Menu

Notez
Textes personnels des Galionautes

        

D'où me vient cette passion pour la science-fiction ? | Koyolite Tseila | 2012


Une fiche ajoutée dans nos cales par | 27/02/2012 | Lu 3070 fois






Copyright @ 2012 Le Galion des Etoiles
Copyright @ 2012 Le Galion des Etoiles
La science-fiction. J’aime à dire que c’est un amour de toujours, car aussi loin que je me souvienne, j’ai la tête dans les étoiles.

Lorsque j'avais environ 5 ans, je me souviens qu’à l’école, nous apprenions à lire des mots – classés selon degré de difficulté - sur des cartes plastifiées. Alors que mes camarades s’évertuaient à déchiffrer des mots tels que "clocher" ou "maison", moi j'en étais déjà à "spaghetti" et il y avait belle lurette que j'avais déjà tout été capable de lire en long et en large.

Lorsque mes amies jouaient à la poupée l’après-midi, moi je m’attaquais au déchiffrage des livres de science et d’astronomie de la bibliothèque de mes parents. Ce qui ne m'empêchait pas non plus de jouer à la poupée entre deux, mais accessoirement :-)

Plus tard, quand mes copines regardaient Candy à la TV, moi j’étudiais les étoiles en piochant les définitions de ces dernières dans le dictionnaire pour les recopier dans un cahier et les apprendre par coeur.

Et le soir, alors que venait l’heure d’aller au lit, j'aimais à me rendre furtivement au jardin, munie d’une lampe de poche et d’une carte du ciel, afin de pouvoir déterminer quelles étaient les étoiles que l'on pouvait apercevoir.

Je me souviens même que mon papa, pour réaliser l’un de mes désirs, m’avait emmenée à l’observatoire de Lausanne, afin que je puisse enfin admirer de plus près le ciel étoilé. J’étais trop petite pour lorgner dans le télescope, si bien que l’on avait dû m’installer une marche supplémentaire, de sorte à ce que je puisse admirer le spectacle céleste. 

Tandis que mes amies fantasmaient sur une histoire d’amour entre Ken et Barbie (ça m'arrivait aussi parfois !), moi je fantasmais plutôt sur des mondes imaginaires loin d’ici. Ils étaient comme un refuge, je m'y projetais et m'y sentais bien. De par cette fascination pour les étoiles, j’ai toujours été quelque peu « bizarre » au regard de mes camarades. C’est pourquoi j’aime à dire que je suis tombée dans le chaudron des étoiles dès mon plus jeune âge...

En grandissant, j’ai découvert des livres, des films, des dessins animés, des BD et des séries TV qui me transportaient dans les étoiles en y mêlant de la fiction. C’est là que j’ai appris qu’il s’agissait de « science-fiction ». C’est un genre auquel je peux m’identifier, mais aussi, c’est un genre résolument positif, puisqu’il se tourne vers l’avenir et vers quelque chose de plus grand. Au fil des années, j’ai remarqué avoir cependant une préférence pour les récits qui mélangent science et fiction de manière "plausible" (comme dans les livres de Clarke ou d'Asimov), mais aussi à l'inverse, pour le space opéra, les aventures spatiales et l'anticipation (merci Jules Verne). Dans ce type d'oeuvres, la magie du rêve et du voyage opère sur moi… et je m'évade.

Avec ce type de récits, que ce soit par la lecture ou par le visionnage, je retrouve la même sensation d’émerveillement que lorsque j’étais petite et admirait le ciel étoilé en me posant des dizaines de questions existentielles. Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Qui nous a créés ? Quelle est la taille de l’univers ? Sommes-nous seuls parmi ces astres ? A quoi une autre forme de vie ressemblerait-elle ? Combien de galaxies composent l’univers ? Existe-t-il des univers parallèles ?…

Mon amour pour la SF s’est petit à petit transformé en une passion dont les flammes ne cessent d’être attisées au gré de mes découvertes. Au fil des années, les goûts changent, évoluent, mais l’intérêt ne tarit jamais.

