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Jack Wilder et la mystérieuse Cité d'Or | El Dorado | 2010


Une fiche ajoutée dans nos cales par | 06/01/2013 | Lu 1121 fois





Affiche et synopsis

Lorsque l'archéologue Jack Wilder découvre une ancienne prophétie inca permettant de localiser la légendaire cité d'or El Dorado, il n'hésite pas à s'embarquer dans un voyage semé d'embûches. A peine arrivé au Pérou, il est pris en chasse par Sam Grissom, un mercenaire qui, pour une raison qu'il ignore, tente de l'empêcher d'atteindre son but. Il ne parvient à échapper à son poursuivant que pour mieux tomber dans un piège tendu par des soldats péruviens corrompus. Wilder réussit à tromper la vigilance de ses kidnappeurs et s'évade. Dans sa fuite, il retrouve Maria Martinez, son ex-compagne...

Présentation

Samedi soir 5 janvier 2013, je suis tombée par hasard sur la diffusion de ce téléfilm sur France 4. Faisant partie de la génération des enfants qui ont rêvé le mercredi après-midi devant le dessin animé « Les Mystérieuses Cités d’Or », mon intérêt a été tout de suite été capté par le titre de ce téléfilm en deux parties au titre aguicheur : « Jack Wilder et la mystérieuse Cité d’Or ». De plus, m’intéressant à titre personnel aux civilisations de l’Amérique du Sud, ça semblait prometteur. Surtout s’il est question d’une touche d’aventure à la Indiana Jones au cœur de l’histoire.

Mais j’ai très vite déchanté. L'ensemble est mauvais, à commencer par le jeu des acteurs et leurs répliques attendues qui sont particulièrement ridicules. Le scénario est prévisible et sans grande originalité. L’humour est mal amené, les scènes qui sont censées être drôles font l’effet d’un soufflé qui retombe. Les militaires corrompus sont très caricaturés et débiles à souhait. Finalement, les seules choses qui m’ont plu sont les paysages, le titre de la série, et peut-être une partie de son résumé. Bref, je me suis ennuyée à mourir, et j’ai failli zapper plusieurs fois de chaîne. Pour finir, j’ai quand même tenu devant le premier épisode, mais j’ai refusé de visionner le second.

En conclusion, j’ai rarement vu quelque chose d’aussi "inintéressant" (pour ne pas dire autre chose).

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