
Fiche de lecture
Il m'a fallu longtemps pour lire ce classique. Il y a quelques années, en zappant, je suis tombé sur l'adaptation au cinéma. Je n'ai pas aimé et je me suis donc détourné de Frank Herbert. Ce n'est qu'en lisant des critiques sur le film que je me suis dit que j'avais peut-être été trop radical. J'ai donc décidé de me plonger dans Dune.
Ce livre est d'un abord difficile. Dès le départ, l'auteur utilise toute une terminologie précise mais déroutante. Le lexique présent à la fin de l'ouvrage est bien utile. Bene Gesserit, faufreluche, Guilde, épice, mélange... Il faut de la patience et une certaine dose de courage pour se plonger dans l'univers de Frank Herbert. Les débuts sont lents, probablement pour laisser le lecteur s'imprégner de l'atmosphère futuro-médiévale. Ce n'est qu'à la page 250 du livre (sur 750) que l'action commence réellement. Mais alors, ça n'arrête plus : combats, aventures, explorations et autres se mêlent aux complots et aux intrigues. C'est fichtrement bien écrit.
Sur l'univers, je suis tout aussi conquis. On dirait un genre de « Game of Thrones » spatial. Il y a un Empire fragile, une Guilde jalouse de ses privilèges, des nobles décadents et/ou ambitieux, des confréries aux objectifs mystérieux et tout un système social qui rappelle la féodalité. Au milieu de tout ça, il y a la planète Arrakis, avec ses dunes, son peuple semi-nomade mystérieux et son épice, une substance aux propriétés étranges que s'arrache tout l'univers connu, la richesse au milieu du dénuement. C'est du pur space-opéra, avec une quasi-absence de voyages spatiaux décrits.
J'ai bien aimé les personnages, qui sont assez bien campés : Paul-Muad'Dib, dame Jessica, les Harkonnens... Malheureusement certains sont trop peu développés, comme Chani la Fremen ou Gurney Halleck, le soldat-musicien.
Dune m'a réellement séduit et je vais mon plonger dans le cycle entier avec bonheur.
Ce livre est d'un abord difficile. Dès le départ, l'auteur utilise toute une terminologie précise mais déroutante. Le lexique présent à la fin de l'ouvrage est bien utile. Bene Gesserit, faufreluche, Guilde, épice, mélange... Il faut de la patience et une certaine dose de courage pour se plonger dans l'univers de Frank Herbert. Les débuts sont lents, probablement pour laisser le lecteur s'imprégner de l'atmosphère futuro-médiévale. Ce n'est qu'à la page 250 du livre (sur 750) que l'action commence réellement. Mais alors, ça n'arrête plus : combats, aventures, explorations et autres se mêlent aux complots et aux intrigues. C'est fichtrement bien écrit.
Sur l'univers, je suis tout aussi conquis. On dirait un genre de « Game of Thrones » spatial. Il y a un Empire fragile, une Guilde jalouse de ses privilèges, des nobles décadents et/ou ambitieux, des confréries aux objectifs mystérieux et tout un système social qui rappelle la féodalité. Au milieu de tout ça, il y a la planète Arrakis, avec ses dunes, son peuple semi-nomade mystérieux et son épice, une substance aux propriétés étranges que s'arrache tout l'univers connu, la richesse au milieu du dénuement. C'est du pur space-opéra, avec une quasi-absence de voyages spatiaux décrits.
J'ai bien aimé les personnages, qui sont assez bien campés : Paul-Muad'Dib, dame Jessica, les Harkonnens... Malheureusement certains sont trop peu développés, comme Chani la Fremen ou Gurney Halleck, le soldat-musicien.
Dune m'a réellement séduit et je vais mon plonger dans le cycle entier avec bonheur.