J’ai pu constater que la SF était un domaine très vaste, très riche, mais dont l’étiquette est ternie, dans le sens où, on a tendance à mettre tout et n’importe quoi sous l’appellation « science-fiction ». Et cela me consterne. Contrairement à ce que pensent nonante pourcents des gens, la SF ne se résume pas à des histoires d’affreux E.T. à la peau verte, aux grandes antennes et pilotant des soucoupes volantes en forme de poêle à frire dont les lumières clignotent ^-^ La SF n'est pas la littérature des mauvais genres, conviction que je m'emploie à défendre au mieux depuis l'an 2000 au travers de mes articles. 

Cette passion, j’ai décidé de la partager avec d’autres personnes, pour échanger des points de vue et pour en discuter, mais aussi pour montrer à ceux qui souhaiteraient le découvrir, ce qu’est réellement la science-fiction, ses multiples facettes, d’où elle a pris ses départs, puis son essor et son évolution à travers les décennies. Mes écrits et fiches de lecture suscitant de l'intérêt, cela m'a motivée à persévérer dans cette direction.

De fil en aiguille, et avec le soutien d’autres passionnés, j’ai créé un site internet dédié à ma passion. Nos divergences d’opinions et de goûts, toujours traitées avec respect entre nous, voire avec humour, font l’intérêt de nos articles pour nos lecteurs. Nous leur offrons la possibilité de se forger leurs propres avis sur les différents aspects de la SF et les invitons à un voyage parsemé de curiosité...

Question

Cette question "D'où te vient ta passion pour la science-fiction" m'a été posée par Yannick Rault, au détour d'un chemin de la Cordillère du Net...

Aujourd'hui, c'est à vous, chers visiteurs et Galionautes, que je l'adresse, par curiosité :
 
- D'où vous vient votre passion pour la Science-fiction ?

Koyolite Tseila
Copyright @ Koyolite Tseila pour Le Galion des Etoiles. Tous droits réservés. En savoir plus sur cet auteur


💬Commentaires
Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

21.Posté par Thierry LEDRU le 23/12/2022 16:12 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Thierry23
Un très joli texte, Capitaine, touchant, empli de belles images et d'émotions. Une vie portée par une passion, je trouve toujours ça merveilleux.
Pour ma part, je ne développerai pas comme tous les lecteurs qui m'ont précédé, étant donné que je n'ai pas de passion particulière pour la SF :)
Mon plus lointain souvenir cinématographique, c'est "La planète des singes" et celui de littérature, c'est "Niourk" que j'ai dû relire dix fois et que je lisais à mes élèves de CM2.

22.Posté par Philippe PEREZ le 23/12/2022 18:32 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Renaissance
Un texte sincère qui nous permet de connaître ton cheminement personnel vers la SF. Pour ma part, un « premier contact » avec la SF via la diffusion du film La guerre des mondes à la télé, la version de 1953 que j’ai dû voir dans les années 70. Un choc pour moi. Puis viendra Planète interdite avec le robot Robby. Puis bien après le film Blade Runner que j’ai dû visionner une dizaine de fois. La lecture aussi. Je me souviens de la nouvelle Le père truqué de Philip K. Dick. Puis Les robots d’Asimov et pas mal de romans de Philip K. Dick.

