Synopsis
Buckaroo Banzai et son mentor, le Dr Tohichi Hikita, perfectionnent le "surpropulseur d'oscillation", un appareil qui permet à un objet de traverser la matière solide. Banzai le teste en conduisant sa Jet Car à travers une montagne. En transit, il se retrouve dans une autre dimension. Après être sorti de la montagne et revenu à sa dimension normale, il découvre qu'un organisme extraterrestre s'est attaché à sa voiture...
Présentation
De mon point de vue, voici ce qui est probablement le meilleur film du genre, toutes époques confondues !
Bon, d'accord, peut-être pas le meilleur film de SF, mais tout de même, ce Buckaroo Banzai est clairement LE héros parfait : pilote de prototypes, chanteur de rock, séducteur et scientifique, entouré par une incroyable équipe de types tout aussi barrés que lui, incarnés par un casting dont on n’oserait même pas rêver aujourd’hui. C’est simple, cette brochette de personnages est le plus grand n’importe quoi jamais imaginé pour un film.
Et le scénario ? Me direz-vous. Un scénario ? Mais n’importe quoi, c’est trop ringard ! Non, collons des scènes cool et fauchées les unes aux autres, oublions la moitié de nos intrigues en cours de route, saupoudrons de méchants loufoques et voilà, c’est tout à fait suffisant.
Bon, en vrai, si ces aventures de Buckaroo Banzai partent en effet dans tous les sens, qu’elles ont un sévère problème de rythme, avec un casting en roue libre, on retrouve un nombre impressionnant d’acteurs désormais bien connus, moins en 84, dans ce qu’il faut bien appeler un bon gros nanar sans budget mais qui tente des trucs, et avec une sorte d’optimisme qui fait du bien, avec son héros se voulant super badass, mais apparaissant comme bien ringard (mais attachant).
Pour moi qui ne jure que par la cohérence d’univers et un scénario bien construit, évidemment que je verse des larmes de sang, et pourtant, la nostalgie est telle un baume, comme pour Starfighter ou les autres films de cette époque. Oui, cette histoire d’aliens ne tient pas la route, oui c’est super mal rythmé et ridicule, mais c’est tellement drôle à voir, avec malgré tout de sacrées bonnes idées.
Je sais, j’aurais pu vous faire une fiche ciné bien construite, vous parler du film, mais je vous encourage plutôt à le visionner en tant qu’objet nanardesque : vous ne serez certainement pas déçu et passerez probablement un bon moment devant un truc difficilement explicable !
Bon, d'accord, peut-être pas le meilleur film de SF, mais tout de même, ce Buckaroo Banzai est clairement LE héros parfait : pilote de prototypes, chanteur de rock, séducteur et scientifique, entouré par une incroyable équipe de types tout aussi barrés que lui, incarnés par un casting dont on n’oserait même pas rêver aujourd’hui. C’est simple, cette brochette de personnages est le plus grand n’importe quoi jamais imaginé pour un film.
Et le scénario ? Me direz-vous. Un scénario ? Mais n’importe quoi, c’est trop ringard ! Non, collons des scènes cool et fauchées les unes aux autres, oublions la moitié de nos intrigues en cours de route, saupoudrons de méchants loufoques et voilà, c’est tout à fait suffisant.
Bon, en vrai, si ces aventures de Buckaroo Banzai partent en effet dans tous les sens, qu’elles ont un sévère problème de rythme, avec un casting en roue libre, on retrouve un nombre impressionnant d’acteurs désormais bien connus, moins en 84, dans ce qu’il faut bien appeler un bon gros nanar sans budget mais qui tente des trucs, et avec une sorte d’optimisme qui fait du bien, avec son héros se voulant super badass, mais apparaissant comme bien ringard (mais attachant).
Pour moi qui ne jure que par la cohérence d’univers et un scénario bien construit, évidemment que je verse des larmes de sang, et pourtant, la nostalgie est telle un baume, comme pour Starfighter ou les autres films de cette époque. Oui, cette histoire d’aliens ne tient pas la route, oui c’est super mal rythmé et ridicule, mais c’est tellement drôle à voir, avec malgré tout de sacrées bonnes idées.
Je sais, j’aurais pu vous faire une fiche ciné bien construite, vous parler du film, mais je vous encourage plutôt à le visionner en tant qu’objet nanardesque : vous ne serez certainement pas déçu et passerez probablement un bon moment devant un truc difficilement explicable !