
Six ans avant que James T. Kirk prenne le commandement l'USS Enterprise - et quelques mois après la bataille contre « Contrôle », l'intelligence artificielle renégate de la Section 31 - le capitaine Christopher Pike et son équipage explorent la galaxie à la recherche de nouveaux mondes...
Cette série est une préquelle à la série originale et une série dérivée de Star Trek : Discovery.
Cette série est une préquelle à la série originale et une série dérivée de Star Trek : Discovery.
Présentation
Strange New Worlds, onzième série tirée du concept d’univers par Gene Roddenberry, les producteurs et productrices Akiva Goldsman, Alex Kurtzman et Jenny Lumet annoncent un retour aux fondamentaux. Un épisode, une aventure. Pas de grandes intrigues alambiquées, focus sur les membres de l’équipage. Avec ici en prime, une cascade de clins d’œil au glorieux passé de la franchise.
Et finalement, bien ? Très très bien. On ne bascule jamais dans le sentimentalisme creux de Star Trek : Picard, dont la seconde et dernière saison est un parfait condensé d’exemple de tout ce qu’il ne faut pas faire. Ici, le nouveau casting, déjà vu dans la série Discovery, incarne des personnages historiques mais en créant de la profondeur, entourés par de nouveaux archétypes plus contemporains, portant les principaux protagonistes. On a vraiment la sensation d’un univers vivant autour de l’Enterprise, d’enjeux personnels et d’interactions parfois complexes. Pas d’intrigues sur une saison, cela permet un ton plus léger, et les Trekkies pourront ainsi retrouver un épisode ouate ze foc calé au milieu d’autres, ouvrant des dilemmes moraux intéressants.
Comme c’est la bagarre des plateformes, Paramount+ met de gros sous dans le budget de Star trek : Strange New Worlds, et cela se ressent à l’écran. Autant Picard m’avait rapidement ennuyé par sa paresse scénaristique, autant Discovery traînait en longueur – une saison, voire deux, de trop, tout de même – autant ici le casting en or massif, le rythme des épisodes et la qualité de la réalisation me plaisent énormément, jusqu’à en faire mon show préféré pour cette franchise, enfin modernisée comme il faut !
Petit point sur la musique, composée par Nami Melumad, une fan de l’univers et compositrice talentueuse !
Et finalement, bien ? Très très bien. On ne bascule jamais dans le sentimentalisme creux de Star Trek : Picard, dont la seconde et dernière saison est un parfait condensé d’exemple de tout ce qu’il ne faut pas faire. Ici, le nouveau casting, déjà vu dans la série Discovery, incarne des personnages historiques mais en créant de la profondeur, entourés par de nouveaux archétypes plus contemporains, portant les principaux protagonistes. On a vraiment la sensation d’un univers vivant autour de l’Enterprise, d’enjeux personnels et d’interactions parfois complexes. Pas d’intrigues sur une saison, cela permet un ton plus léger, et les Trekkies pourront ainsi retrouver un épisode ouate ze foc calé au milieu d’autres, ouvrant des dilemmes moraux intéressants.
Comme c’est la bagarre des plateformes, Paramount+ met de gros sous dans le budget de Star trek : Strange New Worlds, et cela se ressent à l’écran. Autant Picard m’avait rapidement ennuyé par sa paresse scénaristique, autant Discovery traînait en longueur – une saison, voire deux, de trop, tout de même – autant ici le casting en or massif, le rythme des épisodes et la qualité de la réalisation me plaisent énormément, jusqu’à en faire mon show préféré pour cette franchise, enfin modernisée comme il faut !
Petit point sur la musique, composée par Nami Melumad, une fan de l’univers et compositrice talentueuse !
Liste des épisodes
Saison 1 (2022)
- Strange New Worlds (Strange New Worlds)
- Les Enfants de la comète (Children of the Comet)
- Les Fantômes d'Illyria (Ghosts of Illyria)
- Memento Mori (Memento Mori)
- Le Mal de Spock (Spock Amok)
- Élève-nous là où la souffrance ne peut nous atteindre (Lift Us Where Suffering Cannot Reach)
- Le Serene Squall (The Serene Squall)
- Le Royaume d'Elysian (The Elysian Kingdom)
- Tous ceux qui errent (All Those Who Wander)
- Le Caractère de la clémence (A Quality of Mercy)