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La Nef des Dieux | Pierre Suragne | 1973


Une fiche ajoutée dans nos cales par | 08/02/2024 | Lu 310 fois





Illustration et quatrième de couverture

La Nef des Dieux @ 1973 Fleuve Noir | Illustration de couverture @ Gaston de Sainte-Croix
Sur Terre, la tension grandit de jour en jour entre les deux puissances OCCI et ORI qui se partagent l'Empire du système solaire. Depuis de longs mois, les vaisseaux spatiaux adverses s'espionnent et se surveillent tout autour des colonies planétaires. Et puis...

Et puis, dans quel monde étrange s'éveille un jour celui qui croit s'appeler Ax Varan ?

Quelle est cette ville immense, peuplée de cadavres poussiéreux ? Ces milliers de cadavres...

Pourquoi les forces ORI, basées sur la Lune. rappellent-elles les meilleurs pilotes d'observation, en vol depuis plusieurs mois en espace ennemi ?

Pour une simple mission... Une mission qui peut sauver ou perdre toute l'Humanité.

Fiche de lecture

Deux puissances terriennes prêtes à en découdre sont les témoins d’un bouleversement catastrophique qui ravage la Terre qu’elles se partagent. Seules les forces ORI rappelleront leurs meilleurs pilotes car elles savent où est la source du problème. Elles découvrent qu’elles peuvent s’en servir comme arme de destruction. Et tout cela sous leurs pieds, sous la croûte lunaire qui leur appartient, enfin la Lune elle-même contient l’arme car elle n’est pas ce que l’on a toujours cru qu’elle était.
 
Ax Varan se réveille dans un monde ravagé où ne subsiste que des cadavres qui le sont depuis très longtemps et il ne sait plus qui il est. Il échappera un temps à la folie en étant retrouvé par une survivante fraîchement sortie, elle aussi, d’un long sommeil. A eux deux, ils découvriront qu’ils sont les seuls survivants d’une race qui a fui une guerre perdue.
 
Une race qui s’est crue à l’abri dans cette fuite mais qui était condamnée d’avance, l’atmosphère artificielle de son vaisseau-monde avait été sabotée, poussant ses habitants à s’entre-tuer. Ax Varan et sa compagne finiront eux aussi par mourir ; le poison est toujours là, dans ce vaisseau-monde qui a fini, faute de personnel pour le diriger, par se mettre en orbite autour d’une planète : la Terre.
 
Encore un bon récit de M. Pierre Suragne alias Pierre Pelot ou deux histoires se suivent sans qu’à aucun moment on fasse le rapprochement.

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