23.Posté par Catherine ALDROVANDI le 11/03/2023 17:45 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Catherine
C'est amusant car j'ai un parcours un peu similaire au tien, tout comme toi je préférais m'évader vers d'autres univers que de jouer à la poupée. Je m'interrogeais, et m'interroge encore, sur nos origines, sur l'existence d'une forme de vie extra-terrestre. Cela me parait d'ailleurs évident, car il est peu probable que la Terre soit la seule planète sur laquelle la vie existe. Attention, je ne parle pas de petits hommes verts ni rien de cela, mais une autre forme de vie qui n'aurait pas les mêmes besoins que nous. Vaste débat. Les étoiles, les planètes, j'ai des bouquins aussi avec des cartes du ciel sur lesquelles j'ai appris à reconnaitre les différentes constellations, c'est captivant.
Comme toi, j'aime la science-fiction qui me fait découvrir d'autres mondes, qui me permet de m'évader et de rêver à d'autres possibles.
Côté films, bien sûr "Rencontre du 3e Type", j'étais gamine et j'avais grillé toute la queue au ciné pour avoir des places ;-) . Moins fan de Star Wars, plus de Star Trek.

24.Posté par Jean Luc ESTEBAN le 27/11/2023 17:35 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

janluc13
Une question que je ne m'étais jamais vraiment posée tant cela remonte loin !
Je ne me souviens pas avoir lu autre chose que de la science-fiction si ce n'est les lectures scolaires du style le Grand Meaulnes ou La Guerre des Gaules (pour citer ce que j'ai apprécié…). Par contre difficile de me souvenir comment c'est arrivé; très jeune je lisais les bd de kiosque classiques du style Tarzan et ersatz ou westerns puis Tintin et certainement des revues de BD SF comme Meteor ou Spoutnik. Récemment en restaurant de vieille photos je me suis vu à huit ans devant un sapin de noël tenant dans mes bras un exemplaire de PIERROT dont la couverture montrait une scène SF typique de vaisseau spatial sur une autre planète. Tout cela a dû venir insensiblement par "imprégnation", processus qui me faisait graduellement pencher pour ce qui me plaisait le plus : l'espace, les fusées ou les extra-terrestres bizarres. Il me semble qu'un jour j'ai trouvé dans la bibliothèque de mon père un livre de poche dont le titre curieux était Cailloux dans le ciel (Asimov) j'ai essayé de le lire , je n'ai absolument rien compris mais c'est comme si j'avais été "attrapé", et j'ai voulu en savoir plus et peu après je me suis mis au Fleuve noir Anticipation.
À l'époque j'habitais à Montélimar, le pays du nougat et du mistral, en revenant du lycée je faisais un détour par un petite rue où il y avait un libraire qui vendait (et rachetait) des livres d'occasion – mon budget était très serré- en quelque années j'ai du lire des centaines de Fleuve Noir. En 1968 j'étais à Lyon, le lycée et d'autres activité accaparaient mon temps libre et donc ma lecture SF mais j'ai commencé à lire les Van Vogt, Asimov, Clarke et autres grands anciens de l'âge d'or et c'était du sérieux! Cette année là il y a eu aussi 2001 l'Odyssée de l'espace : une claque magistrale!

En 1980 j'ai lu mon premier Vance : Un Monde Magique (La terre Mourante) mon premier pas vers la fan-attitude: à l'instar de la SF qui a été ma référence pour la littérature, Jack Vance est devenu ma référence pour la Science Fiction. Dans ces années là j'avais eu aussi eu un coup de cœur pour Dune de F Herbert : c'était vraiment dans l'air du temps (et même un peu avant) .

25.Posté par Ténèbres PATATE le 28/11/2023 11:29 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

patatetenebres
Intéressante question, et une réponse touchante, résonnant probablement dans le vécu des galionautes :-) Comme toi, j'ai toujours été exalté par les thèmes de la sf, bien plus que ceux de la fantasy, d'ailleurs. Né dans une famille de créatifs, j'ai la sensation de toujours avoir lu du fantastique, et à l'adolescence, avec le jeu de rôle, je n'ai fini par côtoyer que des geeks. La sf est mon carburant dans la vie, car elle me permet de m'ancrer dans le présent, de me questionner sur les grands thèmes sociétaux avec un angle prospectiviste, s'appuyant sur les grands auteurs et autrices, m'incitant à en savoir plus sur les sciences, les philosophies, plutôt qu'à m'en remettre aux "experts" médiatiques, proposant des réponses simples et émotionnelles à la masse.

