genre pendant plusieurs années.

Ma soif de science-fiction a ensuite largement été comblée par le cinéma. J'ai bien sûr été embarquée par l'univers de Star Wars, mais il y en a des dizaines tout aussi passionnants. Je crois n'avoir raté que quelques navets et je suis heureuse que mes lacunes en ce domaine aient été en partie comblées pendant la Convention nationale de la SF, cette année, avec la découverte du fabuleux "Turkish Superman&q...

15.Posté par Laura OCYARAN le 05/10/2019 21:18 | Alerter
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Ocyaran
J’ai écrit ce petit texte pour mon blog et je pense qu’il explique bien mon amour - grand mot mais vrai - des littératures de l’imaginaire...

Il était une fois…

Introduction magique de tant de contes qui m’ont entrainée autrefois au royaume où tout devenait possible.

Livres de mon enfance qui m’ouvraient les portes du merveilleux où je rêvais ma vie. Assise dans un coin, oubliée et silencieuse, je partais au gré des aventures que je complétais.

Et je devenais le Vilain Petit Canard, je m’envolais avec les Cygnes Sauvages d’Andersen. Plus tard, j’accompagnais Ulysse dans son retour vers Ithaque, je voguais sur le Nil à l’ombre des pyramides ou je sautais dans la mer du haut du Château d’If. Avec Bradbury, j’ai visité Mars et j’ai fui devant ceux qui brûlaient les livres. Barjavel m’a fait redécouvrir Merlin et Poul Anderson m’a emmené loin du Système Solaire.
Jean Ray m’a donné la main pour entrer dans la Ruelle Ténébreuse et m’a ouvert les portes d’une auberge de Canterbury.

De découvertes en découvertes, j’ai beaucoup lu, j’ai vieilli, mais l’enfant qui aimait les contes est toujours présent en moi et, si longtemps après, j’y crois encore

Il sera une fois…

14.Posté par Bernard ROUX le 01/10/2019 16:08 | Alerter
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BFjrla
Je n'ai jamais aimé la Science Fiction.
Petit, j'ai presque découvert le monde télévisuel avec Capitaine Flam. J'en faisais de vraies maladies de rater un épisode le mercredi après-midi pour devoir aller chez le dentiste ou en visite chez des amies de ma mère.
Plus grand, j'ai lu quantité d'auteurs s'enfermer dans ce monde de fiction. Je n'y ai vu qu'un jeu assez stérile d'imagination sans grand intérêt.
Je n'ai jamais aimé la Science Fiction tant qu'elle appartenait aux autres, aux auteurs, aux critiques, à tous ceux qui classaient les oeuvres dans des étagères, dans des tiroirs, dans des catégories; ceux qui créaient dans des moules étroits et renfermés.
Il m'a fallu du temps pour comprendre que la science fiction, c'était comme le reste. Si elle ne vous touche pas au coeur, elle ne vous plaira jamais.
La science fiction ne me touche ni plus ni moins que d'autres formes de littérature ou de cinéma.
Quand elle est écrite, réalisée, avec le feu, le coeur ou l'infinie beauté, elle est un émerveillement absolu capable de mêler l'imagination à la réalité, la réflexion la plus profonde à un graphisme coloré, la prospection de l'esprit à celle du monde.
Je ne me souviens pas quand j'ai aimé rêvé. Peut-être quand je suis né.
J'ai compris petit à petit que la science fiction était cette faculté à rêver, à comprendre ce qui n'existe pas encore et n'existera peut-être jamais, et par là, à nous comprendre nous. Et de ce moment là, je l'ai fait mienne.

13.Posté par Benedict TAFFIN le 01/10/2019 13:52 | Alerter
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BenedictTaffin
Enfant, j'ai découvert le capitaine Flam et les explications savantes du professeur. Comprendre l'univers, le monde qui m'entourait m'enthousiasmait. Ensuite, sont venues les oeuvres d'Isaac Asimov sur les robots et j'ai compris que l'humanité n'était qu'un concept, une vue de l'esprit, qu'un robot pouvait, sous certaines conditions, être considéré comme un humain. C'est toujours ce qui me passionne dans la SF, le questionnement de notre humanité, de la compréhension de notre univers, de la rencontre avec d'autres.

