
Pour fuir sa planète, Euphor, détruite par les forces de Véga, le Prince d’Euphor s’échappe à bord de Goldorak, la plus formidable machine de guerre construite jusqu’alors. Le prince trouve refuge sur Terre, où il est recueilli par le professeur Procyon qui lui donne le nom d’Actarus et le considère comme un fils. Mais Véga, le Grand Stratéguerre, qui a juré de dominer tout l’univers, compte bien s’emparer de notre planète et attaque bientôt celle-ci.
Le Prince va alors défendre la Terre à bord de Goldorak, au péril de sa vie et livre dès lors une guerre sans merci aux Golgoths, Antéraks et autres monstres qui ont anéanti son peuple, et qui ne lui laisseront aucun répis. Il sera aidé dans sa lutte par Alcor, le jeune fougueux qu’il aimera comme son frère, puis plus tard par son amie Vénusia et sa soeur nouvellement retrouvée Phénicia.
Il leur faudra tout leur courage et leurs forces pour tenir tête aux machinations des chefs de Véga : Minos accompagné de sa double (logée dans sa tête) Minas et Hydargos (remplacé plus tard par Horos) qui ont juré la perte du Prince de l'espace...
Le Prince va alors défendre la Terre à bord de Goldorak, au péril de sa vie et livre dès lors une guerre sans merci aux Golgoths, Antéraks et autres monstres qui ont anéanti son peuple, et qui ne lui laisseront aucun répis. Il sera aidé dans sa lutte par Alcor, le jeune fougueux qu’il aimera comme son frère, puis plus tard par son amie Vénusia et sa soeur nouvellement retrouvée Phénicia.
Il leur faudra tout leur courage et leurs forces pour tenir tête aux machinations des chefs de Véga : Minos accompagné de sa double (logée dans sa tête) Minas et Hydargos (remplacé plus tard par Horos) qui ont juré la perte du Prince de l'espace...
Présentation
Je crois que ce que nous avons retenu comme enfants, c'est le combat bien-mal, les gadgets de Goldorak, le bien récompensé, et des thèmes assez classiques, comportant des valeurs.
Mais en les visionnant, je crois qu'une fois encore, c'est le travail réalisé sur les personnages, leur psychologie, leur profondeur, qui marquera les enfants aujourd'hui adultes : Actarus en premier lieu, mais aussi Procyon, Venusia, Alcor, et même Mizar et Rigel dans une certaine mesure. Parmi les méchants, palme à Minas encore plus diabolique à elle seule que tous les autres réunis.
Il n'y a pas si longtemps, en repensant à Goldorak, je me disais : "bof, les cornofulgures, astérohaches et compagnie, c'est spectaculaire, gadget, mais après ?" Enfant, nous avons été marqués par le spectaculaire (la preuve, vous en parlez que des armes et des combats). Et en le revoyant, j'ai redécouvert ces personnages et le drame qu'ils vivent (choses que j'aurais zappées comme enfant). Voyez par exemple "du sang sur la neige" (je crois que c'est le 12), extraordinaire d’émotion, et un autre dont le titre m'échappe (Hydargos veut faire fondre la calotte glacière) où la vie d'une jument vaut autant que celle d'Alcor pour Actarus (qui considère pourtant Alcor comme un frère).
Moi personnellement, je n'ai pas été déçu de revoir Goldorak…
Mais en les visionnant, je crois qu'une fois encore, c'est le travail réalisé sur les personnages, leur psychologie, leur profondeur, qui marquera les enfants aujourd'hui adultes : Actarus en premier lieu, mais aussi Procyon, Venusia, Alcor, et même Mizar et Rigel dans une certaine mesure. Parmi les méchants, palme à Minas encore plus diabolique à elle seule que tous les autres réunis.
Il n'y a pas si longtemps, en repensant à Goldorak, je me disais : "bof, les cornofulgures, astérohaches et compagnie, c'est spectaculaire, gadget, mais après ?" Enfant, nous avons été marqués par le spectaculaire (la preuve, vous en parlez que des armes et des combats). Et en le revoyant, j'ai redécouvert ces personnages et le drame qu'ils vivent (choses que j'aurais zappées comme enfant). Voyez par exemple "du sang sur la neige" (je crois que c'est le 12), extraordinaire d’émotion, et un autre dont le titre m'échappe (Hydargos veut faire fondre la calotte glacière) où la vie d'une jument vaut autant que celle d'Alcor pour Actarus (qui considère pourtant Alcor comme un frère).
Moi personnellement, je n'ai pas été déçu de revoir Goldorak…
Un film en Italie
Voici l'affiche d'un film de montage (tout en italien) sorti dans les cinémas en Italie en 1978. Il reprend les épisodes 1-2-4-5-10 du dessin animé Goldorak :

Affiche du film italien (1978)