26.Posté par JEAN-MICHEL ARCHAIMBAULT le 29/11/2023 08:22 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

JMARCHAIMBAULT
À 7 ans, pendant l'été 1965, j'ai découvert "Bob Morane" version BD par quelques planches hebdo dans "Femmes d'Aujourd'hui" que lisait ma grand-mère. Puis la version livre de poche de ses aventures, dont la première lue a été "Le dragon des Fenstone". Pas de la SF, mais plusieurs scènes à l'ambiance fantastique quelque peu angoissante. Durant l'année scolaire suivante (CE2), j'ai dévoré une belle quantité de Marabout Junior consacrés au héros... Début septembre 1966, j'étais en panne de lecture et j'ai trouvé, dans les rayons de la librairie de mes grands-parents, "Bases sur Vénus" qui a donc été le premier Fleuve Noir Anticipation que j'ai ouvert. Je l'ai lu jusqu'à un peu plus de la moitié, mais c'était très difficile à comprendre parce qu'il y avait beaucoup d'éléments qui ne me "parlaient" pas... En revanche, quand est arrivé le colis
Hachette avec les nouveautés du mois, j'ai sauté sur "Cerveaux sous contrôle" de Richard Bessière que j'ai lu jusqu'au bout. Puis "Vagues d'invasion" de Randa, puis certains titres des mois suivants, puis toutes les nouveautés Anticipation à partir d'avril 1967.
À l'époque, j'ai aussi découvert Galaxie 2e série mais c'était pour moi un peu plus difficile. Cela ne l'est pas resté longtemps!
Ma fidélité à Anticipation date de cette époque. Un peu plus tard, j'ai découvert Marabout et le fantastique avec Thomas Owen, Claude Seignolle, puis est venu J'Ai Lu...
En dehors de la SF et du fantastique, je n'ai guère lu que des ouvrages obligés par les programmes de l'Éducation Nationale, ou de gros "coups de cœur" comme l'intégrale de Rabelais quand j'étais en 2de, et des œuvres diverses liées à la musique, notamment aux opéras de Wagner...
Souvenirs particuliers dans l'année 67-68: "La planète ignorée" de René Guillot en Bibliothèque Verte et, surtout, "La planète Kalgar" de Maurice Vauthier en Idéal Bibliothèque dont je vous parlerai sûrement bientôt.
À partir de l'été 1974, je me suis aussi mis à lire, à l'occasion, en V.O. anglaise ou americaine puis, un an plus tard, également en version allemande (des Perry Rhodan, bien sûr).
Voilà pour mes maintenant lointains débuts dans les littératures de l'imaginaire, en dehors des contes de fées et pour enfants dans les années pré Bob Morane.

27.Posté par Didier REBOUSSIN le 29/11/2023 09:41 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

alvin
C'est en 67 que j'ai lu mes tous premiers FNA. J'étais en pension chez ma tante et mon oncle et ce dernier achetait des Fleuve Noir pour lire dans le bus et le métro. C'est ainsi que j'ai découvert "L'étrange planète Orga" de B R Bruss et ce fut véritablement un éblouissement. J'enchaînais avec "Le mystère des Sups" puis "Les survivants de Kor" de Peter Randa et les premiers Perry Rhodan. Après cette période, j'ai connu quelques années mouvementées et c'est par Bob Morane que j'ai raccroché les wagons, dans la fin 68, début 69, par l'intermédiaire de la bibliothèque municipale. C'est par là aussi que j'ai lu mon tout premier livre de SF anglo-saxonne, en l'occurence Le lendemain de la machine" de F Rayer. Là aussi, un sacré choc. Puis, il y avait sur le marché un bouquiniste qui vendait des Anticipation et au collège il y avait aussi des copains fanas de FNA. Après, c'est une autre histoire. J'étais devenu accro !

