
Fiche de lecture
Il n’y a plus de douce Yrmeline qui tienne ! Après avoir pris pleinement conscience de sa nature anunnaki et du rôle qui lui est destiné, Yrmeline devient une femme impitoyable et violente, au grand dam de Lanz, qui peine à la comprendre et désespère de se voir ainsi rejeté de son existence. Tandis qu’Yrmeline va mettre sa propre vie en jeu dans le but de piéger le mortel et séduisant Bellator Rex, Lanz lui, rejoint la conjuration de l’Aube et découvre des secrets hors du commun.
Ce second tome emmène le lecteur loin dans le temps et dans l’Histoire. En effet, grâce à une machine anunnaki (sorte de transporteur temporel), Lanz va se retrouver propulsé 10'000 ans dans le passé au cœur de l’île de Falias, pour y découvrir une vérité historique des plus renversantes.
Cette passionnante épopée médiévale est un savant mélange de faits historiques et de légendes, teintés de science-fiction et de fantasy. L’auteure, Bleuette Diot, possède un impressionnant bagage historique et joue, tout au long du récit, à incorporer de la fiction à ces éléments. C’est bluffant ! Sa plume est vive, son écriture, fluide et poétique. Ses écrits sont complétés par des cartes et des notes très utiles, que l’on pourra trouver en fin d’ouvrage. Je n’ose imaginer la quantité de documents amassés et de recherches historiques effectuées pour arriver à un si beau résultat.
Il est également à noter le travail remarquable effectué sur certains personnages. Je pense tout particulièrement à Yrmeline et au Bellator Rex, dont les personnalités atteignent des sommets rarement aussi bien décrits en littérature. En présence l’un de l’autre, la nature anunnaki sauvage et mortelle de ces deux êtres est attisée. De ce fait, certains passages sont très forts en intensité. Ces deux personnages ont donc tendance à éclipser tous les autres. Mais Bleuette Diot a su trouver la parade en conférant à Lanz et à son maître, messire Konwoïon, un statut particulier en leur donnant la possibilité de se lancer dans la quête du Graal. De ce fait, il subsiste un bon équilibre entre les rôles des différents protagonistes.
En conclusion, après un premier livre qui relève du chef-d’œuvre, j’étais très curieuse de voir ce que cette suite me réserverait. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçue. Ce voyage dans le temps n’est pas pour me déplaire. De plus, le fait que les personnages aient autant évolué est une agréable surprise. Au final, le récit gagne encore plus en profondeur et ouvre sur une nouvelle dimension des plus intéressantes. Bleuette Diot est non seulement une femme cultivée, mais en plus, c’est une écrivaine confirmée, comme nous le prouve sa saga « Yrmeline ». J’attends donc impatiemment la parution du troisième tome, car « Le Château du Graal » se termine sur un fort suspens.
Ce second tome emmène le lecteur loin dans le temps et dans l’Histoire. En effet, grâce à une machine anunnaki (sorte de transporteur temporel), Lanz va se retrouver propulsé 10'000 ans dans le passé au cœur de l’île de Falias, pour y découvrir une vérité historique des plus renversantes.
Cette passionnante épopée médiévale est un savant mélange de faits historiques et de légendes, teintés de science-fiction et de fantasy. L’auteure, Bleuette Diot, possède un impressionnant bagage historique et joue, tout au long du récit, à incorporer de la fiction à ces éléments. C’est bluffant ! Sa plume est vive, son écriture, fluide et poétique. Ses écrits sont complétés par des cartes et des notes très utiles, que l’on pourra trouver en fin d’ouvrage. Je n’ose imaginer la quantité de documents amassés et de recherches historiques effectuées pour arriver à un si beau résultat.
Il est également à noter le travail remarquable effectué sur certains personnages. Je pense tout particulièrement à Yrmeline et au Bellator Rex, dont les personnalités atteignent des sommets rarement aussi bien décrits en littérature. En présence l’un de l’autre, la nature anunnaki sauvage et mortelle de ces deux êtres est attisée. De ce fait, certains passages sont très forts en intensité. Ces deux personnages ont donc tendance à éclipser tous les autres. Mais Bleuette Diot a su trouver la parade en conférant à Lanz et à son maître, messire Konwoïon, un statut particulier en leur donnant la possibilité de se lancer dans la quête du Graal. De ce fait, il subsiste un bon équilibre entre les rôles des différents protagonistes.
En conclusion, après un premier livre qui relève du chef-d’œuvre, j’étais très curieuse de voir ce que cette suite me réserverait. Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçue. Ce voyage dans le temps n’est pas pour me déplaire. De plus, le fait que les personnages aient autant évolué est une agréable surprise. Au final, le récit gagne encore plus en profondeur et ouvre sur une nouvelle dimension des plus intéressantes. Bleuette Diot est non seulement une femme cultivée, mais en plus, c’est une écrivaine confirmée, comme nous le prouve sa saga « Yrmeline ». J’attends donc impatiemment la parution du troisième tome, car « Le Château du Graal » se termine sur un fort suspens.
Nota Bene

Ma fiche de lecture se rapporte à l'ancienne édition : Yrmeline et le Château du Graal