
Bienvenue à Westworld, le joyau de la société de divertissement Delos, le parc récréatif ultime où vous vous immergez dans l'ouest sauvage. Dans une ce parc immense (des centaines de kilomètres carrés), des visiteurs viennent déguisés comme au temps du Far West. Ils sont accueillis par des "hôtes", des robots au réalisme extraordinaire, programmés pour leur faire vivre une expérience unique en toute sécurité. Mais une mécanique aussi complexe a forcément des problèmes, et pour entretenir le tout, des équipes de techniciens, d'artistes, de programmes et d'agents de sécurités veillent dans l'ombre, réparent les dégâts et peuvent même rendre la vie aux hôtes.
Mais la complexité entraîne aussi la fragilité. Des grains de sable se glissent régulièrement dans la belle mécanique. Que ce soit un bug de programmation, une histoire à la trame narrative bancale ou même des conflits internes, Westworld est loin d'être parfait. Il cache aussi bien des mystères, bien des secrets, bien des intrigues. Quand des hôtes semblent accéder à la conscience, que des clients cherchent toujours plus de frissons, que les différents services se tirent dans les pattes et que les scénarios déraillent, les actionnaires demandent des comptes. Des employés outrepassent leurs prérogatives et, finalement, Westworld n'est pas ce qu'il semble être…
Mais la complexité entraîne aussi la fragilité. Des grains de sable se glissent régulièrement dans la belle mécanique. Que ce soit un bug de programmation, une histoire à la trame narrative bancale ou même des conflits internes, Westworld est loin d'être parfait. Il cache aussi bien des mystères, bien des secrets, bien des intrigues. Quand des hôtes semblent accéder à la conscience, que des clients cherchent toujours plus de frissons, que les différents services se tirent dans les pattes et que les scénarios déraillent, les actionnaires demandent des comptes. Des employés outrepassent leurs prérogatives et, finalement, Westworld n'est pas ce qu'il semble être…
Note
Série basée sur le film Mondwest (Westworld) de Michael Crichton (1973)
Présentation de la saison 1
Westworld propose des ingrédients connus : robots humaniformes au seuil de la conscience, actionnaires et directions jaloux de leurs pouvoirs et de leurs secrets, mécanique sociale qui se grippe. Ce sont des thèmes récurrents de la SF et d'autres genres. Ajoutez-y une ambiance western, des effets spéciaux bluffants et une intrigue en titanium renforcé et vous obtenez Westworld.
Je n'exagère pas en disant que l'intrigue est complexe. Le dernier épisode m'a tout simplement scotché. Il y avait un truc énorme là, juste sous mes yeux. Et je n'ai rien vu venir ! Rien n'était ce qu'il semblait être.
A signaler : cette série reprend les codes érotisme + violence habituels dans les nouvelles séries. Ce n'est pas Game of Thrones mais on est dans la même veine, avec des trains à la place des dragons, des directeurs à la place des rois et des cowboys à la place des chevaliers.
J'ai vraiment tout adoré : l'ambiance générale, les paysages à couper le souffle, les effets spéciaux, les acteurs excellents, les intrigues qui s'entrecroisent, le final décoiffant...
Et en plus, il y a un réflexion (réussie !) sur l'identité, l'humanité et la réalité. Je le recommande à tous, mais avec un avertissement concernant la dureté de certaines scènes.
Je n'exagère pas en disant que l'intrigue est complexe. Le dernier épisode m'a tout simplement scotché. Il y avait un truc énorme là, juste sous mes yeux. Et je n'ai rien vu venir ! Rien n'était ce qu'il semblait être.
A signaler : cette série reprend les codes érotisme + violence habituels dans les nouvelles séries. Ce n'est pas Game of Thrones mais on est dans la même veine, avec des trains à la place des dragons, des directeurs à la place des rois et des cowboys à la place des chevaliers.
J'ai vraiment tout adoré : l'ambiance générale, les paysages à couper le souffle, les effets spéciaux, les acteurs excellents, les intrigues qui s'entrecroisent, le final décoiffant...
Et en plus, il y a un réflexion (réussie !) sur l'identité, l'humanité et la réalité. Je le recommande à tous, mais avec un avertissement concernant la dureté de certaines scènes.