28.Posté par Michel MAILLOT le 29/11/2023 21:34 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

mmaillot
La mémoire, il faut s’en méfier. De ses fuites, de ses vantardises. Prendre bien soin de décortiquer ce qui surgit. Séparer le bon grain de l’ivraie, trier les torchons et les serviettes et tenter de rebâtir un édifice qui, avec l’âge, peut brinquebaler sérieusement sur ses fondations. Fondations vous avez dit Fondation, comme c’est étrange.
Or donc, les premiers contacts avec l’étrange, ça remonte forcément à l’apprentissage de la lecture. Peut-être un peu avant avec les images, mais n’exagérons pas trop. Probablement en parallèle entre la pension chez une « particulière » du côté de Gazeran et les quelques (trop rares) fois où l’on rentrait sur Paris pour voir maman. Donc, aux alentours de 1962-1963, quand on apprenait à lire un brin avant et surtout pendant le CP. À Gazeran, une classe c’était une rangée ! Je me souviens d’être passé de l’une à l’autre au fil des années, de la droite vers la gauche où se trouvait la porte ! C’était forcément avant fin 1963, lorsque nous avons été virés sans explications, avant d’atterrir chez les grands-parents à Sevran début 1964. Pour Paris, c’était impossible de nous garder. Donc, d’un côté à Gazeran, des BD, Spirou, le journal de Mickey, on était abonnés, et les petits formats lus par d’autres pensionnaires, avec au milieu des Blek le roc, Olivier, Kit Carson et Battler Britton, surgissait en fendant l’air mon premier superhéros, l’autre Superboy de Molinari. Enfin, les couvertures au moins étaient dessinées par Félix. Du côté de Paris, au fil du temps, des ouvrages sur l’étagère de mon grand frère chez maman. J’y dégoterai pour rêver, « Terminus 1 », « Piège sur Zarkass », « Fréquence ZZ », « Qui suis-je ? », « L’astéroïde noir » entre autres. Et puis dans la semi-pénombre de la deuxième entrée condamnée, posée sur l’établi, il y aurait cette couverture de « Heure Zéro » de Vargo Statten par Brantonne qui me ferait presque une peu peur. Toutes ces couvertures de René suscitaient, exacerbaient, l’imagination autant que les contenus. Plus tard, une caisse en carton remplie de Fleuve Noirs Anticipation prêtés encore à mon grand frère. C’est par là, pour la lecture que tout a commencé, premiers émois, premiers troubles, pas toujours bien identifiés. Tout petit donc, à tel point que le copain de mon grand frère avec qui il jouait de la guitare m’avait fait cette réflexion qui m’avait marqué. « Tu lis déjà des trucs comme ça à ton âge ? » Était-ce un reproche ou de l’admiration ? En tout cas, de cette malle au trésor ...

1 2
Nouveau commentaire :
PENSEZ A SAUVEGARDER VOTRE COMMENTAIRE SUR VOTRE PC AVANT DE L’ENVOYER ! En effet, le Galion est facétieux et parfois, l’envoi peut ne pas aboutir dans le poste de pilotage. Le transfert est réussi lorsqu’après avoir cliqué sur « ajouter », vous voyez en encadré et en rouge le texte « Votre commentaire a été posté ». SVP soignez votre orthographe, oubliez le langage SMS et ne mettez pas de liens externes ou de commentaires ne vous appartenant pas. Veuillez prendre connaissance du Règlement avant de poster votre commentaire. Le filtrage des commentaires est de rigueur sur ce site. Le Webmaster se réserve le droit de supprimer les commentaires contraires au règlement.

Le Galion des Etoiles est un site sans publicité. Vous aimez nos articles, matelots ? Vous pouvez faire un don et ainsi soutenir Le Galion des Etoiles. Merci !