12.Posté par tueurnain le 30/05/2017 13:16 | Alerter
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Personnellement, comme beaucoup de ceux qui ont été enfant dans les années 80, c'est d'abord ce qui passait à la télé qui m'a fait aimer le genre:
_Les films: Star wars, retour vers le futur, alien, robocop, terminator etc
_Les série télé: V, star trek ( l'épisode ou l'entreprise affronte un vaisseau romulien invisible m'avait marqué), K 2000 etc
_Les bandes dessinées, j'ai appris à lire grâce à tintin (j'en avais marre d'attendre qu'un adulte soit dispo pour me faire la lecture), on a marché sur la lune, l'étoile mystérieuse, l'affaire tournesol etc.
Et bien sur, les dessins animés: Goldorak, Albator, capitaine flam, Ulysse 31, astroboy et plus tard: dragon ball, cobra, galaxy express 999 entre autres.
_La fascination pour l'exploration spatial (le choc de voir tout petit l'explosion de la navette spatiale Challenger en 1986!)
Même si j'aimait (et aime toujours) d'autre trucs comme les œuvres d'aventure (Indiana Jones ou même Mac Gyver n'y sont pas pour rien), d'héroic fantasy (merci Conan le barbare et Willow), voir policier (les films de Belmondo des années 70/80, l'inspecteur Harry, Nicky Larson etc) ou le western (les spaghetti de Sergio Leone, plus tard danse avec les loups), je revient toujours à mes premiers amours, la SF, en particulier le space opéra.
Ah j'en ai passé des heures devant les séries télé, stargate, tous les star trek (oui, les 700 épisodes de toutes les séries), battlestar galactica etc
Ah j'en ai passé des heures sur mon ordi à abattre des vaisseaux spatiaux, construire une civilisation, vaincre des hordes d'aliens ou de robots, explorer des mondes étranges...
Ah j'en ai passé des heures à lire des sagas sous forme de romans (les classiques hyperions, fondations, dune même si je n'ai jamais compris la passion autour de ce bouquin et tant d'autres) ou sous forme de BD (Valérian, universal war one, les monde d'Aldébaran, le fléau des dieux etc), sans oublier les comics et les mangas...

11.Posté par Thierry B. le 06/06/2016 21:28 | Alerter
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ThierryB
Mon premier souvenir d'enfant est le premier pas sur la lune, le 21 juillet 1969. J'avais à peine 3 ans, mais les images sur le poste TV de mes parents m'ont énormément marqué. Loin d'être effrayé par l'étrange personnage dans sa combinaison d'astronaute, j'étais fasciné ! L'espace, l'astronautique, l'astronomie, tout ce qui était lié à cette nouvelle aventure m'a rapidement conquis.

Loin de me contenter de ce qui avait été réalisé, je me suis mis à explorer les projets que la NASA et d'autres s'étaient mis en tête de réaliser. Mais cela ne me suffisait toujours pas (d'autant qu'au cours des années qui suivirent, nombre de projets tombèrent à l'eau). Je voulais toujours en voir plus. Tout naturellement, je me suis donc mis à lire les oeuvres d'anticipation, découvrant ainsi d'autres facettes de la science-fiction (autres que l'exploration spatiale, s'entend). A cela s'ajouta la diffusion, sur la télé belge de langue flamande d'une série britannique contant les aventures d'un étrange personnage, portant une immense écharpe et voyageant dans une drôle de cabine bleue et d'une série américaine qui voyait l'équipage d'un vaisseau terrien, au cours d'une mission de 5 ans explorer l'espace, "the final frontier".

Tout cela n'a fait qu'augmenter le plaisir que j'éprouve à en découvrir toujours plus en dehors "du vrai monde où l'on s'ennuie".

Et quand je ne trouve pas mon bonheur dans les livres, magazines, séries ou films, eh bien, je l'écris moi-même ! J'en suis ainsi au tome 3 d'un saga que j'ai intitulée "Humankind" (3e tome que je ferais d'ailleurs bien de me remettre à écrire !!!).

10.Posté par Jerome Euxeb le 06/06/2016 17:05 | Alerter
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Je crois bien que c'est le jour où j'ai vu "La planète des singes" à la téloche dans les années 70, je devais avoir 10 ans, et je ne m'en suis toujours pas remis. Y'a eu "Le voyage fantastique" juste avant il me semble.

