
Fiche de lecture
Dix ans se sont écoulés depuis les événements du tome 2. Andrej, le vampyre, poursuit la quête de ses origines en compagnie de son ami Abou Doun, le pirate. Leur long chemin à dos de cheval les conduit cette fois-ci en Bavière, loin de la guerre qui fait rage en Turquie. Ils pensent y trouver un peu de paix et s’adonner à une vie plus paisible. Cependant, ce ne sont que des illusions. En effet, lorsque les deux camarades font une halte dans un petit village de Bavière, à priori de tout ce qu’il y a de plus ordinaire, ils s’aperçoivent très vite que quelque chose cloche en ce lieu. Mais quoi ? Ils sont loin d’imaginer ce qui les attend vraiment : entre loups-garous et les gens au service de l’Inquisition, nos deux amis se retrouvent, bien malgré eux, embarqués dans une sombre histoire. Ils feront la connaissance de Tobias, un homme d’église au premier abord sympathique et doté de bonnes intentions, mais qui cache en réalité une face des plus obscures… Andrej et Abou Doun ne seront malheureusement que les pantins de ses sinistres plans.
Bien que cette saga soit noire, je dois avouer que depuis le début, les aventures d’Andrej me fascinent. Petit à petit, le personnage évolue et se transforme. Jusqu’à quand pourra-t-il lutter contre ce qu’il est vraiment ? Contre cet héritage qui s’avère être une tare plus qu’un cadeau ? Lui, l’Immortel, qui voit des pulsions qu’il ne contrôle pas encore prendre le dessus de ses sens dans certaines situations, et des êtres qui lui sont chers mourir à ses côtés. Comment gérera-t-il son destin ? Andrej se bat plus que jamais pour conserver la part d’humanité qui est en lui. Et c’est peut-être bien grâce à Abou Doun, qui le soutient, mais qui sait aussi lui dire ses quatre vérités, qu’Andrej tient le coup. Dans ce troisième tome, il y a des passages à vous donner la frousse et à vous garantir des nuits d’insomnies. Et pourtant, l’auteur n’abuse pas en tombant dans un style lourd et gore. Bien que certains passages soient pénibles, émotionnellement parlant, il dirige avec brio un scénario qui vous tient en haleine du début à la fin, arrivant ainsi à faire passer au lecteur sans trop de brusquerie ces moments difficiles et douloureux que traversent Andrej et Abou Doun.
Bien que cette saga soit noire, je dois avouer que depuis le début, les aventures d’Andrej me fascinent. Petit à petit, le personnage évolue et se transforme. Jusqu’à quand pourra-t-il lutter contre ce qu’il est vraiment ? Contre cet héritage qui s’avère être une tare plus qu’un cadeau ? Lui, l’Immortel, qui voit des pulsions qu’il ne contrôle pas encore prendre le dessus de ses sens dans certaines situations, et des êtres qui lui sont chers mourir à ses côtés. Comment gérera-t-il son destin ? Andrej se bat plus que jamais pour conserver la part d’humanité qui est en lui. Et c’est peut-être bien grâce à Abou Doun, qui le soutient, mais qui sait aussi lui dire ses quatre vérités, qu’Andrej tient le coup. Dans ce troisième tome, il y a des passages à vous donner la frousse et à vous garantir des nuits d’insomnies. Et pourtant, l’auteur n’abuse pas en tombant dans un style lourd et gore. Bien que certains passages soient pénibles, émotionnellement parlant, il dirige avec brio un scénario qui vous tient en haleine du début à la fin, arrivant ainsi à faire passer au lecteur sans trop de brusquerie ces moments difficiles et douloureux que traversent Andrej et Abou Doun.