
En 2149, alors que toute vie sur la planète Terre est menacée d'extinction, des scientifiques, pour sauver la race humaine, ont réussi à créer une porte spatio-temporelle permettant de retourner aux temps préhistoriques. Jim Shannon, un ex-policier, est en prison pour avoir outrepassé les lois sur le contrôle démographique et s'être rebellé lors d'un contrôle. Quand sa femme est sélectionnée pour partir sur Terra Nova, elle élabore un plan pour qu'il puisse s'évader et partir ensemble, en famille. Sur place, ils découvrent un monde en apparence paradisiaque : nature préservée, architecture harmonieuse, société paisible... Mais les menaces sont nombreuses, à commencer par les Sixers, des rebelles issus de la sixième vague de migration. Alors que sa femme travaille comme médecin, Jim convainc le chef de Terra Nova de lui donner des fonctions similaires à celle d'un policier.
Critique de la série
Le thème de départ de la série est classique : la Terre est polluée et les humains doivent s'exiler. Là où la série innove, c'est que la série ne pose la question "où s'exiler" mais "quand s'exiler" ! Plutôt que de viser une planète lointaine, l'humanité envoie des colons dans le passé.
Jusqu'ici, je dois bien avouer que je suis emballé ! Les effets spéciaux sont bluffants, les personnages sont étudiés, les acteurs sont plutôt bons, le scénario laisse entrevoir des mystères. J'espère que mon impression sera confirmée lors des prochains épisodes. Cette série a clairement un côté LOST, mais je pense qu'il y a aussi une inspiration du côté des "Déportés du Cambrien" de Silverberg. Toutefois, si elle reprend des éléments (inévitable dans le contexte de la SF) elle le fait de manière subtile et intelligente. Elle s'inspire mais ne copie jamais. Quant à la faille spatio-temporelle, elle n'est pas sans rappeler un bon vieux chappaï. La note finale, c'est le nom du producteur : SPIELBERG !
Jusqu'ici, je dois bien avouer que je suis emballé ! Les effets spéciaux sont bluffants, les personnages sont étudiés, les acteurs sont plutôt bons, le scénario laisse entrevoir des mystères. J'espère que mon impression sera confirmée lors des prochains épisodes. Cette série a clairement un côté LOST, mais je pense qu'il y a aussi une inspiration du côté des "Déportés du Cambrien" de Silverberg. Toutefois, si elle reprend des éléments (inévitable dans le contexte de la SF) elle le fait de manière subtile et intelligente. Elle s'inspire mais ne copie jamais. Quant à la faille spatio-temporelle, elle n'est pas sans rappeler un bon vieux chappaï. La note finale, c'est le nom du producteur : SPIELBERG !