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Affiche et synopsis
En raison d’une épidémie de grippe canine, le maire de Megasaki ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville, envoyés sur une île qui devient alors l’Île aux Chiens.
Le jeune Atari, 12 ans, vole un avion et se rend sur l’île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots.
Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville.
Source : AllôCiné
Genre : aventure, animation
Le jeune Atari, 12 ans, vole un avion et se rend sur l’île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots.
Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville.
Source : AllôCiné
Genre : aventure, animation
Présentation
Bon, alors première constatation : c’est trop court ! En fait, c’est parfaitement rythmé, dynamique et sans temps morts, mais moi j’en voulais pour une heure de plus, minimum !
C’est du stop-motion avec le style inimitable de Wes Anderson, ça parle de chiens, étonnement pas trop de chats, et bien que ce soit un grand n’importe quoi, l’intrigue est bien ficelée, jouant sur l’humain et le canin, avec comme toujours cet humour bien caractéristique du cinéma du Monsieur. On frissonne de plaisir en entendant les voix de la brochette classique des acteurs et actrices du cinéaste, avec en prime Bryan Cranston dans le rôle de Chief, ou Liev Schreiber dans celui de Spots.
En tant que grand admirateur de son cinéma, je reconnais qu’il y a là une œuvre originale sur le plan technique et au niveau casting. Comme toujours c’est le top niveau, avec encore une fois la sensation que tout le monde s’est bien éclaté à doubler ces chiens crasseux dans leur décharge. Par contre, c’est encore plus flagrant avec ce très bon Isle of Dogs, mais je ressens une impression de déjà-vu qui me turlupine un chouillat. Cela fait plusieurs films que j’éprouve ce sentiment; il ne gêne en rien le plaisir de visionner du vrai cinéma qui me touche la corde sensible, bien sûr, mais cette sensation revient néanmoins en fin de film.
Attention hein, c’est du Wes Anderson, donc malgré cette impression, les idées sont là, et sa nouvelle création est un pur plaisir cinéphile !
C’est du stop-motion avec le style inimitable de Wes Anderson, ça parle de chiens, étonnement pas trop de chats, et bien que ce soit un grand n’importe quoi, l’intrigue est bien ficelée, jouant sur l’humain et le canin, avec comme toujours cet humour bien caractéristique du cinéma du Monsieur. On frissonne de plaisir en entendant les voix de la brochette classique des acteurs et actrices du cinéaste, avec en prime Bryan Cranston dans le rôle de Chief, ou Liev Schreiber dans celui de Spots.
En tant que grand admirateur de son cinéma, je reconnais qu’il y a là une œuvre originale sur le plan technique et au niveau casting. Comme toujours c’est le top niveau, avec encore une fois la sensation que tout le monde s’est bien éclaté à doubler ces chiens crasseux dans leur décharge. Par contre, c’est encore plus flagrant avec ce très bon Isle of Dogs, mais je ressens une impression de déjà-vu qui me turlupine un chouillat. Cela fait plusieurs films que j’éprouve ce sentiment; il ne gêne en rien le plaisir de visionner du vrai cinéma qui me touche la corde sensible, bien sûr, mais cette sensation revient néanmoins en fin de film.
Attention hein, c’est du Wes Anderson, donc malgré cette impression, les idées sont là, et sa nouvelle création est un pur plaisir cinéphile !
Décors et figurines utilisés dans le film "L'Île aux chiens" | Par Paul Hudson from United Kingdom — Isle of Dogs, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=68543381
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