9.Posté par Clément's Da Tekeupon le 06/06/2016 16:09 | Alerter
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Depuis tout petit j'ai une passion pour la lecture tout d'abords l'Histoire avec un grand H me fascinait, mon premier livre de SF était une histoire de 2 gamins échoués sur une planète verte recouverte de forêts où des chenilles géantes mangeaient les arbres et laissaient d'étrange sillons derrière elles (je ne me souviens plus du titre c'était dans mes années CE1/CE2 en primaire). A 11 ans mon frère m'a prêté la trilogie du "Seigneur des anneaux" bien avant les films et surtout mon maitre les romans et nouvelles de HP Lovecraft s'ensuivit une longue adolescence sous le signe de la Fantasy et de l'Horreur et un peu de SF (qui n'étaient pas mon genre majeur) jusqu'à un l'achat du cycle de Dan Simmons "Hypérion" (je les avaient pris car j'ai adoré "L'échiquier du Mal" et je voulais ce qu'il donnait en SF), s'ensuivit un amour pour le space opera, puis le cyberpunk, la hard SF etc j'ai été aspiré par les étoiles ayant été bercé petit a "Albator" Star Wars, Terminator, Predator, Robocop, les aliens etc (oui j'ai grandis dans les 90's). Après des soucis de santé j'ai rattrapé mon retard sur toutes lmes séries tv, les films et tous ce qui avaient de près ou de loin aà la SF (c'est dire les nanards typé Syfy que j'ai bouffé aussi :) ). Étant toujours en situation de handicap la SF dans son ensemble est devenu ma passion mais l'endroit où je la préfère c'est dans les livres. Merci de votre lecture.
Clément

8.Posté par JC Gapdy le 06/06/2016 14:22 | Alerter
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Ma toute première vraie lecture date de mes douze ans. C’était « L’escadron blanc » de Joseph Peyré, que l’on m’avait fourre dans les mains avec obligation de lire en silence durant des vacances ou je l’em…dais prodigieusement. Ce livre fort vieillot n’a servi qu’à me propulser vers Frison-Roche et « La Piste oubliée », en me faisant soudain me tourner vers Jules Vernes, avec en tout premier« 20.000 lieues sous les Mers » et « Le tour du Monde en 80 jours » ; j’ai chuté, avec bonheur, dans la SF, en découvrant un bouquin de Vance : « La planète géante » et la série des aventures de John Carter
Je suis devenu fasciné le jour où, au lycée, un prof nous a permis d’assister à une projection privée (dans le lycée) de « 2001, l’Odyssée de l’espace ». Cela m’a scotché et m’a fait plonger encore plus loin dans la SF ; d’autant que nous avons eu notre première télévision à la maison et que j’ai découvert « Planète interdite ».
Dès lors, Asimov, Clarke, Heinlein, Van Vogt, Wolfe, Vance, Herbert, Silverberg devinrent mes compagnons de coucher et de sieste, pour ne citer que les premiers auxquels se mêlèrent peu à peu des Wul, Bass, Steiner, Crowley, Farmer, Klein, Jeury, Pelot, Brunner (avec Le Creuset du Temps) ou Forward (dont L’œuf du Dragon).
Mais, dans le même temps, j’ai commencé à dévoré du fantastique dont le tout premier fut « Le tour d’écrou » d’Henry James puis les nouvelles de Maupassant dont le « Horla » demeure celui qui m’a marqué ; j’ai découvert « Je suis une légende » de Matheston à la même époque (je n’ai jamais pu classer ce livre dans la SF même si on me dit souvent que Si ! Si !…). Mon premier livre de fantasy fut « L’enfant contre la nuit » de Susan Cooper suivi par « Le Hobbit » ; mon premier policier a été « Le crime de l’Orient Express » et je ne parle pas des romans historiques ou d’espionnage, de thriller ou d’aventure (j’ai dévoré ado tous les Alistair MacLean).
Je cesse mais le souci reste que j’aime lire des dizaines de genres et de style que j’ai découvert au fil des années et que la SF n’est que l’un des nombreux fils qui me retiennent par la patte à la lecture et à l’écriture.
Je crains que cela ne dépasse le stade viral pour être presque une drogue, avec sa dépendance aussi forte que le café…

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